Mise à jour rassurante de l’OMS sur la variole du singe, omerta des média sur les expériences de Moss, échec total du vaccin

Le vaccin JYNNEOS ne parvient pas à stopper la maladie de la variole du singe aux États-Unis Résultats décevants en matière de protection contre les éruptions cutanées sexuellement transmissibles chez l’homme Deputy et al, ont utilisé le dossier médical électronique EPIC du 15 août 2022 et du 19 novembre 2022 pour évaluer l’impact du vaccin MPOX et ont découvert que parmi 2193 patients cas et 8319 patients témoins (VIH), 25 patients cas et 335 patients témoins ont reçu deux doses (vaccination complète), parmi lesquels l’efficacité ajustée estimée du vaccin était de 66,0 % (intervalle de confiance [IC] à 95 %, 47,4 à 78,1), et 146 patients cas et 1000 patients témoins ont reçu une dose (vaccination partielle), parmi lesquels l’efficacité ajustée estimée du vaccin était de 35,8 % (IC à 95 %, 22,1 à 47,1).

@BanounHelene

Omerta sur les expériences de gain de fonction aux USA sur le virus de variole du singe Le but était de le rendre plus pathogène

« L’institut de Fauci a caché les plans de gain de fonction du mpox au Congrès et aux médias » : « Pendant près de neuf ans, l’institut d’Anthony Fauci a dissimulé des plans visant à concevoir un virus mpox capable de provoquer une pandémie avec un taux de mortalité pouvant atteindre 15 %, ont révélé mardi des enquêteurs du Congrès dans un nouveau rapport.

En juin 2015, un scientifique de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses a reçu l’approbation officielle du comité d’examen institutionnel des National Institutes of Health pour des expériences visant à concevoir un virus mpox avec une transmissibilité élevée et une mortalité modérée. Le NIAID — l’institut que Fauci a supervisé pendant près de quatre décennies et qui finance la plupart des recherches sur les gains de fonction financées par le gouvernement fédéral — a dissimulé l’approbation du projet aux enquêteurs de la commission de l’énergie et du commerce de la Chambre au cours d’une enquête de 17 mois.

Le projet de gain de fonction proposé par Bernard Moss, virologue au NIAID, consisterait à fusionner les gènes conférant une forte pathogénicité du virus de la clade I avec le virus de la clade II, plus transmissible. Le nouveau virus « chimérique » (combiné) aurait pu conserver un taux de mortalité allant jusqu’à 15 % et un nombre de reproduction de 2,4, une mesure de transmissibilité indiquant que chaque personne malade pourrait infecter jusqu’à 2,4 personnes en moyenne, ce qui lui confère un potentiel pandémique. Les tentatives du comité pour en savoir plus sur l’expérience se sont heurtées à une obstruction. – Emily Kopp

https://www.who.int/fr/news-room/questions-and-answers/item/monkeypox

La variole simienne se propage d’une personne à l’autre par contact étroit avec une personne infectée par le virus de l’orthopoxvirose simienne. Le contact étroit peut signifier des contacts en face à face (par exemple, lors d’une discussion ou si quelqu’un respire près d’une autre personne, ce qui peut entraîner la production de gouttelettes ou d’aérosols à courte portée) ; de peau à peau (lorsque quelqu’un touche une autre personne ou lors de rapports vaginaux ou anaux) ; de bouche à bouche (lors de baisers, notamment) ; ou encore de bouche à peau (lors de rapports sexuels bucco-génitaux ou si l’on embrasse la peau). Au cours de la flambée mondiale qui a débuté en 2022, le virus s’est principalement propagé par contact sexuel.

Les personnes atteintes de la variole simienne sont contagieuses jusqu’à ce que toutes leurs lésions aient formé une croûte, que les croûtes soient tombées et qu’une nouvelle couche de peau se soit formée en dessous, et que toutes les lésions localisées sur les yeux et sur le corps (dans la bouche, dans la gorge, dans le vagin et dans l’anus) aient également guéri, généralement dans les deux à quatre semaines.

Il est également possible que le virus de la variole simienne soit présent pendant un certain temps sur des vêtements, du linge de lit ou de toilette, des objets, des appareils électroniques et des surfaces qui ont été touchés par une personne atteinte de la maladie. Une personne qui les toucherait à son tour risquerait elle aussi d’être infectée si elle présente des coupures ou des abrasions ou si elle touche ses yeux, son nez, sa bouche ou d’autres muqueuses avant de s’être lavé les mains. Le nettoyage et la désinfection des surfaces et des objets ainsi que le lavage des mains après avoir touché des surfaces ou des objets potentiellement contaminés peuvent contribuer à prévenir ce type de transmission.

Le virus peut également se transmettre au fœtus pendant la grossesse, pendant ou après l’accouchement par le contact de peau à peau, ou d’un parent atteint de la variole simienne à un nourrisson ou un enfant lors d’un contact étroit. 

Si des cas d’infection par une personne asymptomatique (ne présentant pas de symptômes) ont été signalés, on dispose encore de peu d’informations sur la possibilité de contracter le virus par contact avec des personnes infectées avant l’apparition des symptômes ou après la cicatrisation des lésions. Le virus vivant de l’orthopoxvirose simienne a été isolé à partir d’échantillons de sperme, mais on ne sait pas encore si l’infection peut se transmettre par le sperme, les sécrétions vaginales, le liquide amniotique, le lait maternel ou le sang.

La plupart des cas signalés lors de l’épidémie multipays en 2022-2023 concernait des hommes homosexuels des bisexuels et d’autres hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes. Compte tenu de la transmission interhumaine actuelle du virus au sein de cette communauté dans plusieurs pays, les hommes qui ont des rapports sexuels avec des hommes pourraient être exposés à un risque accru s’ils ont des rapports sexuels ou d’autres formes de contact étroit avec une personne infectée. Les personnes qui ont des rapports sexuels avec plusieurs partenaires ou de nouveaux partenaires sont actuellement les plus à risque.

Il est essentiel de sensibiliser les communautés d’hommes homosexuels, bisexuels et d’autres hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes afin de protéger les personnes les plus à risque. Si vous êtes un homme ayant des rapports sexuels avec des hommes, soyez conscient des risques et prenez des mesures pour vous protéger et protéger les autres. Il est recommandé à toute personne qui présente des symptômes évocateurs de la variole simienne de demander conseil immédiatement à un prestataire de santé afin de se faire tester et de recevoir des soins.

Si la variole simienne se transmet par voie sexuelle au sein de votre communauté ou dans votre région, envisagez de réduire les risques jusqu’à ce que l’épidémie soit maîtrisée, par les moyens suivants :

  • en communiquant ouvertement avec vos partenaires sur les symptômes et les risques de la variole simienne ;
  • en échangeant les coordonnées de vos partenaires sexuels afin que vous puissiez vous informer mutuellement si vous présentez des symptômes ;
  • en vous abstenant temporairement d’avoir des rapports sexuels ;
  • en réduisant le nombre de nouveaux partenaires sexuels, de partenaires sexuels occasionnels ou de partenaires sexuels anonymes ;
  • utiliser systématiquement des préservatifs ;
  • éviter les rapports sexuels en groupe ;
  • éviter les lieux de sexe sur place (tels que les bars de rencontre, les saunas et les darkrooms) ; et
  • éviter de consommer de l’alcool ou des drogues dans un cadre sexuel (y compris le chemsex).

Selon les données disponibles, les personnes immunodéprimées présentent un risque plus élevé de développer une forme sévère de la maladie ou d’en mourir. Les symptômes de la forme sévère de la maladie comprennent notamment des lésions plus grandes et plus étendues (en particulier dans la bouche, les yeux et les organes génitaux), des infections bactériennes secondaires de la peau, une septicémie ou des infections pulmonaires. Les données montrent que les symptômes sont les plus graves chez les personnes gravement immunodéprimées.

Les personnes atteintes d’une infection à VIH à un stade avancé (présentation tardive, faible numération des CD4 et charge virale élevée du VIH) ont un risque élevé de décès si elles développent forme sévère de la variole simienne. Les personnes vivant avec le VIH qui atteignent la suppression de la charge virale par un traitement antirétroviral ne semblent pas être exposées à un risque plus élevé de développer une forme sévère de la maladie que la population générale. Un traitement efficace contre le VIH réduit le risque de développer des symptômes graves de la variole simienne en cas d’infection. Les personnes souffrant d’une infection à VIH non traitée ou d’une infection à VIH à un stade avancé peuvent être immunodéprimées et donc être plus à risque de maladie sévère. L’OMS conseille aux pays d’intégrer la prévention et les soins du VIH et de la variole simienne.

Il est conseillé aux personnes sexuellement actives qui ne connaissent pas leur statut sérologique pour le VIH d’effectuer un test de dépistage, si elles y ont accès. Les personnes vivant avec le VIH sous traitement efficace ont la même espérance de vie que leurs pairs séronégatifs.

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Agrégé d'histoire, Professeur de Chaire Supérieure en économie et en géopolitique, intervenant àBordeaux III et comme formateur à l'agrégation d'économie à Rennes Aujourd'hui retraité
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2 Responses to Mise à jour rassurante de l’OMS sur la variole du singe, omerta des média sur les expériences de Moss, échec total du vaccin

  1. Avatar de Paul-Emic Paul-Emic dit :

    C’est exactement le même baratin fétide que pour le covid. Ils n’ont aucune imagination et nous prennent vraiment pour des c*ns

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  2. Avatar de Antoine Antoine dit :

    Quand va-t-on comprendre que les virus ne transmettent rien, qu’ils ne sont pas nos ennemis mais au contraire nos alliés. Les seuls « virus » qui rendraient malades sont des créations humaines, Sinon comment expliquer la longévité de l’espèce humaine.

    Quand aux vaccins, il faut lire l’excellent livre extrêmement documenté: « Des tortues jusqu’en bas », et faites vous votre opinion. Plus sérieux, plus complet, tu meurs! Et cependant très facile d’accès

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