Artemesine, Quercetine, ces molécules extraordinaires contre le cancer mais trop bon marché pour investir dans la recherche

@BanounHelene

Une molécule extraite de l’Artemisia améliore le syndrome d’ovaires polykystiques

Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK), un trouble de la reproduction répandu chez les femmes en âge de procréer, se caractérise par un excès d’androgènes, un dysfonctionnement ovulatoire et des ovaires polykystiques. Malgré sa prévalence élevée, une intervention pharmacologique spécifique pour le SOPK reste un défi. Dans cette étude, nous avons identifié les artémisinines comme agents anti-SOPK. Nos résultats ont démontré l’efficacité des dérivés de l’artémisinine pour atténuer les symptômes du SOPK chez les modèles de rongeurs et chez les patients humains, en freinant l’hyperandrogénémie grâce à la suppression de la synthèse des androgènes ovariens.

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/38870290/

LA QUERCETINE

@mostraak

  • Quercétine : La Molécule Providentielle Pour Enrayer La Vague De Turbo Cancers Post-Vaccinaux ?
  • Le Dr. Zelenko affirmait que « tous les virus, même la fièvre de Marburg, se traitent exactement avec le même protocole ! » « (1) Zinc pour empêcher le virus de se propager + (2) Quercétine pour une absorption maximale du zinc
  • La quercétine fait partie des flavonoïdes. Ce sont des pigments – il en existe plus de 4 000 ! – qui donnent leurs couleurs aux fleurs, aux fruits et aux légumes. Ces composés naturellement présents dans les végétaux ont de nombreux effets sur l’organisme, le principal étant de renforcer la paroi des capillaires (les plus petits vaisseaux sanguins) et de réduire leur perméabilité. Réduit les réactions allergiques et le risque d’asthme, réduit l’inflammation ; prévient les maladies cardiovasculaires. Bien qu’on soit loin de tout connaître au sujet de la quercétine, ses propriétés antioxydantes, anti-inflammatoires et antihistaminiques (antiallergiques) ont été observées au cours de nombreuses études in vitro et sur les animaux.

La Quercétine, un flavonoïde naturel présent dans de nombreux fruits et légumes, a fait l’objet d’une attention croissante ces dernières années pour ses propriétés anti-cancer prometteuses. Des études in vitro et in vivo ont démontré que la quercétine peut inhiber la prolifération tumorale, stimuler l’apoptose des cellules cancéreuses, bloquer l’angiogenèse et réduire les métastases via de multiples mécanismes.

Parmi ses effets anti-cancer uniques, la quercétine est capable de stabiliser et d’augmenter les niveaux de p53, une protéine clé dans la mort des cellules cancéreuses par apoptose. Cela est particulièrement pertinent pour les patients atteints de “Turbo Cancer” suite aux vaccins à ARNm COVID-19 de Pfizer ou Moderna. De plus, la quercétine peut tuer les cellules souches cancéreuses responsables des cancers agressifs et des récidives, contre lesquelles la chimiothérapie standard est impuissante. La quercétine régule également les microARN impliqués dans de nombreux cancers, une piste pour expliquer les “Turbo Cancers” induits par les vaccins à ARNm. Ses effets ont été le mieux étudiés dans les cancers du sein et colorectal.

Des études sur des souris ont montré son efficacité contre les cancers du sein, colorectal, du foie, de la prostate, du poumon, du pancréas, le mélanome, la leucémie et le cancer gastrique. Cerise sur le gâteau, la quercétine est synergique avec de nombreux traitements : elle augmente l’efficacité de la chimiothérapie et de la radiothérapie, inverse la résistance aux médicaments chimiothérapeutiques (crucial pour les patients “Turbo Cancer” résistants aux traitements standard) et potentialise d’autres composés bioactifs comme le resvératrol et les catéchines du thé vert. Alors que la quercétine est largement disponible dans l’alimentation (oignons, origan, sarrasin, épinards, canneberges, chou frisé, cerises, myrtilles, asperges), elle devrait faire partie de la plupart des “traitements alternatifs du cancer”. Sûre et désormais disponible dans des formulations plus biodisponibles, la quercétine semble être un atout majeur dans la lutte contre le cancer. Mais attention, malgré des résultats prometteurs in vitro et chez l’animal, des études cliniques sont encore nécessaires pour confirmer son efficacité et sa sécurité chez l’homme. En attendant, mangez des oignons et buvez du thé vert, on ne sait jamais. Et si vous avez eu un vaccin COVID-19 à ARNm, croisez les doigts pour que la quercétine répare les dégâts avant qu’il ne soit trop tard (…). Santé !

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About pgibertie

Agrégé d'histoire, Professeur de Chaire Supérieure en économie et en géopolitique, intervenant àBordeaux III et comme formateur à l'agrégation d'économie à Rennes Aujourd'hui retraité
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2 Responses to Artemesine, Quercetine, ces molécules extraordinaires contre le cancer mais trop bon marché pour investir dans la recherche

  1. Avatar de Françoise Bianchi Françoise Bianchi dit :

    Le gros problème, pour les malades ordinaires, c’est d’avoir accès à l’information, car ce n’est pas le service oncologie de l’hôpital qui vous dira cela…

    Aimé par 3 personnes

    • Avatar de lepiaf18 lepiaf18 dit :

      En effet difficile avec ce genre de papier (les « Études », pas ce blog !) d’atteindre la génération clic-clic avec son téléphone greffé à la main et branché sur les « Réseaux Sociaux ».

      Une « Étude Médicale » bien faite, ça se lit pas en coup de vent, ça se dépiaute et s’analyse dans les moindres détails, ce n’est pas pour la nouvelle génération d’abrutis à coup d’I.A. que les YGL veulent nous imposer.

      En conséquence faut pas compter sur les Merdias (surtout chez nous !) pour informer même de l’existence de ces « papiers », puisque ce serait la mort de bien de leurs bailleurs de fonds, à commencer par nombre de lobbies !

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