Une étude sur plus de 500 000 personnes établit une X3 des risques de démences légères et de +50% des ALZHEIMER pour les vaccinés covid

L’infection du cerveau par divers types d’agents pathogènes, et les réponses inflammatoires qui s’en suivent, occupent une place grandiose dans notre compréhension de l’étiologie de la maladie d’Alzheimer (MA). Le fait que, parmi la vingtaine de gènes identifiés comme étant des facteurs à risque, plusieurs soient impliqués dans la modulation de la réponse immunitaire, ainsi que la diversité même des agents infectieux identifiés comme étant des acteurs possibles dans l’évolution de cette maladie, plaident en faveur de l’hypothèse neuro-inflammatoire

Plus de 200 000 nouveaux cas d’Alzheimer sont dépistés chaque année en France. Si la grande majorité des cas touche les personnes âgés de plus de 80 ans, la maladie est parfois détectée beaucoup plus tôt

En France, près d’un million de personnes sont atteinte de la maladie d’Alzheimer. Il s’agit donc de 8% des Français de plus de 65 ans qui seraient atteints en 2020 (chez les personnes de 75 ans et plus, ce chiffre s’élève à 17%). Par ailleurs, on estime que 225.000 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année en France.

La maladie d’Alzheimer représente plus de 70 % de l’ensemble des maladies neurocognitives de la personne âgée. Néanmoins, selon l’étude PAQUID en France, seule 1 démence sur 2 est diagnostiquée, tous stades confondus. Ainsi, aux stades légers, seul 1 cas sur 3 est connu par le patient ou son médecin.

D’ici 2050, le nombre de personnes touchées par une maladie neurocognitive devrait atteindre plus de 1.800.000 cas. Cela représenterait donc 9,6% des plus de 65 ans et 6,2% de la population active.

La presse n’en parlera pas mais cette observation officielle coréenne pose problème

Une étude sur plus de 500 000 personnes établit une X3 des risques de démences légères(MCI) et de +50% des ALZHEIMER (AD)pour les vaccinés covid L’étude ne porte hélas que sur 3 mois

 L’étude, menée à Séoul, en Corée du Sud, a analysé les données d’un échantillon aléatoire de 50 % des résidents de la ville âgés de 65 ans et plus, soit un total de 558 017 personnes. Les participants ont été divisés en groupes vaccinés et non vaccinés, les vaccinations comprenant des vaccins à ARNm et à ADNc. L’étude s’est concentrée sur les incidences de MA et de MCI après la vaccination, identifiées via les codes CIM-10, en utilisant des analyses logistiques multivariées et de régression de Cox. Les patients atteints de démence vasculaire ou de maladie de Parkinson ont servi de témoins.

Les données préliminaires suggèrent un lien potentiel entre la vaccination contre la COVID-19, en particulier les vaccins à ARNm, et l’augmentation de l’incidence de la MA et du MCI. Cela souligne la nécessité de poursuivre les recherches pour élucider la relation entre les réponses immunitaires induites par le vaccin et les processus neurodégénératifs, en plaidant pour une surveillance et une enquête continues sur les impacts neurologiques à long terme des vaccins.

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/38806183/

On en sait plus que sur le lien démence Alzheimer et les vaccins covid

Publié le 23 juin 2024 par pgibertie

Une association potentielle entre la vaccination contre le COVID-19 et le développement de démence (X2.5)et de la maladie d’Alzheimer (+22% que chez les non vaccs) sur 558 000 + de 65ans Publié le 18 juin 2024 par pgibertie Ces statistiques font peur, sur les … Lire la suite →

Une association potentielle entre la vaccination contre le COVID-19 et le développement de démence (X2.5)et de la maladie d’Alzheimer (+22% que chez les non vaccs) sur 558 000 + de 65ans

La protéine spike virale également impliquée

https://content.iospress.com/articles/journal-of-alzheimers-disease/jad220717

La population étudiée comprenait 6 245 282 adultes âgés (âge ≥ 65 ans), dont 410 748 dans la cohorte COVID-19 et 5 834 534 dans la cohorte non COVID-19. La cohorte COVID-19 ne différait pas en termes d’âge ni de sexe de la cohorte non COVID-19, mais comprenait davantage de personnes hispaniques et noires et présentait une prévalence plus élevée de déterminants socioéconomiques défavorables de la santé et de comorbidités. Après appariement, les cohortes COVID-19 et non COVID-19 ont été équilibrées ( Tableau 1 ).

Risque accru de nouveau diagnostic de la maladie d’Alzheimer chez les patients atteints de COVID-19 par rapport aux patients appariés par score de propension sans COVID-19

Avatar de Inconnu

About pgibertie

Agrégé d'histoire, Professeur de Chaire Supérieure en économie et en géopolitique, intervenant àBordeaux III et comme formateur à l'agrégation d'économie à Rennes Aujourd'hui retraité
Cet article a été publié dans éducation prépa école de commerce. Ajoutez ce permalien à vos favoris.

2 Responses to Une étude sur plus de 500 000 personnes établit une X3 des risques de démences légères et de +50% des ALZHEIMER pour les vaccinés covid

  1. Avatar de lepiaf18 lepiaf18 dit :

    Allez encore un truc à foutre à la poubelle !

    -D’abord, ça c’est pas une étude, juste une « prédiction » ! Comment pourrions-nous « évaluer » les risques d’être atteint d’une telle maladie ? Si vous y répondez, là vous êtes très très forts ! Particulièrement quand vous prenez deux groupes aux caractéristiques différentes.

    -Qu’il y ait des facteurs aggravants individuellement, c’est probable; d’en tirer des conclusions pour un groupe est hautement subjectif, c’est donc très très peu scientifique. Surtout quand les « groupes » sont si hétéroclites; vaxx covid avec plusieurs produit, non vaxx en quantités très différente, ethnies également différentes et dont on ne sait pas s’ils ont été « malades », etc…

    Enfin extrapoler les résultats pour faire une « projection à 2050 » (en France) de 200/250 000 cas à 1 800 000 est à tout le moins osé !

    En effet , les Alzheimer actuels de plus de 65 ans seront sans doute morts dans 25 ans, remplacés donc par d’autres, ça risque d’être beaucoup moins cumulatif. Et il est noté que la période d’étude est très (voire très très) courte, 3 mois, compte tenu de la maladie considérée.

    Sans compter que désormais, y’a plus grand monde qui va à la pique-pique, voire … aux piquouses en général. Rançon de la b^tise de quelques-uns !

    Y’a vraiment des « chercheurs » qui ont du temps à perdre. À moins que… ce soit sur commande et qu’ils n’aient de chercheurs que le nom !

    J’aime

    • Avatar de Gilbert Gilbert dit :

      Oui et non. Toutes les études retrospectives fonctionnent selon le principe de la comparaison des risques (par ex. OR). Elles essaient cependant de réduire les biais si les groupes sont hétérogènes.

      Je n’ai pas eu accès à l’intégralité de l’étude citée (Corée du Sud). La taille de la cohorte et le fait d’examiner uniquement les plus de 65 ans donne toutefois une certaine crédibilité aux observations.

      Là où je vous donne raison, c’est qu’il aurait fallu éliminer totalement le biais de l’âge dans la comparaison vacciné/non vacciné. Il est aussi possible que les personnes non vaccinées étaient en meilleure santé dont moins souvent vaccinées. Mais il est aussi possible que les personnes déjà atteintes de troubles cognitifs ne se soient pas fait vacciner par crainte d’une aggravation (il y a eu une polémique dès le début car ce risque n’avait pas été testé lors des essais cliniques).

      Une seule étude de ce type n’est donc pas suffisante pour conclure. Mais le fait que plusieurs études convergent est plus troublant. Surtout si on sait que le vaccin passe la barrière hémato-encéphalique et induit donc la production de protéine S dans les capillaires du cerveau et la réaction inflammatoire qui en résulte.

      Quand à la fin des « pique-pique », ce n’est qu’une trêve de courte durée: la plupart des vaccins « traditionnels » vont « migrer » sous la plateforme ARNm bien plus rentable. Des capacités de production énormes ont été créées. Le passeport vaccinal numérique mondial obligatoire n’est qu’une question de quelques années.

      Car, malgré les preuves qui s’accumulent sur cette technologie mal maîtrisée, aucune avancée majeure n’a été faite pour en limiter l’usage: le monde médical s’est couché et a bien trop peur d’hypothèquer sa carrière.

      Alors, ce type d’études et d’articles restent bienvenus même s’il faut rester prudent sur leur valeur.

      J’aime

Répondre à lepiaf18 Annuler la réponse.