Conséquence de l’injection (et du SV 40 cancerigène), d’un covid long, des deux. IL FAUT SAVOIR pourquoi se multiplient tromboses et cancers. La spike vaccinale a été retouvée 8 mois aoprès l’injection chez des personnes classées covid long sans avoir eu la covid

Mensonge flagrant selon lequel la spike vaccinale a disparue rapidement après le vaccin (ARNm ET J&J, AZ !). SPike a été trouvée 8 mois après le vaccin chez des personnes présentant des symptômes de type Long Covid. Il semble tout à fait irresponsable de lancer actuellement davantage de vaccins à ARNm alors que les problèmes de santé potentiels liés à la SPique de longue durée ne sont pas résolus.

https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2024.03.24.24304286v1

Cette équipe américaine a peut-être trouvé un test pour détecter les dommages à long terme causés par les vaccins

Persistance de la protéine spike S1 dans les monocytes CD16+ jusqu’à 245 jours chez les personnes vaccinées post-COV19 contre le SRAS-CoV-2 présentant des séquales post-aiguës de symptômes de type COV19 (PASC)

Des rapports préoccupants ont fait état de personnes présentant de nouvelles complications persistantes (plus de 30 jours) à la suite des vaccins approuvés contre le SRAS-CoV-2 (BNT162b2 (Pfizer), ARNm-1273 (Moderna), Janssen (Johnson et Johnson) et ChAdOx1 nCoV- 19 (AstraZeneca)). 

Nous avons cherché à déterminer les anomalies immunologiques chez ces patients et à déterminer si l’étiologie potentielle était similaire aux séquelles post-aiguës du COVID (PASC) ou au COVID long.

Nous avons étudié 50 personnes qui ont reçu l’un des vaccins COVID-19 approuvés et qui ont présenté de nouveaux symptômes de type PASC, ainsi que 45 personnes post-vaccination sans symptômes comme témoins.

 Nous avons effectué un profilage multiplex des cytokines/chimiokines avec l’apprentissage automatique ainsi que la détection de la protéine SARS-CoV-2 S1 sur des sous-ensembles de monocytes CD16+ à l’aide de la cytométrie en flux et de la spectrométrie de masse.

 Nous avons déterminé que les individus post-vaccinés présentant des symptômes de type PASC présentaient des symptômes similaires à ceux des patients PASC.

 Lors de l’analyse de leur profil immunitaire, les individus post-vaccinés présentaient des élévations statistiquement significatives de sCD40L (p<0,001), CCL5 (p=0,017), IL-6 (p=0,043) et IL-8 (p=0,022). 

L’apprentissage automatique a caractérisé ces individus comme PASC à l’aide d’algorithmes développés précédemment. Parmi les patients post-vaccination S1 positifs, nous avons démontré par chromatographie liquide/spectrométrie de masse que ces cellules CD16+ provenant de patients post-vaccination des 4 fabricants de vaccins contenaient des séquences peptidiques S1, S1 mutantes et S2. 

Les individus vaccinés après la COVID-19 présentant des symptômes de type PASC présentent des marqueurs d’activation plaquettaire et de production de cytokines pro-inflammatoires, qui peuvent être motivés par la persistance des protéines SARS-CoV-2 S1 dans les monocytes intermédiaires et non classiques. 

LA PROTEINE SPIKE SEULE (virus et vaccins) et L’ACE2 , AU CARREFOUR DES CANCERS ,et des COVID</a> https://pgibertie.com/2022/01/13/la-proteine-spike-seule-virus-et-vaccins-et-lace2-au-carrefour-des-cancers-et-des-covid-2/… via

@GibertiePatrice