Doit-On cacher la vérité sur l’intégration dans le genome et les risques de cancers suite aux vaccins geniques?

Doit-On cacher la vérité sur l’intégration dans le genome et les risques de cancers suite aux vaccins geniques tant que tous les scientifiques honnêtes ne se sont pas mis d’accord ? Helene Banoun s’interroge devant les hésitations du professeur BUCKHAULT

Pour les cancers aux ETATS Unis, ce sera 14% de plus

L’ARNm de Covid Vaxx a provoqué une inflexion importante en 2021, et désormais une nouvelle tendance en termes d’incidence et de mortalité du cancer. Maintenant, vous savez qui étaient les menteurs depuis le début.

@P_J_Buckhault

Les fortes inquietudes qui sont les siennes avaient eu l’effet d’une bombe… Voudrait il calmer le jeu… sans lever les inquiétudes

@P_J_Buckhaults est un des meilleurs cancérologues reconnu au monde

Phillip Buckhaults, Ph.D., est un biologiste moléculaire et généticien du cancer expérimenté qui possède une vaste expérience des applications de séquençage de nouvelle génération pour l’analyse globale de l’expression génique et la détection des mutations génétiques.

Buckhaults a caractérisé les paysages d’expression des tumeurs du côlon pour identifier les signatures de récidive et les paysages de mutations des tumeurs du sein et du côlon pour identifier de nouveaux gènes du cancer, et il a dressé le profil des signatures de mutations des gènes du cancer dans les mélanome

Les découvertes de contamination de l’ADN dans les vaccins à ARNm ont été répétées par moi et par d’autres. L’ADN est largement distribué dans de nombreux lots utilisés dans le monde entier. Moi et d’autres étudions pour voir si l’ADN plasmidique s’intègre un jour dans l’ADN génomique humain.

Mes découvertes seront rapportées dans des publications évaluées par des pairs.

Certaines personnes étaient effrayées par quelque chose pour lequel elles ne pouvaient rien faire. La discussion doit avoir lieu entre scientifiques et régulateurs et ne doit pas être utilisée pour alarmer le public à moins/jusqu’à ce que des informations exploitables soient obtenues. Les scientifiques travaillent en privé pour garantir la protection du public. Il y a des scientifiques bons et honnêtes qui ont rapidement présenté des vaccins au public pour le protéger contre un nouveau virus, et maintenant d’autres scientifiques bons et honnêtes s’y opposent et mènent des études de sécurité supplémentaires pour s’assurer qu’aucun mal ne passe inaperçu. Il s’agit d’une tension naturelle entre deux bons groupes de scientifiques et le public est servi par leurs relations quelque peu conflictuelles.

Les études de pharmacovigilance se déroulent généralement à l’abri des regards du public et ne sont portées à l’attention du public que lorsque des résultats informatifs sont prêts. Cette question a été exposée prématurément au public. Je suis reconnaissant du soutien massif du public envers mes recherches, mais cela a eu un coût émotionnel élevé pour certains. [quelques recommandations politiques…]

1. Les vaccins à ARNm à base de nanoparticules lipidiques nécessitent un nouveau type de programme de surveillance de l’intégrité du génome vérifiant la mutagenèse insertionnelle et/ou les modifications épigénétiques dans les conditions réelles dans lesquelles ils sont utilisés.

2. Les institutions chargées de veiller à la sécurité publique ne devraient pas être financées par les industries qu’elles réglementent.

Une souche d’E.coli peut muter l’ADN. il est probablement à l’origine de certains cas de cancer du côlon à apparition précoce. le microbiome compte. les bons bugs peuvent évincer les mauvais bugs.

A propos pgibertie

Agrégé d'histoire, Professeur de Chaire Supérieure en économie et en géopolitique, intervenant àBordeaux III et comme formateur à l'agrégation d'économie à Rennes Aujourd'hui retraité
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4 commentaires pour Doit-On cacher la vérité sur l’intégration dans le genome et les risques de cancers suite aux vaccins geniques?

  1. JALLU YVETTE dit :

    Non il faut dire la vérité!!!!!!!!!!!!

    Envoyé depuis Yahoo Mail pour iPhone

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  2. CHRISTINE TASSAERT dit :

    Les risques de cancers de novo ou de récidive sont bien connus, et il faut bien sûr en avertir les populations pour qu’elle bénéficient de dépistage précoce.

    Pour l’integration dans le génome, ne pourrait-on pas utiliser les fausses couches ou bébés morts nés pour vérifier si oui ou non ?
    une idée comme ça, mais vu que les hôpitaux refusent de rendre le corps des enfants décédés, peut être qu’ils font déjà des études sur d’éventuelles anomalies chromosomiques ?

    En tout cas, les familles devraient être prévenues d’un potentiel risque

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    • lepiaf18 dit :

      Ne tournez pas autour du pot. Bien sûr qu’il faut informer !
      Si intégration dans le génome, c’est que Montagnier (et d’autres, je pense à Vélot) avaient raison. Et si les chercheurs le définissent faut juste arrêter cette mascarade.

      Qu’un toubib chercheur veuille juste « chercher » des preuves en catimini est anormal, dès lors que ce n’était pas voulu au départ !

      Et si « pas voulu » on appelle ça un « effet indésirable »… Décidément ça ne va pas redorer le blason de la médecine !

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  3. maikoro12 dit :

    Attendre pour révéler les risques inhérents qu’on ait trouvé une parade, ça me va dès lors qu’on arrête immédiatement les injections

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