Le vaccin contre la #Dengue abandonné il aggravait la maladie,remplacé par les #Moustiques mutants infectés à la WOLBACHIA pourtant impliquée dans les filarioses…

Une étude du fabricant Sanofi Pasteur montre un surrisque de cas de dengue sévère après la vaccination chez des personnes n’ayant aucun antécédent de cette maladie virale.

La campagne de vaccination massive contre la dengue a été suspendue en 2017aux Philippines

Mais Bill Gates et ses moustiques mutants sont là!

Une technologie qui consiste à introduire dans les moustiques de type Aedes aegypti, vecteurs de la dengue, la bactérie Wolbachia. Cette bactérie, présente en milieu naturel, bloque la transmission à l’homme des arbovirus tels que la dengue, le zika ou le chikungunya. Les insectes sont ensuite lâchés dans la nature.

1)Une étude pour verifier la dangerosité de la methode: pas de résultats avant un an mais un risque d’évolution selective

Ils affirment que Wolbachia ne peut etre transmise à l’homme par les piqures de moustiques… OUI MAIS….quelles sélections?

Cette bactérie inoffensive selon la presse est pourtant indispensable à la survie des parasites responsables de l’éléphantiasis et de la cecité des rivières et autres filarioses

Les nématodes, vers parasites à l’origine de ces maladies ne peuvent vivre et les provoquer que si l’hote est porteur de la wolbachia

La filariose lymphatique, communément appelée éléphantiasis, est une maladie tropicale négligée. L’infection se produit lorsque les parasites filaires responsables de la maladie sont transmis à l’être humain par des moustiques.

 Les microfilaires en mourant libèrent des antigènes dérivés de Wolbachia, une bactérie vivant en endosymbiose avec le parasite, déclenchant des réactions immunitaires responsables de l’inflammation et de la morbidité associée. La sévérité de la maladie est directement proportionnelle au nombre de microfilaires et à l’intensité de la réponse inflammatoire qui en résulte.

Wolbachia pourrait également, dans certaines conditions, se transmettre de manière horizontale, d’une espèce à une autre. Par exemple, des drosophiles infectées par Wolbachia pourraient transmettre le parasite aux larves de la guêpe parasitoïde Nasonia vitripennis. Celle-ci dépose ses œufs dans une pupe de mouche, et la larve se contaminerait à l’intérieur de la mouche. Chez les crustacés isopodes terrestres, des études ont montré que les transferts horizontaux de Wolbachia peuvent s’effectuer par contacts infectieux

On estime que plus de 60 % des insectes sont infectés par Wolbachia (Hilgenboecker et al. 2008), y compris les moustiques qui piquent couramment les personnes comme Ae. . notoscriptus , Ae. albopictus , Cx. quinquefasciatus et les ravageurs des céréales entreposées

il est possible de la maintenir in vitro dans le cytoplasme des cellules du moustique
Aedes albopictus, hôte naturel de Wolbachia (O’Neill et al., 1997b ; Dobson et al., 2002), ou
dans des cellules de mammifères (Noda et al., 2002).

Elles appartiennent au groupe desrickettsia-like . Ce groupe réunit des bactéries hébergées par des arthropodesvecteurs de maladies humaines, comme par exemple Cowdria et Anaplasma. Les rickettsioses (communément dites typhus ou fièvres pourprées) comptent parmi les fléaux les plus anciens et les plus graves

Donner naissance à 100 millions de moustiques par semaine dans une ferme géante dédiée et relâcher volontairement cinq milliards d’entre eux dans la nature chaque année ? Ce n’est pas une fiction, mais bel et bien une réalité, laquelle sera lancée cette année 2024, au Brésil !

PAS DE RESULTAT DE VERITABLE ETUDE SUR LES EFFETS

 Cependant, bien que les résultats soient prometteurs, cette méthode pourrait avoir des limites dans le futur. Ainsi l’impact de Wolbachia sur l’évolution du DENV est inconnu.

Dans DenWOlution, nous émettons l’hypothèse que le lâcher d’Ae. aegypti infectés par wMel façonnera à la fois l’évolution et la dynamique épidémiologique du DENV en NC, et que cette évolution sous pression sélective induite par wMel finira par nuire à l’efficacité de la stratégie Wolbachia.

 En 2019, la stratégie Wolbachia a été mise en place à Nouméa dans le cadre du Programme Mondial Moustique. Cette intervention va modifier le profil épidémiologique des arbovirus en Nouvelle-Calédonie.

La surveillance épidémiologique des arbovirus nécessite la caractérisation moléculaire du virus contenu dans le sérum obtenu à partir du sang prélevé chez les patients. Cette caractérisation moléculaire par des techniques d’isolement d’ARN, de suivi RT-qPCR et de séquençage permet la construction d’arbres phylogénétiques.

Dans le cadre de la mise en place du Programme Mondial Moustique à Nouméa, les enquêteurs prévoient de suivre l’évolution moléculaire des arbovirus, sur la période précédant les lâchers de moustiques porteurs de Wolbachia (de 1995 à 2019) puis sur une période de 5 ans. suite aux sorties.

https://ichgcp.net/fr/clinical-trials-registry/NCT04615364

2 WOLBACHIA AGGRAVE L’INFLAMMATION DE LA CECITE DES RIVIERES   et de l’elephantiasis

Dans ces régions déja frappées par les filarioses la diffusion de la wolbachia peut avoir des consequences inattendues

L’onchocercose ou cécité des rivières est une parasitose due au ver Onchocerca volvulus. Les larves d’Onchocerca sont transmises par la piqûre d’une mouche simulie également appelée mouche noire.

Cette maladie est la deuxième cause de cécité infectieuse dans le monde et l’on pensait jusqu’à présent que les microfilaires (vers microscopiques) libérées par les larves déposées lors de la piqûre étaient responsables des complications observées. Après leur migration jusqu’à l’œil, la mort des microfilaires entraîne une réaction immunitaire qui se traduit par une inflammation oculaire avec une perte progressive de la vue.

Dans un article scientifique du dernier Science, Saint André et al ont étudié le rôle que pouvaient jouer les bactéries Wolbachia dans cette maladie. Ces bactéries endosymbiotiques du ver Onchocerca volvulus sont retrouvées à toutes les étapes de son cycle parasitaire.

Les travaux réalisés ont montré que c’était la charge symbiotique des bactéries Wolbachia qui déterminait l’intensité de la réponse inflammatoire dans la cornée. Ceci a été démontré en utilisant des souris exposées à des extraits de vers traités ou non par un antibiotique, la doxycycline.

L’épaississement et l’opacification de la cornée étaient moindres avec l’extrait traité, ce qui indiquait que l’intensité de la réaction inflammatoire était directement liée à la charge de bactéries Wolbachia dans les vers.

Ces résultats permettent d’établir que les bactéries Wolbachia jouent un rôle prépondérant dans le développement de la cécité associée aux vers Onchocerca volvulus. D’autres part, ils indiquent que des antibiotiques courants tels que la doxycycline permettraient de prévenir les complications oculaires de cette parasitose.

Wolbachia est capable d’infecter des acariens et des crustacés, mais également des nématodes (elle est même indispensable à leur survie) et notamment ceux responsables de l’onchocercose (Onchocerca volvulus) et de l’éléphantiasis (Wuchereria bancrofti) chez l’Homme. Une large part des symptômes de ces maladies sont dues aux nématodes parasites, mais la bactérie Wolbachia semble jouer un rôle dans ces maladies, notamment de par la réponse immunitaire qu’elle entraîne chez l’homme infecté par le couple nématode/bactérie. 

Rôle de Wolbachia dans la pathogenèse – Preuves provenant d’individus infectés

Le rôle de Wolbachia dans la pathogenèse de la maladie filarienne a été mis en cause à partir d’observations faites après un traitement antifilarien. Un ADN de Wolbachia élevé et même un Wolbachia intact sont détectés dans le sang et sont associés aux cytokines pro-inflammatoires observées chez les patients présentant des effets secondaires post-traitement tels que fièvre, œdème et maux de tête. En utilisant la PCR quantitative pour le gène de la protéine de surface de Wolbachia (WSP), présent sous la forme d’une seule copie par organisme, le nombre de bactéries par ver s’est avéré similaire à tous les stades d’insecte de B. malayi . Cependant, en 7 jours chez l’hôte mammifère, le nombre de bactéries a été multiplié par 600 et a montré un rapport élevé d’ ADN de Wolbachia /nématode dans les larves L4, indiquant une réplication bactérienne rapide dans les vers. Cette charge de Wolbachia est maintenue chez les mâles adultes, mais augmente chez les femelles au cours de l’embryogenèse. 

Un élément de preuve supplémentaire concernant le rôle de Wolbachia dans la pathogenèse de l’onchocercose concerne des études antérieures montrant qu’il existe en Afrique de l’Ouest deux souches d’ O. volvulus qui diffèrent par leur virulence, sur la base de sondes ADN utilisant une séquence répétée non codante, et que la souche montrée qui provoquent une maladie oculaire plus grave a des charges de Wolbachia significativement plus élevées que la deuxième souche, moins virulente, ce qui indique une corrélation entre la virulence et Wolbachia dans l’onchocercose oculaire.  

Pris ensemble, ces résultats soutiennent fortement la notion d’un rôle important de Wolbachia dans la réponse proinflammatoire et la pathogenèse de l’onchocercose.

Les moustiques mutants de Bill Gates feraient ils le job?L’OMS déclare la vaccination de masse nécessaire pour lutter contre les effets du changement climatique et les maladies transmises par les moustiques

Publié le 6 septembre 2023 par pgibertie

Le Dr Maria Van Kerkhove, responsable technique de l’OMS pour le COVID-19, a fait des commentaires inquiétants lors d’une récente conférence de presse alors qu’elle était assise à côté du chef de l’OMS, Tedros Ghebreyesus. Ces derniers mois, des moustiques aux États-Unis … Lire la suite →

A propos pgibertie

Agrégé d'histoire, Professeur de Chaire Supérieure en économie et en géopolitique, intervenant àBordeaux III et comme formateur à l'agrégation d'économie à Rennes Aujourd'hui retraité
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6 commentaires pour Le vaccin contre la #Dengue abandonné il aggravait la maladie,remplacé par les #Moustiques mutants infectés à la WOLBACHIA pourtant impliquée dans les filarioses…

  1. wp113741b06329d dit :

    J’aime beaucoup la séquence vidéo d’une progression sur un marais brumeux … avec cette masse anthropomorphe macabre d’un conglomérat de gentils moustiques vrombissants ! Où est-ce qu’on like ?

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    • wp113741b06329d dit :

      Cecit dit, là où vivent des grenouilles, 99% des moustiques sont éliminés au stade larvaire aquatique par les têtards. Donc, là où pullulent les moustiques, il n’y a pas ou plus de grenouilles ! Par exemple dans le delta du Rhône en Camargue, quand les eaux saumâtres interdisent aux grenouilles de séjourner, de prospérer : ainsi y pullulent les moustiques qui s’accommodent des eaux saumâtres …

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  2. maikoro12 dit :

    Le piege ultime pour les Africains et Asiatiques des zones tropicales. Pour echapper a une maladie serieuse injections letales….

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  3. K2r dit :

    À Paris, il nous faudrait un vaccin contre La Dingue (de l’Hôtel de Ville). Plus sérieusement, comme l’explique en long et en large le Professeur Raoult, c’est tout sauf les remèdes pas chers, sans danger et qui répondent sans corruption au problème. On pourrait aussi dire de nos élites sic qu’ils sont complètement piqués.

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    • schmittjclapostenet dit :

      meme en les piquant çà ne sert à rien
      ils sont carapacés dans leur idéal d’apprentis sorciers dangereux et font comme les trois singes
      pas vu
      pas entendu
      et n e pas vouloir écouter des personnes qui soignent les gens .

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    • Michel C dit :

      On pourrait aussi dire de nos élites sic qu’ils sont complètement piqués.
      et complètement, lourdement tarés … de leurs pots de vins 😦

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