La capitulation est portée par le parti RENEWS créé par Macron
María Soraya Rodríguez Ramos (Renew, ES) , rapporteure de la commission AFET, a déclaré : « L’accord-cadre avancé renouvelé entre l’UE et le Chili constitue une étape historique dans notre coopération avec un partenaire clé de l’UE en Amérique latine. Cela nous permettra de faire passer notre partenariat au niveau supérieur en renforçant le dialogue politique, en approfondissant la coopération et en promouvant de nouvelles opportunités d’investissement et de commerce.
Samira Rafaela (Renew, NL) , rapporteur de la INTA, a déclaré : « J’exprime mon ferme soutien à l’accord. Dans le contexte géopolitique actuel, des accords commerciaux solides profitent aux populations, à l’environnement et à l’économie. Cette modernisation renforce les liens commerciaux entre l’UE et le Chili, favorisant la force, l’équité et la durabilité. Le chapitre consacré au genre et au commerce est crucial, créant un précédent pour les prochains accords de l’UE. La modernisation renforce le commerce bilatéral crucial, vital pour la résilience économique. Dans le même temps, les chapitres sur le développement durable, le commerce et l’égalité des sexes améliorent encore l’approche vers une relation commerciale verte et équitable.
Suppression des droits de douane : l’accord libéralisera 96 % des lignes tarifaires agricoles non encore libéralisées du côté du Chili et 66 % du côté de l’UE. Les produits agricoles les plus sensibles sont exemptés de la libéralisation totale, notamment la viande, certains fruits et légumes ainsi que l’huile d’olive. L’accord devrait augmenter les exportations de l’UE vers le Chili jusqu’à 4,5 milliards d’euros, selon la Commission. En 2022, le commerce total de marchandises entre l’UE et le Chili s’élevait à 18,5 milliards d’euros.
LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE 
Remercions les gouvernants pour les agriculteurs français qui vont en pâtir ou mourir.
remercions les aussi pour manger ce qui n’est pas certain au niveau de la qualité.
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À nous de boycotter les produits venant – entre autres – d’outre-atlantique !
Mangeons Français, c’est un bon moyen de défendre nos agriculteurs
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Tout à fait d’accord ! Sauf que; il y a français et français ! Tout ce qui est produite en France n’est pas forcément bon.
Et quand, citadin, vous n’avez qu’un supermarché à portée de caddie, la malbouffe est à votre porte; la plupart de ces usines à consommation traitant majoritairement avec des industriels.
En 2 mots, il y a agriculteurs et agriculteurs.
Ceux dont je parle ci-dessus mais qui ne sont que des industriels (ceux défendus par la FNSEA), ceux-là même pour qui ces accords de libre-échange sont faits et ceux qu’ayant encore la chance de côtoyer, habitant en zone rurale, en général à la tête de petites exploitations, mais surtout encore capables de faire des produits de qualité.
Si les premiers sont incapables de vivre de leur labeur ils n’ont qu’à s’en prendre à leurs syndicats, ils en ont les moyens. Ou bien abandonner l’agriculture productiviste et les « prix des marchés » pour en revenir aux coûts et à l’économie réelle.
Quant aux seconds, ce sont eux qui sont à défendre car justement visés en tant que structures à détruire. J’ai près de chez moi un éleveur bovin qui vend en direct sa viande avec des prix au kilo inférieurs à ceux des (petites) grandes surfaces locales. Viande d’une qualité incomparablement supérieure. Quand vous voyez « vache laitière de réforme » sur une étiquette, ça ne peut pas être bon ! Surtout quand la vache en question n’a jamais vu le pré !
Enfin, quand vous achetez du lait (Lactel, Candia, Yoplait…) à plus d’un euro le litre pour un prix payé à l’exploitant de 0,41€,
et alors que c’est l’aliment le moins transformé de la planète n’y a-t-il pas quelque part un non sens?
On ne mange pas bien avec un smartphone …!
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C’est leur façon de défendre l’Agriculture eFrançaise ?
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Non monsieur pas française mais européennes ! La France n’existe plus elle est en lambeaux ! Pour ça que dorénavant je mets le « f » de France entre parenthèse (f)rance et je réécrirai France le jour où elle retrouvera sa souveraineté ! Et le 1er préalable c’est de quitter ce machin qu’est l’ue..le reste n’est que littérature.😁
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C’est sans aucun doute l’urgence 1 du moment.D’abord FREXIT, ensuite…..
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Le ‘green deal’, c’est donc: suppression de l’ agriculture européenne,
et multiplication des transports transatlantiques?, j’ai bon là? 😁
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Que voulez vous !!!!!!!
Un schizophrène au pouvoir reste schizo c’est à dire faire tout et le contraire de tout ……
Exemple: je déclare faire tout pour protéger les agriculteurs français
ET
je signe des accords de libre échange qui vont les faire disparaitre
Au fait c’est peut être dicté à l’Europe (enfin ce qu’il est convenu d’appeler l’Europe) par une autre cervelle très dynamique d’un « jeune » de plus de 80 ans aux USA ….. enfin quand je dis lui c’est la clique qui dirige de fait nos états en manipulant les marionnettes que nous avons « élues »
Avenir radieux et serein …………..
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oui ,mais nous sommes DANS une SOCIETE schizophrène : Macron en est un élément inquiétant certes mais ce qui est vrai pour les agriculteurs est vrai aussi pour tous les autres aspects « matériels » de la vie actuelle :énergie médecine ressources forestières et minières etc qui sont complètement déconnectés du réel car gangrénés par une « valeur » universelle :le fric!
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Ce qui me rassure c’est que les non-sens sont en train de s’accumuler et qu’ils vont bien finir par se voir comme le nez au milieu de la figure !
Ça fait des décennies qu’on nous bassine avec l’écologie et la luttes contre pesticides et autres dangers, contre le ravinement des sols et la biodiversité.
Ça fait des années que les écolos nous bassines avec pour-contre les « bassines » justement, les zones de forêt primaire (en existe-t-il encore ?), la replantation des haies, etc… et pendant ce temps leurs représentants font tout le contraire avec une tendance vers l’agriculture « financière » répondant aux lois du marché.
Y’a pas quelque part quelques choses qu’ils n’ont pas compris ?
Ça s’agite et fait passer des textes (enfin là c’est pas encore voté, c’est que le principe, faudra attendre les mises en place) parce u’il y a des élections dans moins de 6 mois et que vu l’ambiance il se pourrait qu’il y ait un grand retour en arrière.
C’est la contestation dans nombre de pays membres de l’UE (Pays-bas, Allemagne, France, Espagne…) rien que pour l’agriculture.
Et si on y réfléchis bien (chez nous c’est valable pour tous les secteurs tant tout a été détruit !) c’est juste l’appât du gain qui a tout détruit dans cette UE !
Ce sont simplement les taux de rémunérations des salaires, retraites et accessoires qui ne sont plus en adéquation avec le coût des produits.
Un exemple patent, l’importation d’agneau de Nouvelle-Zélande (qui pour le coup mange de l’herbe du pré et gambade, pas besoin de label bio !), dont le prix de revient au kg est inférieur à celui d’un agneau fermier produit chez nous !
Ah oui mais chez nous les prés, y’en a plus beaucoup, y’a des petits malins qui les ont transformés en champ de maïs ou de blé avec un drainage empêchant le retour en arrière, en particulier.
Tant que ces financiers auront les clés, ça ne changera pas !
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blocage de Paris pendant les jeux olympiques.
de toutes façons ça tombe bien ils ne veulent laisser entrer personne sans son code barre
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Bonjour Encore un dossier intéressant, bravo pour tout ce teavail. Mais il manque dans ce nouvel accord une dimension importante, le lithium, pilier du lobby européens pour les batteries… Pourquoi les médias n’en parlent pas??
Ci dessous une interview de Alessandra Kirsch qui explique simplement la situation. Cordialement Pierre Sellier ____________________________________________
Pour bien comprendre… Le flou sur les normes dans les accords internationaux
https://www.rcf.fr/actualite/pour-bien-comprendre?episode=444931
La grogne des agriculteurs s’intensifie. En France comme dans toute l’Europe. En Allemagne, aux Pays-Bas, en Roumanie, partout, ils dénoncent les décisions administratives centralisées loin des réalités de terrain. Dans le viseur en particulier : les normes qui leur sont imposées de plus en plus lourdes à supporter dans un contexte d’explosion des coûts de l’énergie et de production. Ils dénoncent aussi une concurrence déloyale des agriculteurs étrangers qui ne sont pas soumis aux mêmes normes. Pour bien comprendre le flou sur les normes dans les traités commerciaux internationaux, nous avons interrogé Alessandra Kirsch, la directrice des études du think-tank Agriculture Stratégies.
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