Y aura-t-il une loi pour réprimer le climatoscepticisme dans les médias ? C’est ce qu’envisage un groupe transpartisan de députés. Ils l’ont annoncé mercredi 19 juillet dans le cadre prestigieux de la Salle des fêtes de l’Assemblée nationale, lors d’un événement organisé par ces députés avec l’association Quota Climat. Le groupe, piloté par Stéphane Delautrette (Parti socialiste, PS), réunit des représentants de tous les partis présents à l’Assemblée, sauf Les Républicains (LR) et le Rassemblement national (RN). Il va débuter des auditions en septembre dans le but de déposer une proposition de loi « relative au traitement médiatique des enjeux environnementaux », possiblement en décembre.
C’est le nouveau think-tank à la gauche de la gauche. Plusieurs personnalités (notamment des hauts fonctionnaires, des chercheurs, des politistes ou encore des juristes) ont décidé de lancer, mercredi 4 mars, l’Institut Rousseau. Dirigé par Nicolas Dufrêne –, l’Institut Rousseau a comme président d’honneur Gaël Giraud, prêtre jésuite écolo délirant. Ce laboratoire d’idées se veut « apartisan, indépendant des partis ». Et entend se définir comme un « carrefour de différentes cultures politiques », « au croisement de la social-démocratie, de l’écologie et de la pensée républicaine ».
L’institut Rousseau propose de créer un « délit de contradiction ou de minimisation de l’existence de la crise écologique et de son origine anthropique »
La crise écologique n’est donc pas une opinion, mais bien un fait réel dont les enjeux d’atténuation et d’adaptation reposent sur des fondements scientifiques, juridiques et constitutionnels. Les faits avancés par la communauté scientifique mondiale sont désormais incontestables et les remettre en cause nuit gravement à notre capacité à protéger et à garantir nos propres conditions de vie. Ces thèses entretiennent l’inaction individuelle et collective dans un moment où il est impératif que l’ensemble de la société s’engage dans une transformation profonde et transsectorielle.
La création d’un délit de contradiction ou de minimisation de l’existence de la crise écologique et de son origine anthropique dans l’espace public paraîtrait donc un outil pertinent pour lutter contre de telles thèses de nature à troubler l’ordre public.
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Ah bon ? Les océans souffrent de sécheresse ? Ça veut dire que le niveau des mers baisse ? Comme en période de glaciation ? Je propose de remettre de l’eau dans les océans avec des cruches. C’est pas ce qui manque.
LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE 
La sécheresse des océans… Ben, elle nous éclate de rire la cruche. Du coup on en pisse tellement qu’on va les remplir
Et c’est pas avec un.e cruche fêlée du ciboulot qu’on va pouvoir les remplir 😦
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Heu ! n’est-ce pas la divine Mathilde Panot qui sévit en nous alertant de la sécheresse des mers et des océans tandis que les zécolos nous alertent également de la hausse du niveau des mers et des océans par la fonte des glaces de l’Arctique, ’cause toujours de leur foutu CO₂ ?
Sur la planète des Shadoks … ‘faudraient qu’ils s’accordent d’avoir la tête-en-bas, mais en-même-temps.
Puis, si toutes les connes volaient, Panot serait cheffe d’escadrille.
Car c’est cela, l’égalité hommes-femmes : assurer, dans la représentation politique autant de crétines qu’il y a de crétins ! Encore un dernier effort, elles y parviendront allègrement …
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Aujourd’hui, la francitude est pétrie d’un charme impénétrable.
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Charme, charme; quand je vois la tête de la cruche en question, j’aurais plutôt envie de courir dans l’autre sens ! C’est à vous rendre Gay (et pas gai !) ces choses-là; bien dans l’air du temps du wokisme de gauche !
Décidément, ils les choisissent leurs épouvantails à moineaux !
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J’avais déjà bien ri quand ces braves gens nous avaient alerté parce que :
1) Le niveau des mers montait
2) Le réchauffement climatique faisait évaporer l’eau.
Donc, avant la pluie qui ne mouille pas et la canicule froide qui tue en hiver, ces abrutis avaient déjà inventé la mer où qu’il n’y a pas d’eau qui s’évapore dedans.
Mais on saurait trop le répéter : plus une société se « totalitarise » et plus elle approche de sa fin. Si les Allemands sont trop couillons pour méditer sur la durée record du Reich de mille ans, ne faisons pas comme eux. C’est difficile à croire aujourd’hui, mais l’UE court à sa perte. En 1943, par exemple, un Français vivant en France pouvait avoir du mal à comprendre que les carottes étaient cuites pour Hitler. Pourtant, dès la défaite de Stalingrad, l’affaire était pliée. (Pas mal de Vichystes sont d’ailleurs passés à la Résistance à ce moment-là – ou au moins, y ont mis un pied pour avoir leur petit fauteuil d’un côté comme de l’autre.)
Mais attention : la déroute des dirigeants ne sera pas nécessairement une victoire pour les peuples. Pour ça, il faut agir. Que font les syndicats, humiliés comme jamais lors de la réforme des retraites ? Que fait l’opposition parlementaire (sauf LR, qui nage – ou plutôt se noie – entre deux eaux) après avoir servi de paillasson à la Macronie et au grotesque Conseil Constitutionnel ?
Pas de retrait pas de JO, c’est censé concerner les JO de 3024, le temps que Mme Binet et Cie élaborent une stratégie ?
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Hier, je regardais le journal de TF1 le soir. Arrive un reportage sur le blanchiment des coraux, dus au réchauffement des océans. Les journalistes mènent l’enquête pour nous expliquer le phénomène: interview d’un moniteur de plage, puis de Claire Nouvian, qui a pour tout bagage un diplôme d’histoire et son hystérie climatique
Et hop, c’est plié, nous avons l’explication scientifique de la canicule et de la sécheresse océanique!
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Bon ça date un peu cette vidéo, non. Ce qu’on peut juste en déduire c’est que le discours n’a pas beaucoup varié en 4 ans. Vont bien finir par se lasser ces aboyeurs !
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