
Sur le fond, constater l’élévation de température ces 200 dernières années est une chose (assez complexe en soi, elle concerne les villes bétonnées), en interpréter la cause en est une autre, et quantifier l’avenir une troisième : la thermodynamique de l’atmosphère n’a malheureusement pas la simplicité de la bille qui tombe sous l’effet de la pesanteur !
Nous avons connu un réchauffement important de 0,83 °C au cours des 43 années, tout cela dû à une absorption accrue de la lumière solaire par la Terre causée par une diminution de l’albédo des nuages. Les données ne montrent AUCUN signe de réchauffement induit par le CO2 ! x.com/NikolovScience…
Il y a un paradoxe entre cette complexité admise et la simplicité de « la seule faute au CO2 ».
Les émissions de CO2 ne dépendent pas de l’activite humaine mais des précipitations et de leurs conséquences sur la végétation
Pour les scientifiques la question de CO2 est bien complexe, on sait que les émissions sont indispensables à la végétation et donc à la vie sur terre. Une augmentation naturelle (soleil) des températures entrainerait une hausse de a quantité de co2 et non l’inverse . On sait également que la géothermie et les volcans ont un impact, que les forêts et la végétation l’absorbent pour s’en nourrir
L’augmentation de la quantité de CO2 favorise la biodiversité.
Le CO2 constitue environ 0,04% de l’atmosphère, les activités humaines (industrie, vache…) ne représentent que 5% des flux bruts annuels selon le Giec….
Seulement depuis un siècle et demi la quantité de CO2 émise augmenterait de …5%. Conclusions du Giec , le coupable…les 5% de l’activité humaine….
De nombreux scientifiques font remarquer que les variations importantes de co2 ont existé avant l’apparition de l’homme mais surtout plusieurs études récentes remettent en question la doxa.
1° Comment expliquer que la hausse des températures commence dès 1800, pratiquement un siècle AVANT L’ AUGMENTATION SIGNIFICATIVE DU CO2
https://www.nature.com/articles/s41558-023-01919-7
2 Pourquoi les émissions de c02 varient elles fortement sans explications d’origine humaine
3 Pourquoi les émissions de CO2 peuvent elles être très fortes dans des régions désertiques sans industrie?


l’érosion chimique humide des roches pompe du dioxyde de carbone (CO2) de l’atmosphère. Ce carbone est ensuite amené à l’océan sous forme dissoute par les rivières et les fleuves. Il peut sédimenter au fond des océans et être enfoui dans la lithosphère. Sur ces échelles de temps, le cycle du carbone est bouclé par des émissions de CO2 dues aux éruptions volcaniques et aux émissions des surfaces océaniques. Ce cycle « lent » du carbone a vu la formation progressive des réserves d’hydrocarbures après enfouissement de quantités colossales de matières organiques durant plus de 300 millions d’années
La végétation et les sols se comportent en puits de carbone et stockent une partie du carbone atmosphérique (sous forme de matière organique, comme le bois ou la tige des feuilles). Une autre partie du carbone atmosphérique est stockée sous forme de CO2 dissous dans les océans, ce qui par ailleurs cause leur acidification. Une fraction de ce carbone dissous est utilisée par les micro-organismes marins pour fabriquer leurs coquilles carbonatées. Ces coquilles s’accumulent dans les sédiments océaniques à la mort des organismes. A l’inverse, les océans peuvent ré-émettre du CO2 vers l’atmosphère (dégazage), notamment dans les eaux les plus chaudes. À l’échelle saisonnière, des variations de la concentration en CO2, en particulier dans l’hémisphère nord, ont été mises en évidence, avec des concentrations plus faibles en été qu’en hiver. Ce phénomène naturel est en lien avec l’intensification de la photosynthèse durant les périodes de printemps et d’été aux latitudes moyennes et hautes, et sa diminution pendant l’hiver. Dans le même temps, la respiration des végétaux et la décomposition de la matière organique du sol émet du CO2 dans l’atmosphère toute l’année, mais avec des flux plus élevées pendant l’été et l’automne.
Les puits naturels: Il s’agit des écosystèmes qui, comme les forêts, les marais côtiers, le bocage, le phytoplancton, captent naturellement le CO2 par photosynthèse et le stockent dans le bois, les sols, les sédiments… Du CO2 se dissout aussi dans les océans
Si le cycle naturel du carbone a toujours existé, la doxa attibue aux activités humaines un rôle déterminant
La concentration atmosphérique en CO2 croît plus rapidement pendant les années sèches (et inversement)
Les plantes ont besoin d’eau pour se développer mais lorsqu’une sécheresse se produit, elles réduisent leur métabolisme en fermant partiellement leurs stomates [7] pour limiter les pertes d’eau par évaporation. Ce phénomène qui maximise l’efficacité de l’utilisation de l’eau par les plantes se produit au détriment de la capture de carbone par la photosynthèse, affaiblissant ainsi leur rôle de puits de carbone.
Pour comprendre et prédire les variations de CO2 grâce à l’évolution de la végétation, les chercheurs ont mesuré les variations extrêmement faibles du champ de gravitation terrestre causées par des variations de la quantité d’eau stockée sur les continents. Ils ont utilisé pour cela le système satellitaire GRACE [8] qui permet de mesurer la répartition des masses au sein de la planète et ses variations dans le temps.
Les chercheurs ont relevé une forte cohérence spatiale et temporelle entre une efficacité optimale de l’utilisation de l’eau par les plantes et la réduction de la capture du carbone atmosphérique dans l’hémisphère Nord lors des sécheresses qui ont affecté l’Europe, la Russie et les USA en 2001–2011. Ils ont ainsi montré que la concentration atmosphérique en gaz carbonique s’accroissait plus rapidement pendant les années sèches, parce que les écosystèmes soumis au stress hydrique absorbent moins de carbone.
Pendant les années globalement sèches comme 2015 (à l’échelle mondiale), les écosystèmes naturels ont capturé environ 30 % de CO2 en moins que lors d’une année normale. Cela a induit, cette année-là, un accroissement plus rapide de la concentration atmosphérique en CO2 . À l’inverse, pendant l’année 2011 qui fut globalement très humide, le développement de la végétation a causé une augmentation plus lente du CO2 atmosphérique.
Nouvelle étude dans PNAS « Les tendances d’humidité observées dans les régions sèches contredisent le climat des modèles » Les modèles se sont complètement plantés sur les tendances de l’humidité et des précipitations https://bpb-us-w2.wpmucdn.com/sites.coecis.cornell.edu/dist/f/423/files/2023/12/simpson23pnas.pdf
Ping: Comment une vaste région semi désertique d’Afrique peut elle émettre autant de CO2 que la Chine? Pourquoi les températures augmentent elles toujours… – Qui m'aime me suive…
On peut aussi rappeler que le GIEC truque les données de température ou les invente carrément, à sa convenance. Malgré ça, les modèles ne correspondent jamais à la réalité. Voir les exemples sur https://realclimatescience.com de l’excellent Tony Heller.
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L’albédo pilote la température donc le cycle de l’eau lequel est relié au cycle du soleil et au géomagnétisme or ce que l’homme perturbe est le géomagnétisme.
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D’où sortez-vous cette illustration, que voulez-vous nous dire et/ou lui faire dire ?
D’après mes connaissances, le géomagnétisme c’est le magnétisme de la Terre, de notre planète donc.
Il n’y a dans les référentiels que le Nord Géographique et le Nord Magnétique (ou géomagnétique, donc). je n’ai lu ni entendu nulle part quelque chose à propos d’un « Nord Géomagnétique » différent du Nord Magnétique, ce qui apparaît pourtant sur l’illustration.
Entre les 2 cités il y a la « Déclinaison Magnétique », variable comme chacun sait.
Et si l’on constate bien une position changeante du Nord Magnétique par rapport au Nord Géographique, j’aurais tendance à penser que finalement celui qui « bouge » n’est peut-être pas celui qu’on croit !
Pourquoi ce questionnement ?
1- l’hypothèse aujourd’hui admise vient en contradiction avec plusieurs observations, dont l’attribution de ce fumeux changement climatique, sans même parler de l’influence de l’humain. Et si au lieu que ce soit le climat qui change, perception « humaine » d’un certain réchauffement, c’était la portion de sol exposée sur laquelle on est qui changeait de place, en quelque sorte ? Bon je suis prudent, pour l’instant peut-être un peu des 2 ! Et non je ne suis pas Normand !
2- Le fait que le Nord Magnétique soit la référence géologique. Pour mémoire le Nord « Géographique » est un repère cartographique conventionnel, pas le résultat d’une mesure.
3- La variation des méthodes de mesures. Depuis la boussole il a coulé de l’eau sous les ponts, Il y a eu le compas (avec compensations), puis le radio compas, tous instruments se basant sur le repérage du Nord Magnétique, puis enfin est apparu le GPS.
Apparition que je semble détecter sur votre illustration autour de 1984 !
Mais si le GPS utilise bien des ondes électromagnétiques pour calculer les distances et positionnements (par triangulation comme pour la goniométrie) il n’est pas basé sur la détection du nord magnétique.
4- Il est couramment admis que l’axe de rotation de notre planète passe par les pôles géographiques MAIS ça peut paraître incohérent puisque ces points ne sont que des points déterminés par observations astronomiques et convention, pour l’établissement des cartes, essentiellement.
Et qu’il se pourrait bien qu’ils « bougent ».
Il suffit d’observer une carte ou un globe représentant notre planète pour remarquer que bizarrement certaines « parties » ont dû sérieusement être imbriquées fut un temps ! Quid donc de la position de cet axe de rotation ?
Dans ces conditions; et si c’était le contraire ?
On aurait en fait un pôle magnétique d’emplacement assez constant et une dérive du pôle géographique, possiblement inégale entre les pôles Nord et Sud; phénomène qu’on pourrait expliquer plus ou moins simplement par une « dérive des continents ». C’est drôle mais je crois bien que dans l’histoire de notre planète ça a déjà existé, ça !
Et si en plus l’axe de rotation de la planète sur elle-même n’était finalement pas bien défini, etc…
Il est bien difficile d’établir des « Lois » lorsque finalement tout bouge !
Je me dis dans tout ça que finalement ce qui bouge le moins c’est ce foutu système solaire, bien établi et bien auto régulé.
Et que par conséquent c’est nous, les humains, entre autres (j’ai pas encore eu l’occasion de discuter avec des petits hommes verts venus d’ailleurs !) qui faisons de mauvaises observations, ou de mauvaises hypothèses et donc souvent, voire trop souvent, des conclusions erronées.
Je me rappelle combien se posaient la question du pourquoi ils ne tombaient pas lorsqu’ils se retrouvent la tête en bas lors de la rotation de la Terre et aussi combien ont pensé longtemps que la Terre était… plate. C’est pas si vieux que ça, la prise de conscience et avec elle l’admission de s’être trompé ! quelques centaines d’années seulement. Les croyances ont souvent la vie dure.
Je ne parle même pas des modélisations de certains… suivez mon regard !
Petit article; enfin plutôt coup de tonnerre si ça se confirme, car il faudra anticiper la refonte du système cartographique; ici:
https://www.universalis.fr/encyclopedie/preuve-paleomagnetique-pour-la-derive-des-continents/
L’hypothèse énoncée en fin de 1 ère page est intéressante, autant que celle ayant conduit à l’époque à la conclusion de Galilée (eh oui, la Terre tourne de 2 manières différentes), on ne le sait que depuis 400 ans et certains ne l’ont pas accepté facilement et je ne résiste pas à la joie de le citer:
« La mathématique est une science dangereuse : elle dévoile les supercheries et les erreurs de calcul.
-Galilée,
Physicien et astronome »
Bon Dieu, je doute de tout (salut les intégristes, religieux en particuliers, de tous poils qui ne doutent de rien !), je dois être un scientifique alors ? Enfin peut-être !
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Ping: Comment une vaste région semi désertique d’Afrique peut elle émettre autant de CO2 que la Chine? Pourquoi les températures augmentent elles toujours AVANT le CO2? – Monde25