Détruire des zones sauvages pour installer des panneaux photovoltaïques est un non sens. Cette électricité « verte » produite au détriment de la biodiversité fait fausse route…
Un jour peut être vous allez comprendre que le narratif climatique et du CO2 est le green washing ultime entièrement financé par les milliardaires et le grand capital pour se gaver de pognon. Il faut que vous acceptiez juste d’être objectif et que vous acceptiez d’être mis au ban
LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE 
Selon André Merlin, ancien haut dirigeant d’EDF et RTE, grand spécialiste de la production et du transport de l’électricité:
Une éolienne produit à hauteur de 1/4 de son temps d’existence soit par manque de vent ou trop de vent.
Un panneau solaire produit à hauteur de 1/7eme de son temps d’existence
Ces productions dites vertes renouvelables sont en fait intermittentes alors qu’on a besoin d’une électricité pilotable que seuls peuvent fournir l’hydraulique, le thermique et le nucléaire au profit de l’industrie, des services publics et des particuliers.
En outre cette électricité verte est plus chère à produire (1/3 plus chère) et doit être subventionnée pour être compétitive.
Et c’est un véritable casse tête pour la raccorder au réseau de transport tant en terme de câblages qu’en terme de distribution, car quand elle fournit il faut ralentir voir arrêter des centrales pilotables, ce qui coûte un bras, et quand elle n’est plus produite elle doit être compensée par une centrale thermique de puissance équivalente donc double investissement à la base.
Sans parler des problèmes de massacres des paysages, de la bio diversité et des problèmes non résolus du recyclage des panneaux et éoliennes dont l’obsolescence arrive beaucoup plus vite que pour les autres sources d’énergie.
Si on veut réindustrialiser la France, on a besoin d’une électricité à prix compétitif, c’est à dire ce qu’on avait avant avec EDF, mais ça c’était avant que la commission Européenne au service de l’Allemagne « verte » ne nous impose de créer une concurrence fictive avec des fournisseurs qui ne produisent que des factures, à défaut de produire et d’acheminer l’électricité.
voilà ce qui arrive quand on perd sa souveraineté avec des politiciens corrompus par les lobbys et au service de l’Hégémon Anglo/US.
Non contents des problèmes du coût de l’électricité, va venir s’ajouter le coût du gaz et du pétrole grâce aux sanctions contre la Russie et aux conflits en cours soutenus par les US et ses laquais.
Et puis il y a la marche forcée vers la décarbonation beaucoup trop pénalisante à mettre en suspens, alors qu’on représente autour de 0,02% des émissions mondiales, basée sur le mythe du changement climatique causé par la présence 0,04% de CO2 dans l’atmosphère.
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« Et puis il y a la marche forcée vers la décarbonation beaucoup trop pénalisante à mettre en suspens, alors qu’on représente autour de 0,02% des émissions mondiales, basée sur le mythe du changement climatique causé par la présence 0,04% de CO2 dans l’atmosphère. »
Et le « quoi qu’il en coûte cher à notre président, alors ?
Bon vont pas vous dire les lobbies que finalement « décarboner » est une connerie voire une illusion et que le CO2 finalement c’est « la vie », tout comme l’eau sinon adieu leur business juteux !
Ah; l’écologie à géométrie variable ! Il faudra bien encore 10 ou 15 ans avant qu’ils fassent machine arrière, en catimini, quand ils auront trouvé à mettre sur pied une autre intox bien juteuse.
Pour le moment, pour les aider à chuter plus vite, juste une petite idée; et si tous les propriétaires de maison individuelle se mettaient à auto produire l’énergie qu’ils consomment (panneaux solaires + batteries). Bien dimensionnée l’installation peut être assez vite amortie et c’est déconnexion totale du réseau. Il y a même des villages entiers qui s’y sont mis avec répartition collective des productions, de mini centrales solaires en quelques sortes. L’avantage c’est que ça ne bouffe quasiment pas de surface au sol supplémentaire et que ça ne fait pas de bruit.
C’est aussi valable pour beaucoup d’entreprises, petites ou plus grosses (les boulangeries et leurs fours électriques peuvent revenir en arrière à peu de frais).
Resterait plus que la grosse industrie, verrerie, sidérurgie, du moins ce qu’il en reste.
Je parie que dans ces conditions notre parc nucléaire actuel suffirait amplement, même avec quelques réacteurs à l’arrêt.
C’est là qu’on verrait Manu à l’oeuvre pour sa réindustrialisation du pays !
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rigolo le titre
l’apparition de R. Devos est aussi de circonstance, la subtilité sémantique étant devenue la base de tout le cirque qui doit foutre la trouille au pigeonnier en permanence, sur la base de « l’anticipation du risque….ou de la menace ».
le principe de « l’évitement » étant la base de riposte du dit pigeonnier devenu angoissé, , le business n’hésite jamais à proposer les ripostes adaptées au menaces mises en avant…
Les rats toujours attirés par un pigeonnier pour ramasser les miettes abondent. Les pseudos « vertueux » font du fric sur la tête de l’immensité des coupables visé du doigts
méa culpa, méa culpa, méa maxima culpa
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Vous voulez parler sans doute de la fripouille polytechnicienne Jean Marc Jancovici ? Oui mais il n’est pas le seul ! Le sale petit business écolo du racket des Français rapporte gros !
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Jancovici a une PME qui paie bien, c’est un minuscule, on est d’accord
le business et les escroqueries liées à la trouille de la terre qui partirait en vrille sont énormes..
Mais bon pourquoi pas prendre les masses de fric que les gens dépensent pour régler les problèmes de ceux qui proposent des solutions qui vont créer des problèmes
le sujet est vaste, aussi solide qu’un océan de sables mouvants… tout va bien
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Arrêter avec vos panneaux solaires à la con ! Je suis dans la moitié nord de la France – à Reuil-Malmaison près Paris – au mois de mai il a plu un jour sur deux – qu’est-ce que vous me chantez à produire de l’électricité en mettant des panneaux sur nos toits ? C’est juste débile…
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Ce n’est pas parce qu’il pleut que des panneaux solaires ne produisent pas ! du moins pour des modèles relativement récents, et dans ce que j’évoquais vous omettez les batteries, justement capitales dans ce cas de figure.
Ensuite, le « dimensionnement » de l’installation a aussi son importance tout autant que l’adaptation des appareils et de la conso. Fini par exemple le réflexe de faire marcher la MàL pendant les heures creuses la nuit !
Et la région parisienne n’est pas la plus mal lotie, même si effectivement plus on va vers le Nord moins les rendements sont bons, les panneaux ayant en général une inclinaison fixe, qu’il faut donc bien calculer.
Mais en ce qui me concerne, dans le centre on n’est pas beaucoup mieux lotis. Et pourtant je vous assure ça marche quand même, ailleurs aussi.
Mon fils dans l’est de la Côte d’Or en a depuis près de 10 ans.
Le seul handicap, surtout ne pas mettre le doigt dans le foutoir des dispositifs avec aides de l’État et rachat du surplus par EDF, trop de parasites venant se greffer sur les « montages ». On n’a pas vocation à nourrir les parasites !
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Nous avons formé depuis l’après-guerre une masse de faux savants-intellectuels qui ne nous servent à rien et qui s’emploient à nous pourrir la vie pour se faire du blé !
Le parasitisme de cette nouvelle classe sociale – le pseudo-savant des médias – est la conséquence inattendue de notre prospérité énergétique !
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le bac +10 scientifique doit chercher son pognon constamment pour pouvoir vivre du résultat de son étude
imaginons par exemple que le scientifique cherche dans son domaine à prendre un marché public lié au « covid » il va donc se mettre au boulot pour toucher le fric en trouvant du « covid »..sinon que dalle
C’est celui qui paie qui commande..
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