l’étude des carottes glaciaires prouve que les hausses de CO2 sont liées à l’inclinaison de l’axe de la terre . De même pour la tectonique des plaques .Vaches et diésel innocentés
Nous présentons ici un enregistrement de dioxyde de carbone à haute résolution mesuré sur une carotte de glace de l’Antarctique entre 260 000 et 190 000 ans, qui révèle sept sauts de dioxyde de carbone supplémentaires. Dix-huit des 22 sauts identifiés au cours des 500 000 dernières années se sont produits dans un contexte de forte obliquité. Les simulations réalisées avec un modèle du système terrestre de complexité intermédiaire pointent vers l’océan Austral et la biosphère continentale comme les deux principales sources de carbone lors des sauts de dioxyde de carbone liés aux événements de rafting de glace de Heinrich. Notamment, la biosphère continentale apparaît comme la source de dioxyde de carbone dépendante de l’obliquité pour ces événements brusques. Nous démontrons que le forçage externe à l’échelle orbitale a un impact direct sur les changements brusques du dioxyde de carbone atmosphérique dans le passé.
Le forçage orbital est l’effet sur le climat de lents changements d’inclinaison de l’axe de la Terre et de la forme de l’orbite (voir les cycles de Milankovitch). Ces modifications orbitales influent sur la quantité de rayonnement solaire atteignant la Terre de jusqu’à 25 % aux latitudes moyennes (de 400 à 500 W/m2 à 60 degrés de latitude)[réf. nécessaire]. Dans ce contexte, le terme de « forçage » signifie un processus physique affectant le climat de la Terre.
https://www.nature.com/articles/s41561-024-01556-5
https://agupubs.onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1029/2024GC011713
De temps à autre, lorsque les plaques tectoniques de la Terre se déplacent, la planète émet un long et lent rejet de dioxyde de carbone. Dans une nouvelle étude de modélisation publiée dans Geochemistry, Geophysics, Geosystems , R. Dietmar Müller et ses collègues montrent comment ce gaz libéré des profondeurs de la Terre a pu affecter le climat au cours du dernier milliard d’années.
Les volcans, les cheminées sous-marines et les dorsales médio-océaniques se trouvent tous là où les plaques terrestres entrent en collision ou se séparent. Chacune de ces structures permet au dioxyde de carbone de s’échapper des profondeurs de la planète et de pénétrer dans l’atmosphère. Bien que leur impact sur le climat soit mineur par rapport aux émissions anthropiques , on pense que les gaz libérés par les profondeurs de la Terre ont un impact substantiel sur la composition de l’atmosphère terrestre à l’échelle des temps géologiques.
Les scientifiques ont souvent estimé le volume de ces émissions de carbone en se basant uniquement sur le gaz libéré par la tectonique des plaques. Mais la tectonique des plaques peut également capturer du carbone en l’incorporant dans la nouvelle croûte formée sur les dorsales médio-océaniques. Dans cette nouvelle étude, les chercheurs se sont appuyés sur deux études récentes sur le mouvement des plaques au cours du dernier milliard d’années pour modéliser plus précisément la quantité de dioxyde de carbone générée par ce processus.
Les résultats du modèle sont cohérents avec la façon dont le climat de la Terre a évolué au fil du temps. Par exemple, les périodes pendant lesquelles le modèle suggère que davantage de carbone a été libéré correspondent aux périodes les plus chaudes de l’histoire de la Terre, comme le début de la période édiacarienne il y a environ 653 millions d’années.
Les périodes qui, selon le modèle, auraient pu connaître des niveaux plus faibles de dégazage de carbone coïncident avec des périodes plus froides de l’histoire de la Terre, comme la période de la « Terre boule de neige », il y a 700 à 600 millions d’années.
La recherche suggère également que la rupture de la Pangée a permis la libération de grandes quantités de dioxyde de carbone à mesure que les plaques de la planète s’éloignaient, ce qui est cohérent avec le réchauffement qui aurait eu lieu à cette époque.
L’activité tectonique est un facteur déterminant de la composition atmosphérique de la Terre au cours des temps géologiques, concluent les chercheurs. Malgré les avancées récentes, il reste encore beaucoup à apprendre sur la manière dont le mouvement des plaques tectoniques affecte le cycle du carbone de la planète.
LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE 
voilà qui ne va pas faire l’affaire des escrologistes….
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Bonjour, je crois que je ne lis pas comme vous. Je lis que le relâchement de carbone est relié par les auteurs de ces (ou cette) études à des périodes de réchauffement climatique. Or c’est l’inverse théorie de ce que martèle Mr Gibertie : que le CO2 ne provoque pas de rechauffement !!
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Je crois que vous lisez mal ! Votre lecture n’est pas faite dans le bon sens c’est tout.
Il y a deux théories qui s’affrontent:
Le réchauffement (quand il se produit) dégèle le permafrost et le Carbone se lie avec l’oxygène de l’air pour émettre du CO2; CO2 capté par les végétaux et le milieu marin; ce système étant auto régulé (il lui faut quand même un peu de temps, voir les études sur les cycles d’alternance réchauffement/refroidissement), au refroidissement suivant le Carbone est de nouveau prisonnier des sols gelés, donc moins de Carbone libéré et moins de concentration de CO2 dans l’air, et ainsi de suite.
Le problème c’est que le Giec veut faire croire que non seulement le CO2 est « nocif » pour la vie de la planète, mais qu’en plus ce ne serait que depuis 150 ans environ qu’il y a une réchauffement et que cette augmentation des émissions de CO2 seraient exclusivement la faute de l’homme.
Or cette alternance de réchauffements/refroidissements existe depuis la formation de la Planète et du Système Solaire. Sans même envisager les écarts de trajectoire pouvant résulter de collisions avec des astéroïdes par exemple.
Enfin scientifiquement le CO2 n’est pas un gaz à effet de serre et s’il n’était pas présent, il n’y aurait sans doute tout simplement pas de vie sur notre planète.
Les modélisations du Giec n’ont jamais abouti à rien (rien de rien devrait-on même dire); jamais une de leurs « prédictions » ne s’est réalisée.
Et pour cause leurs modèles ne sont pas basés sur des observations ou des déductions mais sur des hypothèses en prenant comme acquis les résultats.
Mais le Giec à la base n’est pas composé de scientifiques, seulement des lobbyistes (dont le plus gros est Al Gore). L’énorme problème est que l’appât du gain et les besoins de fonds de certaines recherches ont tenté quelques mauvais scientifiques en mal de notoriété. Certains ne doivent sans doute pas être très fiers du détournement de leurs travaux.
Mais tôt ou tard ces gens retournerons au fond du trou de leurs labos miteux, c’est à peu près tout ce qu’ils méritent. Ces gens-là ne peuvent arrêter la science.
Et depuis Covid la méthode est connue et a bien été disséquée.
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concernant la Grande Peur de l effroyable Catastrophe climatique qui nous attends
il me semble au vu de ces effroyables données que
LES CAROTTES SONT CUITES POUR LE WEF !!
Et TUTTI QUANTI
du moins continuons tous nos efforts dans ce » bon » sens …
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j ajoute ! En tout cas si la catastrophe climatique devait arriver le responsable ne sera pas le CO2
Par contre nous le faire croire nous conduit droit dans le mur du point de vue de notre asservissement aux ploutocrates …
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Effectivement, maikoro. Cependant, il y a tant de naïfs sur terre qui croient tout ce qu’on leur dit, qu’ils ont sans doute encore de beaux jours devant eux, ces escrocs de tous bords !
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Allo, c’est la Noiraude :
« Je vous remercie Monsieur Gibertie. Je me sentais si coupable que je m’efforçais de retenir mes flatulences. Me voilà libérée, délivrée, je dégaze à loisir, au gré de ma digestion. De mère en fille, j’ai pas bien connu mon père, nous pétons en toute quiétude. Rien de bien méchant, pas de feu d’artifice, ni de canonnade fulgurante, une simple évacuation sanitaire.
Jamais, je vous l’assure, je n’ai eu la prétention, pourtant ma mère a été primée au salon de l’agriculture porte de Versailles, de percer la couche d’ozone, ni d’ériger une serre sur notre planète Terre. Jamais, au grand jamais. Je me contente de paître avec mes compagnes, de ruminer et de lâcher quelques caisses conformes à ma nature.
Recevez Monsieur, toute ma gratitude, qu’un vent de paix vous accompagne. »
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Belle envolée, ma foi ! 🙂
Mais pas de cris de victoire trop tôt quand on voit ce qu’en Hollande ils ont pondu pour « dégazer » les panses des vaches ! Trou dans le bide et masques anti-rot, et on n’a peut-être pas encore tout vu !
Décidément les « start-up » chères à notre olibrius National ne sont pas en mal de trouvailles débiles.
Et là, nos chères associations de « protection du bien être animal », elles disent quoi ? C’est bizarre on ne les entend guère !
Et tous ces légumes qui poussent dans des bâtiments, sans terre et sans « lumière du jour »; ne pourraient-ils pas « vivre » à l’air libre et ainsi en capter un peu plus de ce CO2 si honni par nos écolos bobos dans leurs cités de béton ?
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L’écologisme politique est une opportunité de carrière. Ne rien en attendre. Les pauvres vaches à hublot « C’est bon pour la planète ? »
A l’instar des féministes têtes d’affiches, comme Caroline de Haas, qui ferment les yeux sur les agressions à Paris-Barbès ou ailleurs, prétextant que c’est parce que les trottoirs sont trop étroits.
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Comme disait mon toubib quand j’étais petit, FAUT PÉTER, c’est bon pour la santé.
Car si on se retient, non seulement ça tire sur les boyaux avec les douleurs induites, mais en plus, ça monte au cerveau et ça nous provoque des idées de merde [LOL]
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Cent mille personnes présentes à, Dubai….! coût plus d’un milliard ! ce n’est plus de la science c’est une religion….on se croirait a la Mèque….je suis entrain d’écrire un texte sur la longue vie de notre planète et bien sur j’ai su qu’une publication de Richet chez Copernicus a été interdite.
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