Deux députées macroniennes sont particulièremnent impliquées :
La députée macroniste Brigitte Liso, visiteuse médicale pour la firme pharmaceutique GSK, est à l’origine du retour de l’article 4 de la loi sur « les dérives sectaires », interdisant la critique des traitement & vax de Big Pharma La corruption est au plus haut sommet de l état
Même pas honte, ils ont choisi la députée macronienne la plus liée à Big Pharma pour assurer le passage de la loi liberticide qui puniera les lanceurs d’alerte contre les scandales sanitaires
Avant de devenir députée LREM du Loiret, Stéphanie Rist a multiplié les contrats avec les laboratoires pharmaceutiques en tant que rhumatologue. Une activité qu’elle a arrêtée dès son élection en juin 2017, mais qui peut poser des problèmes de « réminiscence » au moment de ses votes.
C’est en 2014 qu’Expeo, société informatique du mari de Stéphanie Rist, a commencé à travailler, indirectement, avec l’hôpital. À cette époque, celle qui deviendra députée du Loiret, trois ans plus tard, est chef du service de rhumatologie et cherche un prestataire pour créer un site Internet. « C’est le moment où on a beaucoup développé l’éducation thérapeutique. On avait besoin d’expliquer ça aux patients, il nous fallait une vitrine », explique le Dr Rist qui trouve que le site Internet du CHRO n’est pas suffisant pour mettre en valeur ces informations.
C’est ainsi qu’est créé rhumatorléans.fr, entièrement conçu par Expeo. Pourquoi avoir choisi la société de son mari ?
Ce contrat, conclu en 2016, porte sur un montant de 24.800 €. Une somme qui se situe juste en dessous du plancher légal (25.000 €) et qui permet donc de passer un marché public sans la procédure de publicité qui garantit la mise en concurrence. Expeo « a été choisie après une mise en concurrence », répond toutefois la direction de l’hôpital, se défendant de tout favoritisme.
Les députés médecins votent-ils sous l’influence des laboratoires pharmaceutiques ? C’est la question que pose le site d’information indépendant Basta ! dans le cadre d’une série d’articles intitulés « les Pharmapapers« . Et le cas d’une députée du Loiret est particulièrement évoquée : Stéphanie Rist, élue LREM de la 1ère circonscription, Orléans-Sud.
« Quand vous êtes expert-médecin dans un domaine, explique Stéphanie Rist, quand il existe de nouveaux médicaments, il faut aller se former pour apprendre à quoi servent ces nouveaux médicaments et dans quels cas les donner. Cet apprentissage se fait de façon internationale : vous allez dans les congrès américains, par exemple, puis vous revenez en France avec cette connaissance que vous diffusez ensuite à vos collègues qui sont un peu moins experts. Et pour faire ce travail, vous êtes rémunéré avec des contrats transparents.«
Alors fermez le ban ? Pas tout à fait, répond la journaliste Rozenn Le Saint, qui participe à ces « Pharmapapers », et qui rappelle que chaque année les députés votent la loi de financement de la sécurité sociale, fixant le taux de remboursement des médicaments : « Stéphanie Rist est entrée dans l’hémicycle avec ses liens passés avec l’industrie pharmaceutique. Certes, des liens d’intérêt, ce ne sont pas des conflits d’intérêt ; en revanche, inconsciemment, il peut y avoir des réminiscences dans le sens où les intérêts des laboratoires lui ont été tellement rappelés pendant des années, qu’il est possible qu’elle ait conservé en tête que c’est l’industrie pharmaceutique qui innove, et qu’il faut pour cela aider à ce qu’elle soit financée, et que les médicaments soient remboursés à leur juste valeur, que le prix des médicaments soit suffisamment élevé pour que les laboratoires puissent continuer à innover, par exemple.«
https://www.bastamag.net/webdocs/pharmapapers
En tout cas, ce puissant syndicat de l’industrie pharmaceutique est très actif autour de l’Assemblée, de même que les grands labos. Pour le deuxième semestre 2017, ils ont collectivement déclaré près de 7 millions de dépenses de lobbying à Paris (lire notre article « À Paris, l’influence écrasante des labos face aux associations de patients? »), dont une partie importante consacrée à influencer le projet de loi de financement de la sécurité sociale, ou « PLFSS » pour les initiés. Cette loi de financement est éminemment stratégique pour tout le secteur. Elle détermine non seulement le taux de croissance des dépenses de médicaments remboursables, mais aussi toutes les procédures d’évaluation, d’autorisation et de mise sur le marché des produits pharmaceutiques. Autant dire qu’une petite modification introduite par amendement peut avoir un impact significatif sur le taux de profit des laboratoires.
Le mari de Mme Rist a créé en 2020 une société de formation sur la vaccination auprès des professionnels de santé.
Macron veut persécuter ceux qui ont raison trop tôt (« les complotistes »). En effet, cet article 4 précise bien que l’on ne peut contredire l »‘état de la science » à l’instant T.
Même si l' »état de la science » évolue, ce qui arrive souvent vu les preuves frelatées fournies par les labos, on serait condamné !
En effet, l’histoire récente montre que ce serait plutôt les critiques d’un narratif officiel delirant qui seraient incriminées. Ce projet de loi est évidemment aussi liberticide que rétrograde, rappelant le procès de Galilée il y a 4 siècles et il faut s’y opposer.
Sur le fond, la #Macronie a perdu la bataille de l’opinion sur les vaccins #Covid : elle n’a réussi à les injecter que parce qu’il y avait une contrainte. Kes gens préférant choper #Omicron pour avoir un #PasseDeLaHonte que s’injecter n’importe quoi. La bataille de l’opinion ne se gagne pas par la contrainte.
Et chacun connait l’#EffetStreisand comme quoi la censure est contreproductive, surtout comme ici pour des restrictions locales à l’heure d’Internet. La macronie a donc toujours des rêves totalitaires d’imposer sa vérité, son narratif parce qu’elle est incapable de convaincre le peuple et abuse de ses derniers instants au pouvoir. Mais la réalité est plus forte, la Science n’est pas à sa botte.
LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE 
j’ai appris hier que les 3 fantastiques héros fakecherckers font partie de la commision qui étudie cette loi ! un comble
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Tout à fait d’accord avec vous. Une large partie population a perdu confiance dans les autorités sanitaires. Le faible taux de vaccination Covid mais aussi d’autres maladies le démontre.
La seule solution est la transparence, le débat et la reconnaissance des effets secondaires.
Enfouir tout ça sous une chape de plomb va faire empirer les choses. Ceux qui ont décidé de ne plus accepter un traitement dans le passé par méfiance seront encore moins rassuré si toute critique ou témoignage d’effet secondaires vous fait risquer la prison.
Alors la population se renseignera sur les sites WEB à l’étranger et tout dialogue avec les autorités sera rompu.
J’ai aussi déjà mentionné l’effet « arroseur arrosé »: il ne faudra pas hésiter à poursuivre ceux qui ont publié une étude frelatée sur l’HCQ en affirmant un risque accru de 10 % de décès: ceux qui auront abandonnée leur traitement contre le lupus pourront les envoyer en prison. Pas en 2024 mais quand le gouvernement aura changé et qu’il faudra régler les comptes.
Je ne comprends pas que l’équipe de Macron n’y songe même pas.
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Perso j’ai appelé ça l’effet boomerang !
le problème pour notre emmerdeur, c’est de mettre des noms en face des postes vacants, dans tous les secteurs.
On assiste de fait à un épisode du jeu des chaises musicales. Mais ce ne sont que des Kleenex, des mouchoirs jetables.
En plus le timing est bien mal venu, faisant suite au fiasco des dernières « vaccinations »; Covid (les produits anti-Covid n’étant pas des vaccins), Papilloma virus, Grippes, etc; sans même évoquer la crise agricole (et la grippe aviaire, montée en épingle à dessein).
a force de s’entêter ces fanatiques inconditionnels de Jupiter 1er vont finir par se cramer ou se retrouver bien seuls !
Il y a encore de pavés qui vont se perdre dans les vitrines de quelques permanences !
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Décidément la France fait tout à l’envers. Alors que l’on songe à criminaliser les lanceurs d’alerte dans le domaine médical en France, une association de médecins a interpelé la cour suprême américaine sur la censure d’informations sur les vaccins par le gouvernement américain. Les réseaux sociaux pourraient dont être obligé de publier les informations classées « antivax »
https://petermcculloughmd.substack.com/p/breaking-aaps-files-amicus-brief
Si la cours suprême accède à cette demande, les français devront se tourner vers les USA pour publier et s’informer de manière éclairée,
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« En même temps » je me demande comment nos « Élites » peuvent ne pas se rendre compte qu’il nous est si facile d’aller piocher ces infos outre atlantique.
Et le domaine « médical » n’est pas le seul domaine touché.
Nous sommes à un carrefour sociétal où le « droit des affaires » est en train de prendre le pas sur les droits fondamentaux dans… certains pays seulement, dont le nôtre.
La France vire dangereusement vers un totalitarisme d’État asservi à la haute finance. C’est donc au citoyen d’y mettre le ho là ! Ces députés n’ont que peu de légitimité quand on y regarde bien. En plus de ne pas avoir beaucoup de professionnalisme en matière juridique. Voir l’avis du C.E. à propos de l’art.4 de cette Loi, en particulier.
Tant qu’aux USA le 1er amendement (notre droit de grève et de manifester fait figure de gadget, à côté) sera respecté, je ne vois pas comment nos marionnettes locales pourront gagner.
Faut juste résister, comme pour les « pass ».
Ça s’appelle la résilience; et dommage pour ceux qui ne consacrent leur vie qu’à des futilités « autorisées sous contrôle » car en entrant dans ce jeu, il y a de fortes probabilités qu’ils la perdent (leur vie) plus tôt que prévu !
Forcément ceux qui en sont restés à la fable du pangolin ne sont pas sortis de l’auberge !
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Un hôpital suisse publie une étude qui démontre un risque accru d’AVC en cas de prise de statines sur le long terme. Les praticiens sont informés de tenir compte de ce risque lors du calcul du bénéfice/risque chez leur patients.
Cette étude a été reprise par la presse étrangère mais n’a pas été reprise en France: les autorités sanitaires n’ont donc pas adapté leur recommendations.
Une personne traitée préventivement pourrait décider d’abandonner le traitement car elle ne souhaite pas prendre un risque d’AVC. Cette publication serait donc illégale en France.
De plus, un médecin qui ferait stopper un traitement de statines à son patient en mentionnant cette étude serait passible de prison !
Sommes-nous devenu fou ? La médecine française va rapidement devenir la pire du monde entier.
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« La médecine française va rapidement devenir la pire du monde entier. »
Ils s’en cognent. Ce qui leur importe est de rester au pouvoir. Le fromage est trop bon et ils se gavent comme des porcs.
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Ping : Stéphanie Rist, la lobbyiste de Big Pharma avec ses conflits d’intérêt sera la rapporteur de la loi Darmanin interdisant de dénoncer les scandales… – Qui m'aime me suive…
La Macronie inculte, corrompue et ses complices devrait carrément abolir la déclaration des droits de l’homme et la constitution Française, au lieu de passer son temps à vider de leur substance, ces textes fondateurs et protecteurs de la République .
Les fossoyeurs des libertés fondamentales au service de la finance internationale, sont à l’œuvre pour détruire la France, qui ne sera bientôt plus qu’un lointain souvenir, à moins d’un vent nouveau d’inspiration Gaulliste souverainiste venant balayer les imposteurs…
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Bonjour J’aurais aimé diffuser votre mail sur facebook et sur tweeter mais je n’y parviens pas . Merci de m’indiquer la solution Merci Cordialement
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Plus il y a de médecins à l’Assemblée nationale et moins on peut se soigner correctement !
Je propose qu’on renvoie les médecins-élus devant les malades …
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Je suis d’accord !
Et on les accueille avec une batte de base-bal ou 2 raquettes de jokari; histoire de leur remettre les idées en place !
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Trop de médecins dans les corps élus et pas assez sur le terrain… on se croirait chez Molière avec ces gens de la Faculté qui devisent en latin sur le poumon du malade qui est en train de claquer !
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