L’ivermectine inverse la résistance aux médicaments de chimiothérapie, permettant à la chimiothérapie de tuer davantage de cellules cancéreuses

sNOUVEL ARTICLE : Témoignage sur l’IVERMECTINE – Histoire incroyable d’une maman de 4 enfants de 36 ans atteinte d’un cancer du pancréas (peut-être un cancer turbo), dont le cas a été bâclé par les oncologues, elle a pris de l’ivermectine et est maintenant sans cancer !

C’est une histoire incroyable de courage et de résilience que chaque patient atteint de cancer devrait lire ! Emily Ziegler a été confrontée au cancer du pancréas à l’âge de 36 ans. Je vais résumer ce qui est une histoire médicale quelque peu compliquée : Mère de 4 enfants de 36 ans

@FranDHexe , on lui a diagnostiqué un carcinome canalaire pancréatique de stade 2 (PDAC), enroulé autour de ses vaisseaux sanguins, l’empêchant de se faire opérer. Elle a suivi une chimiothérapie pendant 6 mois, ce qui a suffisamment éloigné la tumeur des vaisseaux sanguins pour lui permettre de subir une intervention chirurgicale (procédure de Whipple).

Cependant, la tumeur qui a été retirée était deux fois plus grande que la tumeur d’origine, ce qui indique que le cancer du pancréas avait déjà surmonté les effets de la chimiothérapie avant même la chirurgie et avait recommencé à se développer très rapidement.

Les chirurgiens ont prétendu avoir tout récupéré, mais ce n’est pas le cas (le rapport de pathologie postopératoire a montré des marges positives, mais personne ne l’a détecté et personne ne semblait le savoir). Elle présentait des symptômes persistants, mais ses oncologues ne la prenaient pas au sérieux. Ses marqueurs de cancer CA-19 ont augmenté et, bien sûr, 8 mois après son opération, on lui a diagnostiqué par tomodensitométrie une récidive du cancer du pancréas, presque de la même taille que la première tumeur, mais ses oncologues ont refusé de la traiter et ont essayé de la soumettre à un essai quelconque.

À ce stade, cela devient une histoire d’horreur médicale. Elle est allée voir le docteur Anderson pour un deuxième avis. Heureusement, c’est là qu’elle a commencé à prendre de l’Ivermectine sur les conseils de sa belle-mère : « ma belle-mère connaissait le Dr Makis et ses recherches ».

Elle a pris de l’ivermectine pendant trois mois pendant qu’elle mettait en place une nouvelle équipe de cancérologie pour préparer le traitement de sa récidive de cancer du pancréas. Au cours de ces trois mois, la tumeur a CESSÉ de croître, n’a pas changé au scanner et n’a pas métastasé (!!) Sa 2ème équipe d’oncologie (plus compétente) a ensuite effectué 6 semaines de chimiothérapie et de radiothérapie avec des résultats incroyables. Elle est maintenant sans cancer ! C’est ici que des médecins incompétents comme Vinay Prasad

@VPrasadMDMPH diraient quelque chose comme : « L’ivermectine ne fonctionne pas contre le cancer », et s’en iraient (oui, il l’a vraiment dit). Laissons de côté la faute médicale de la 1ère équipe d’oncologie (et ignorons Vinay Prasad, qui parle un peu trop mais en sait très peu). Que s’est-il réellement passé ici ?

Comment expliquer ce qui s’est passé ici ? Pendant les 3 mois où on lui a diagnostiqué une récidive locale du cancer du pancréas mais ses oncologues ont refusé de la traiter, l’ivermectine a définitivement arrêté la croissance de la tumeur.

Sans l’ivermectine, elle aurait progressé jusqu’au stade 4 avec des métastases – c’était un cancer très agressif ! L’ivermectine a stoppé la croissance tumorale et a empêché la tumeur de métastaser ! Mais ça ne s’arrête pas là. De plus, l’ivermectine a sensibilisé son cancer à la chimiothérapie et à la radiothérapie qu’elle a ensuite reçues : « Ils ont fait seulement 6 semaines de chimiothérapie associées à un peu de radiothérapie 5 fois par semaine ».

Faisons appel à la science : L’ivermectine tue les cellules souches, ce qui permet d’atteindre le stade NED après la chimiothérapie et la radiothérapie (2017 Dominguez-Gomez et al : « L’ivermectine comme inhibiteur des cellules souches cancéreuses ») L’ivermectine inhibe la croissance tumorale et les métastases (2020 Chen et al : « L’ivermectine supprime la croissance tumorale et les métastases par la dégradation de PAK1 ») L’ivermectine inhibe les métastases (2022 Jiang et al : « L’ivermectine inhibe les métastases tumorales en régulant la voie de signalisation WNT/b-caténine/intégrine b1/FAK »)

L’ivermectine inverse la résistance aux médicaments de chimiothérapie, permettant à la chimiothérapie de tuer davantage de cellules cancéreuses (2019 Jiang et al : « L’ivermectine inverse la résistance aux médicaments dans les cellules cancéreuses par la voie EGFR/ERK/Akt/NF-kB »)

L’ivermectine sensibilise les cellules cancéreuses aux radiations, ce qui permet à ces dernières de tuer davantage de cellules cancéreuses. (2020 Mudassar et al : « Cibler l’hypoxie tumorale et le métabolisme mitochondrial avec des médicaments antiparasitaires pour améliorer la réponse aux radiations ») Je pourrais probablement ajouter au moins 10 autres articles ici, mais j’ai fait valoir mon point de vue.

L’ivermectine a en effet été responsable de son excellente réponse à la chimiothérapie et à la radiothérapie et du résultat d’être désormais SANS CANCER !

makismd.substack.com

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About pgibertie

Agrégé d'histoire, Professeur de Chaire Supérieure en économie et en géopolitique, intervenant àBordeaux III et comme formateur à l'agrégation d'économie à Rennes Aujourd'hui retraité
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6 Responses to L’ivermectine inverse la résistance aux médicaments de chimiothérapie, permettant à la chimiothérapie de tuer davantage de cellules cancéreuses

  1. Ping: L’ivermectine inverse la résistance aux médicaments de chimiothérapie, permettant à la chimiothérapie de tuer davantage de cellules cancéreuses – Qui m'aime me suive…

  2. Avatar de Dany Dany dit :

    La capacité des ‘vieilles’ molécules de contribuer à résoudre les maladies pour lesquelles la recherche scientifique ne progresse guère se précise chaque jour.

    Cf. le bouquin de Laurent Schwartz sur le traitement des cancers par le bleu de méthylène.

    A titre personnel, je vais conditionner mes dons aux instituts de recherche Santé à des recherches centrées sur les vieilles molécules qui n’intéressent pas l’industrie.

    Ces recherches ont probablement plus de potentiel que celles portant sur de nouvelles molécules, dont il apparait de plus en plus fréquemment que l’objectif est de remplacer un traitement peu couteux par un plus cher et rentable pour big Pharma, mais qui fréquemment est moins efficace et porteur de plus d’effets indésirables.

    La générosité devrait s’inscrire dans ce type de complémentarité, dans notre environnement où le système économique ne vas pas vraiment dans le sens de l’intérêt des populations.

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    • Avatar de lepiaf18 lepiaf18 dit :

      Perso, plus aucun don pour ces structures tentaculaires qui ont enfin montré lors de la farce Covid leur peu d’empathie.

      La palme à l’Institut du Cancer qui s’est permis de virer du personnel qui ne voulait pas se faire injecter les saloperies qui finalement pourraient les conduire directement de salarié à malade.

      Et là, c’est pas la Justice Pénale qui pourrait bien venir les chercher mais… la Justice du Travail, c’est à dire les Conseils de prud’hommes.
      En effet contraindre un salarié un produit qui s’avère nocif au point de rendre malade voire de tuer est une faute de l’Entreprisse, donc du « patron ».

      Il y a des moments où il faut faire des choix, et où ceux-ci vous engagent !

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  3. Avatar de ferrierv2502 ferrierv2502 dit :

    L’ivermectine posséderait aussi des propriétés antivirales large spectre. Elle pourrait ainsi contribuer à la neutralisation de virus étroitement impliqués dans la cancérogénèse, favorisant l’hyper-progression des tumeurs agressives, ou induisant l’apparition de « pseudo-tumeurs » qui sont parfois de redoutables pièges diagnostiques.

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  4. Avatar de marie odile louis marie odile louis dit :

    Envoyé de mon iPad

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  5. Avatar de Gensane Eric Gensane Eric dit :

    JM Sabatier a montré l’importance du SRA dans le développement des cancers et le mode d’action de l’ivermectine (ainsi que ceux de la quercitine et des sartans).

    Tout cela parait logique et non miraculeux

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