Ces terribles témoignages et ces nouvelles études qui établissent les preuves des effets graves des vaccxxxins , la réponse à la tribune de l’EXPRESS

1 Le lien est établi entre les injections et le syndrome de Guillain Barré

frontiersin.org/articles/10.3389/fimmu.2023.1078197/full

marco nius

@NiusMarco

Objectif : Cette étude visait à analyser rétrospectivement les cas signalés de syndrome de Guillain-Barré (SGB) survenus après la vaccination contre le COVID-19.

Méthodes : Les rapports de cas de SGB suite à la vaccination contre la COVID-19 publiés avant le 14 mai 2022 ont été extraits de PubMed. Les cas ont été analysés rétrospectivement pour leurs caractéristiques de base, les types de vaccins, le nombre de doses de vaccination avant le début, les manifestations cliniques, les résultats des tests de laboratoire, les résultats des examens neurophysiologiques, le traitement et le pronostic.

Résultats : L’analyse rétrospective de 60 rapports de cas a révélé que le SGB post-vaccination contre la COVID-19 survenait principalement après la première dose de vaccination (54 cas, 90 %) et était courant pour la vaccination par ADN (38 cas, 63 %), fréquent dans les pays d’âge moyen. -les personnes âgées et âgées (âge moyen : 54,5 ans), et également fréquentes chez les hommes (36 cas, 60 %). Le délai moyen entre la vaccination et le début de la vaccination était de 12,3 jours. Le SGB classique (31 cas, 52 %) était la classification clinique majeure et le sous-type AIDP (37 cas, 71 %) était le sous-type neurophysiologique majeur, mais le taux positif d’anticorps anti-ganglioside était faible (7 cas, 20 %). . La paralysie bilatérale du nerf facial (76 % contre 18 %) et la paresthésie faciale avec paresthésie distale (38 % contre 5 %) étaient plus fréquentes pour la vaccination par ADN que pour la vaccination par ARN.

Conclusion : Après avoir examiné la littérature, nous avons proposé une association possible entre le risque de SGB et la première dose des vaccins contre la COVID-19, notamment les vaccins à ADN. Le taux plus élevé d’atteinte faciale et un taux positif plus faible d’anticorps anti-ganglioside peuvent être une caractéristique du SGB après la vaccination contre la COVID-19.

https://www.elsevier.es/en-revista-clinics-22-articulo-guillain-barre-syndrome-related-sars-cov-2-vaccinations-S1807593222033142

2 Le lien est établi entre injections et crises cardiaques

Cette première étude suit des rats pendant les 72 heures post injection de Pfizer ou de Moderna

Effets secondaires cardiaques des vaccins contre le SRAS-CoV-2 à base d’ARN : effets cardiotoxiques cachés de l’ARNm-1273 et du BNT162b2 sur la fonction et la structure des myocytes ventriculaires

Comme les théories convaincantes sur les mécanismes pathologiques sous-jacents n’ont pas encore été développées, cette étude a étudié l’effet de l’ARNm-1273 et du BNT162b2 sur la fonction, la structure et la viabilité des cardiomyocytes de rats adultes isolés sur une période de 72 heures.

Résultats clés

Au cours des 24 heures suivant l’application, l’ARNm-1273 et le BNT162b2 n’ont provoqué ni perturbations fonctionnelles ni anomalies morphologiques. Après 48 h, l’expression de la protéine de pointe codée a été détectée dans les cardiomyocytes ventriculaires pour les deux ARNm. À ce stade, l’ARNm-1273 a induit des contractions arythmiques ainsi que complètement irrégulières associées à des transitoires calciques irréguliers et localisés, qui fournissent des indications d’un dysfonctionnement significatif du récepteur cardiaque de la ryanodine (RyR2). En revanche, BNT162b2 a augmenté la contraction des cardiomyocytes via une activité significativement accrue de la protéine kinase A (PKA) au niveau cellulaire.

Conclusion et implications

Ici, nous avons démontré pour la première fois que dans les cardiomyocytes isolés, l’ARNm-1273 et le BNT162b2 induisent tous deux des dysfonctionnements spécifiques corrélés physiopathologiquement à la cardiomyopathie. La déficience de RyR2 et l’activation soutenue de la PKA peuvent augmenter considérablement le risque d’événements cardiaques aigus.

https://bpspubs.onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/bph.16262

3 Bien trop de risques à vacciner les ados et les enfants

Les chercheurs ont examiné les adolescents nés entre 2002 et 2009 qui ont reçu un vaccin contre le Covid-19 en 2021 ou 2022. Ils ont exclu les enfants ayant reçu un vaccin précoce, indiquant qu’ils présentaient un risque élevé de Covid-19. Les autres exclusions concernaient les enfants ayant souffert d’un des problèmes de santé au cours des quatre années précédant la vaccination.

Au final, la population étudiée s’est élevée à près de 500.000 enfants.

Les chercheurs ont constaté que les enfants ayant reçu le vaccin contre le Covid-19 étaient cinq fois plus susceptibles de souffrir d’une réaction anaphylactique, ou d’un choc allergique grave, après une première dose, et près de dix fois plus susceptibles de souffrir d’un choc après une deuxième dose. Les risques accrus sont apparus dans les deux jours. Sur la base de données de l’Organisation mondiale de la santé et d’autres sources, cette période a été identifiée comme la fenêtre de risque, c’est-à-dire la période la plus probable au cours de laquelle les personnes vaccinées sont confrontées à une issue, pour le choc.

Selon les résultats de l’analyse principale, les enfants vaccinés étaient également environ 2,5 fois plus susceptibles de souffrir d’une lymphadénopathie dans les 14 jours suivant la seconde dose et sept fois plus susceptibles de souffrir d’une myocardite et/ou d’une péricardite, ou d’une inflammation cardiaque, dans les 28 jours suivant l’administration de la seconde dose.

Les trois essais cliniques des vaccins ont détecté un risque accru de lymphadénopathie chez les participants âgés de 16 ans et plus.

Lorsque les chercheurs ont élargi les fenêtres de risque dans une analyse complémentaire, ils ont également constaté un risque accru d’appendicite aiguë après une première et une deuxième dose, ainsi qu’un risque accru de paralysie du nerf facial. Les sous-analyses stratifiées par âge ont également révélé des risques accrus d’épilepsie et de convulsions chez les jeunes de 18 et 19 ans dans les 28 jours, la fenêtre de risque, suivant l’administration d’une deuxième dose de vaccin, ainsi que des risques accrus supplémentaires en dehors des fenêtres de risque pour d’autres problèmes de santé.

A propos pgibertie

Agrégé d'histoire, Professeur de Chaire Supérieure en économie et en géopolitique, intervenant àBordeaux III et comme formateur à l'agrégation d'économie à Rennes Aujourd'hui retraité
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5 commentaires pour Ces terribles témoignages et ces nouvelles études qui établissent les preuves des effets graves des vaccxxxins , la réponse à la tribune de l’EXPRESS

  1. alienor13 dit :

    ces « fake checkers » sont immondes

    Aimé par 1 personne

  2. Stanislas dit :

    Certes mais les effets des injections sont aussi exactement des symptômes de post covid ; ou covid long.. il suffit de lire tout est écrit …

    alors dans quelques mois, à force de faire les sourds en refusant d’analyser le paramètre de l’arnaque du covid initial de 2020 qui n’a rien de scientifique, les pauvres organisations et associations qui se battent pour les victimes des injections vont se faire doubler et encercler

    Je pose ça ici, aucun lecteur de ce que j’écris ici ne pourra dire qu’il n’a pas été prévenu..

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    • Kronik dit :

      C’est dû à quoi tout ça alors ?

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      • lepiaf18 dit :

        Vous vous posez vraiment la question ?
        Dans « Covid long », vous enlevez « Covid » et ne gardez que « long », vous mettez au pluriel (longs) et vous avez les effets à long terme de ces injections; c’est pas plus dur que ça !

        La fable n’a servi qu’à amener la population à se faire injecter
        Comme dit le proverbe, « l’occasion fait le larron » !

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      • Stanislas dit :

        C’est encore pire que votre explication lepiaf18 et ça se démontre effectivement

        Parce que le « covid long « qui apparait dès avril 2020 (sisi) selon un processus de 3ans va permettre de plus de nettoyer en douceur les casiers judiciaires des criminels coco / injections

        Le pire ce sont les associations qui en voulant aider les injectés, vont aider le processus de blanchiment judiciaire involontairement.

        je ne développe pas plus, mais les techniques employée pour que les coco longs effacent les injections sont d’une logique implacable

        La solution ? faire machine arrière pour démontrer que le coco est une arnaque sur les maladies chroniques respiratoires et infectieuses démontrable

        mais aucun bac+10 ne fera machine arrière….

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