L ‘histoire dérange les catastrophistes et la presse ne lui accordera aucune audience… Au moment où la lobbyste du Giec ,Masson Delmote prend la défense des cinglés khmers verts, il faut rappeler les contradictions entre ses affirmations et les données scientifiques . Les océans sont plus froids qu’à l’époque médiévale.

En attendant le délire se poursuit:BFMTV et le gouvernement Macron on pour point commun de tester chaque jour un peu plus la capacité de la population à avaler des conneries…

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Redevenons serieux

@Elpis_R

Il a été confirmé depuis longtemps que le rayonnement à ondes courtes (SW) réchauffe directement les dizaines de mètres supérieurs des océans, il est moins rapporté que le rayonnement à ondes longues (GES) contribue réellement au refroidissement de la surface de l’océan.

Le Soleil est un forçant. Réduisez la couverture nuageuse sur des échelles de temps décennales (observations satellites) et davantage de rayonnement solaire peut être absorbé par les océans. Cette chaleur supplémentaire est transférée de l’océan à l’atmosphère.

Le forçage du CO2, lui, ne peut pas affecter radiativement plus que les 0,01 mm supérieurs de la surface de l’océan, exactement à la «profondeur» où se produit le refroidissement par évaporation = Effet nul. Excluant ainsi le CO2 comme facteur de transfert de chaleur océanique.

“il est impossible de démonter que les variations de CO2 ont entraîné un changement climatique.” https://journals.sagepub.com/doi/abs/10.1260/0958-305x.21.4.171… http://appinsys.com/GlobalWarming/EPA_Submission_RClark.pdf

L’énergie rayonnante du soleil pénètre dans l’océan toute l’année, principalement sous les tropiques. C’est là que 500-1000 W/m² chauffent uniformément les 2 premiers mètres de l’océan de 2 K en 12 h. Ensuite, cette énergie thermique circule dans tout l’océan *global*.

Le Soleil réchauffe les 10 premiers MÈTRES et cette chaleur ne s’échappe pas immédiatement ; elle circule dans tout l’océan mondial. Le processus de circulation dure assez longtemps. L’océan profond, lui, est perpétuellement chauffé par géothermie. La circulation est HORIZONTALE.

La Terre tourne sur elle-même autour d’un axe, qui s’appelle l’axe de rotation. Toutes les planètes ont un axe de rotation. Les planètes ont aussi un plan orbital, appelé aussi plan écliptique. C’est la trajectoire que la planète prend pour faire un tour complet de son étoile. Pour la Terre, c’est la trajectoire autour du Soleil, qui prends 365,25 pour faire un tour complet, aussi appelé révolution. L’inclinaison de l’axe, ou obliquité, est donc l’angle entre l’axe de rotation et le plan orbital d’une planète. Pour la planète Terre, l’axe d’inclinaison actuelle est de 23° 26′ 11,618, selon la formule de Laskar. Cet axe d’inclinaison peut varier au fil des ans. C’est pourquoi la Terre semble être inclinée.

La trajectoire de la Terre autour du Soleil et l’inclinaison de l’axe de rotation journalière de notre planète par rapport à son plan orbital (plan de l’écliptique) sont à l’origine des variations saisonnières du climat.
Au cours de l’année, en fonction de la position de la Terre sur son orbite, les différents points à la surface de la Terre ne reçoivent pas la même quantité de rayonnement solaire. Plus les rayons arrivent perpendiculairement au sol, plus il fait chaud ; plus ils arrivent obliquement, moins il fait chaud.
Une année connaît :
– deux équinoxes : une vers le 20 ou 21 mars, l’autre vers le 22 ou 23 septembre. A l’équinoxe les rayons du Soleil arrivent verticalement par rapport à un point de l’équateur. La durée du jour est égale à la durée de la nuit, d’où le nom équi-noxe,
– deux solstices : un vers le 20 ou 21 juin, l’autre vers le 21 ou 22 décembre. Au solstice, l’angle entre le plan équatorial terrestre et la direction des rayons est maximale. Dans l’hémisphère nord le solstice de juin correspond au solstice d’été, l’illumination par le Soleil y est maximale. Dans l’hémisphère sud le solstice de juin correspond au solstice d’hiver.
Dans les zones de climat tempéré, aux latitudes moyennes, les saisons astronomiques correspondent à quatre phases d’évolution du climat dans l’année : hiver, printemps, été, automne.
En zones tropicales, on parle également de saisons, mais au sens de saison sèche et de saison des pluies.
Les noms des saisons et les phénomènes climatiques associés sont inversés dans les deux hémisphères.

Une période de réchauffement survenue il y a 56 millions d’années est connue sous le nom de maximum thermique du passage Paléocène-Éocène (PETM). Cet épisode climatique du passé, qui suscite encore aujourd’hui beaucoup de questions, a été marqué par un réchauffement global de 5 à 8 °C en l’espace de 10 000 à 20 000 ans.

Dans une étude publiée dans Nature Communications, les scientifiques de Pennsylvania State University ont analysé des sédiments datant de cette période lointaine, trouvés sur la côte américaine du Maryland. Ils ont utilisé l’astrochronologie, une datation d’unités sédimentaires qui permet de les comparer aux différents cycles de la Terre, les cycles de Milankovitch. Ces cycles naturels sont marqués par trois modifications majeures :

• l’excentricité de l’orbite de la Terre, une déformation de l’ellipse de la Terre qui peut la rapprocher ou l’éloigner du soleil ;
• l’obliquité, soit l’inclinaison de la Terre ;
• la précession climatique, l’axe de rotation de la Terre.

Il y a en effet une corrélation entre les mouvements astronomiques et les variations climatiques terrestres au cours des derniers millions d’années. Selon les chercheurs qui ont publié l’étude, l’excentricité et la précession seraient les grandes responsables de ce réchauffement soudain survenu il y a 56 millions d’années. Cette modification de l’orbite se serait mise en place sur une durée de 6 000 ans. Ces variations de l’orbite de la Terre changent la quantité de rayons solaires qu’elle reçoit et leur répartition sur les différentes régions du monde. Le climat est alors modifié, ainsi que la vie sur Terre.