Les « vaccins » covid ne protègent ni de la maladie, ni des formes graves et ils nuisent à la santé : une étude allemande impitoyable

Qui est en meilleure santé : vacciné ou non vacciné ? En 2021, une équipe de scientifiques et de citoyens a commencé des travaux que les fabricants de vaccins et l’Institut Paul Ehrlich auraient dû faire. Les résultats sont disponibles après deux ans de collecte de données.

Depuis août 2021, environ 7 000 personnes sont entrées dans la collecte de données avec leurs informations habituelles.

La différence dans les symptômes persistants était encore plus grande que dans la sévérité des symptômes. La sévérité des symptômes persistants était 2,5 fois plus élevée chez les vaccinés. Nous avons également demandé si un médecin ou un thérapeute avait diagnostiqué une nouvelle maladie. Et là aussi, le nombre de vaccinés était environ 2,5 fois supérieur à celui des non vaccinés. Bien sûr, les non-vaccinés souffraient également d’un certain nombre d’affections, mais les affections les plus graves se retrouvent chez les vaccinés.

Déjà au début de l’étude, à la mi-2021, il a été constaté que les menstruations étaient plus fréquentes chez les femmes vaccinées – quatre fois plus fréquemment que chez les non vaccinées. Nous l’avons découvert avant qu’il n’atteigne la presse. Bien sûr, l’absence de règles n’est pas synonyme d’infertilité, mais c’est une indication. Des troubles de la coagulation sanguine ont également été constatés précocement avec un facteur élevé. Une plainte était plus fréquente chez les non vaccinés à la mi-2022 : la perte de l’odorat, mais là aussi, les vaccinés ont finalement dépassé le groupe témoin. Les maladies respiratoires étaient également plus fréquentes chez les vaccinés, même si la différence de 20 à 30 % n’est pas aussi élevée que, par exemple, avec les problèmes menstruels.

En ce qui concerne les maladies diagnostiquées médicalement, la différence est encore plus grande : les vaccinés ont une sévérité moyenne du diagnostic supérieure de 145 %. Comme le montre la comparaison des pourcentages, les vaccinés prévalent principalement de maladies et d’affections autres que le Covid-19.

La sévérité moyenne des symptômes de vaccination est la plus élevée dans les maladies rénales et les troubles du système lymphatique et le cancer.

Ces réponses et bien d’autres, des explications méthodologiques et bien d’autres informations qui sont disponibles dans le nouveau rapport sur le groupe témoin. de dans la zone Téléchargements , qui est régulièrement mise à jour et élargie.

Sources et références :
[1] Analyse BARMER – new record pour les congés de maladie respiratoire , BARMER
[2] Surmortalité en Allemagne 2020-2022 , Christof Kuhbandner & Matthias Reitzner
[3] Les athlétes se battent pour leur santé après une vaccination corona , Deutschlandfunk
[4 ] Stiko : la vaccination Corona n’est plus recommandée pour les enfants et les adolescents , MDR
[5] Bulletin épidémiologique 23/2023 , Institut Robert Koch
[6] Tableau de bord de la vaccination , ministère fédéral de la Santé
[ 7]Désignation d’utilisation d’urgence des vaccins candidats contre le COVID-19 : considérations éthiques pour les essais de vaccins contre le placebo actuels et futurs contre la COVID-19 et levée de l’aveugle , OMS [8] La gravité moyenne des plaintes correspond
à la gravité totale des diverses plaintes pondérée par le type de plainte et la gravité rapportée, moyennée sur tous les entretiens de la cohorte. En d’autres termes, la somme des fréquences pondérées par la gravité de toutes les plaintes. Voir le rapport actuel de diekontrollegruppe.de

A propos pgibertie

Agrégé d'histoire, Professeur de Chaire Supérieure en économie et en géopolitique, intervenant àBordeaux III et comme formateur à l'agrégation d'économie à Rennes Aujourd'hui retraité
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6 commentaires pour Les « vaccins » covid ne protègent ni de la maladie, ni des formes graves et ils nuisent à la santé : une étude allemande impitoyable

  1. Roubachoff dit :

    Excellent article. Très pertinent et qui confirme des choses que je pense depuis longtemps. J’apporterai simplement deux bémols :
    1) Les études, hélas, ne veulent plus rien dire, qu’elles aillent dans notre sens ou non. Elles sont même les principales victimes collatérales de la pandémie. D’abord parce que nous savons maintenant qu’on peut les falsifier ou leur faire raconter n’importe quoi (Merah, Fiolet) les biaiser pour obtenir le résultat qu’on veut (Discovery, Recovery) ou forcer les auteurs à les retirer via des menaces ministérielles (dernière étude observationnelle de l’IHU). De plus, les financements venant des labos, on sait très bien que certains sujets ne seront jamais traités. Par exemple : « comparaison entre la grippe espagnole et le Covid » (qui aboutirait à une catastrophe pour les « autorités ») ou encore « influence respective des vaccins et des autres progrès de la médecine et de l’hygiène sur l’amélioration de la santé publique ». Qui voudrait entendre aujourd’hui que les antibiotiques et le traitement des eaux (entre autres avancées sanitaires) ont sauvé plus de vies que toutes les injections réunies ? Ou que la grippe de Hong Kong, en 68, pourtant très sévère, a duré moins de deux ans sans confinement, masques, gestes-barrière, couvre-feu, passe sanitaire, test PCR, injection improvisée et dette abyssale ? Ce qu’il faut d’urgence reconstruire, c’est un appareil d’analyse fiable, compréhensible par tous et protégé des fantaisies journalistiques.
    2) Je sais qu’il y a un code d’honneur dans la résistance (certains diraient une omerta) mais comment concilier les éléments exposés ici avec les élucubrations de statisticiens convaincus qu’il n’y a eu ni épidémie, ni morts, et pourquoi pas, ni vaccin (au fait, quelle proéine Spike nous ferait-il générer, si le virus n’existe pas ?) Pareillemment, comment cohabiter avec les théories de Didier Raoult, convaincu du bénéfice/risque pour les personnes âgées et/ou malades, et décidé à fermer les yeux pour toujours sur les effets secondaires des injections ? Notre Titanic fonce vers un iceberg, et si nous ne faisons pas machine arrière, le choc risque d’être mortel (même réflexion d’ailleurs sur la guerre à venir, qui préoccupe si peu les prétendus opposants à Macron).

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    • Lepiaf18 dit :

      Ne faites pas dire aux statisticiens (les vrais, pas les charlots du GVT qui vous disaient que les chiffres ne mentaient pas tout en les manipulant !) ce qu’ils n’ont jamais dit.

      Vous n’avez pas compris ou ne voulez pas imaginer que vous ne puissiez pas comprendre ce qu’ils disent parce que vous ne maîtrisez peut-être pas la discipline; simple alors, reprenez, relisez: quelque chose vous a échappé.
      Personnellement j’avoue ne plus du tout lire les études de la même façon, quel que soit le sujet.
      Et on a un énorme problème, la recherche FONDAMENTALE est en voie de disparition, particulièrement en France, faute de moyens… Publics.

      @Elrhim ci-dessous fait un excellent résume de votre 2). Son avis sur le 1) est également pertinent.
      L’ensemble, le contexte, deux notions à particulièrement prendre en compte surtout quand on essaie de nous faire regarder… ailleurs !

      Et ce n’est pas un code d’honneur, je ne vois pas ce que ça viendrait faire là. Juste une analyse de toute « l’histoire », pas seulement un focus sur telle ou telle partie, forcément trompeur.
      Une lecture « autrement », additionnée de raisonnement par l’absurde aussi, parfois (le coup du Pangolin, perso je l’avais éventé en mai 2020; pour certains, ça marche encore, pauvre pangolin).
      L’appareil d’analyse n’est pas en cause, ou du moins pas au 1er chef, c’est le mode de diffusion des informations (Médias, réseaux sociaux, politiques), noyauté par le lobbyisme, la corruption et la censure qui pose problème.
      A ce jeu de dupes des revues réputées (The Lancet entre autres) ont bien failli y laisser leur peau. Il faut se demander si par hasard ce n’était pas voulu.

      Concernant le « virus ». Il faudra m’expliquer comment Moderna et Pfizer ensuite ont pu faire breveter des séquences composant leur ARNm AVANT que la fameuse pandémie soit même déclarée en Chine.

      Transposez au « réchauffement » (réchaudissement, plutôt en ce moment !). C’est assez passionnant de découvrir certaines de ces manipulations intellectuelles. Ça demande même parfois de remonter loin dans le temps.

      Qui plus est en matière de Santé où la peur (de la mort invisible, impalpable) peut conduire à faire faire n’importe quoi !

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  2. Ping :  – Jolie Fiole & Beau Flacon

  3. clanvannes dit :

    Bonjour,
    Qu’en est il des possibles differences d’âge entre les 2 groupes, qui est un biais majeur à prendre en compte. Et les autres potentielles differences ?
    Je ne trouve rien également sur le site de cette étude.

    Cela me paraît peu sérieux d’utiliser ces résultats sans ces informations cruciales.

    Merci pour vos précisions.

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  4. Elrhim dit :

    Vous confondez tout, les statisticiens en question ne disent pas qu’il n’y pas eu d’épidémie (pas de propagation éventuellement) mais qu’il n’y a pas eu de surmortalité. Donc les éléments rapportés ici ne sont absolument pas contradictoires.

    Les études ne veulent pas rien dire, elles s’inscrivent simplement dans un contexte. En l’occurence quelle est la probabilité que celle-ci ait été falsifiée ou sujette à mauvaise interprétation? C’est la question qu’il faut se poser.

    Quant au narratif Raoult, il n’a effectivement pas grand intérêt. Ce qui a tué l’abandon de soin, pas le manque de traitements.

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  5. Ping : Les infos et news du 11 août 2023 – Les moutons enragés

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