La crise actuelle est la conséquence directe des délires covidistes et bellicistes mais également du délire écolo climatique

Comment expliquer une vague d’inflation , des faillites bancaires, une France endettée? Toutes les mauvaises décisions se cumulent

Une recession cyclique habituelle se combine aux conséquences des délires covidistes et écolo scientistes.

1)L’économie est cyclique et l’on retrouve dans la crise actuelle cette dimension avec le changement de politique monétaire des banques centrales qui cessent de faire tourner la planche à billets, relèvent les taux et provoquent une récession .

L’inflation fait son grand retour. Dans la zone euro, le taux d’inflation en glissement annuel atteint un record de 8,1 % en mai 2022, avec un phénomène comparable au Royaume-Uni (+ 7,8 % en avril 2022) et même encore supérieur aux États-Unis (+ 8,6 % mai 2022). La hausse actuelle des prix est un phénomène de rattrapage principalement lié à la crise de la Covid-19 et à la guerre en Ukraine.

Pour autant, si l’origine de cette inflation est principalement d’ordre conjoncturel, une inflation structurelle liée aux enjeux climatiques pourrait apparaître et persister, face à laquelle il conviendra d’apporter des solutions. Conformément à leur mandat actuel, les banques centrales augmentent successivement leurs taux d’intérêt en réponse à la hausse des prix. Cette réaction pourrait toutefois freiner les investissements nécessaires à la transition environnementale et s’avérer contreproductive au regard des enjeux climatiques. Explications.
 

La guerre en Ukraine pourrait réduire de 1,4 point de pourcentage la croissance du PIB de la zone euro

2 Covid-19 et guerre en Ukraine, causes principales de l’inflation actuelle

En 2020, les prix se sont initialement contractés sous l’effet des restrictions inutiles pour lutter contre la Covid-19. Afin d’éviter un effondrement de l’économie mondiale, la plupart des gouvernements ont massivement soutenu l’économie par une hausse des dépenses publiques et la mise en place de plans de relance. Mais dans le même temps, la crise a durablement affecté les chaînes d’approvisionnement. Le redémarrage tardif et contrarié des capacités de production mondiale a généré un déséquilibre entre l’offre et la demande.

Du point de vue de l’offre, les entreprises ont du mal à satisfaire la demande du fait de difficultés d’approvisionnement en matières premières et de tensions sur le marché du travail. La hausse des prix de l’énergie est venue s’ajouter à ces désorganisations des chaînes de valeur. En pleine période Covid, le recul mondial de la consommation de pétrole liée à un effondrement des échanges internationaux et à la baisse des déplacements des populations, s’est traduit par un effondrement du prix du pétrole. Les pays producteurs dont l’équilibre économique dépend de cette ressource, ont réagi en diminuant drastiquement leur production. Malgré la reprise économique, les pays de l’Opep+ ont tout d’abord temporiser avant de récemment décider d’augmenter leur production. L’extraction des ressources ne permettra cependant pas dans l’immédiat d’inverser la tendance actuelle.

Ce déséquilibre sur le marché de l’énergie joue ainsi un rôle prépondérant dans la hausse des prix actuelle. En effet, selon la BCE , fin 2021, la hausse du prix de l’énergie explique plus de 50 % de l’inflation dans la zone euro. Aux États-Unis et au Royaume-Uni, la part de l’énergie dans l’inflation représente respectivement 26 % et 29 % (Aurissergues et al., 2022). La Russie étant un important pays producteur de gaz et de pétrole, la guerre en Ukraine accentue ce phénomène et pourrait affecter durablement les pays européens. L’OCDE (2022) a ainsi estimé que ce conflit pourrait réduire de 1,4 point de pourcentage la croissance du PIB de la zone euro et augmenterait les prix de 2 points de pourcentage pour cette même zone en 2023.

Figure 1. Taux d’inflation et contribution des énergies à l’inflation dans la zone euro

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Source : Eurostat

Face à la persistance de l’inflation et aux risques géopolitiques, les différentes banques centrales ont commencé à réagir afin d’éviter un emballement des prix. La Banque d’Angleterre a été la première à augmenter son taux directeur suivie par la Réserve fédérale. Alors que la BCE ne prévoyait pas d’augmenter ses taux avant la fin de l’année 2022, Christine Lagarde, présidente de la BCE, a annoncé le 9 juin que les taux directeurs commenceraient à augmenter à partir de juillet 2022. Ces taux devraient être révisés à la hausse dans les mois à venir tant que l’inflation ne sera pas contrôlée.

Si on peut s’attendre à ce que des politiques monétaires plus restrictives arriveront à infléchir la hausse des prix par une contraction de la demande, leur efficacité dépendra notamment de l’évolution de la situation en Ukraine. Par ailleurs, le pilotage de l’inflation devrait rester un sujet crucial car la crise et les enjeux climatiques risquent de pérenniser l’inflation à un niveau plus élevé qu’espéré.

3 La climateflation est la conséquence de mesures irrationnelles découlant d’une légère hausse des températures qui reste inférieures à ce qui pu être observé dans les périodes historiques récentes.

Les enjeux de la politique monétaire dans un contexte d’inflation lié aux politiques climatiques

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La reconstruction historique des climats du passé par l’informatique du Giec est démentie par les observations archéologiques et le lien avec le co2 n’est pas établie. Hélas ces affirmations catastrophiques qui ont valu à Gréta un doctorat de THEOLOGIE conduisent à des politiques qui cassent la croissance en Occident et génèrent l’inflation

L’inflation comme effet collatéral du changement climatique
et de la transition énergétique

Les enjeux climatiques auxquels les économies doivent faire face impliquent des conséquences sur l’inflation auxquelles il n’apparaît pas possible d’échapper. Face aux conséquences irréversibles et potentiellement désastreuses de l’inaction ou du report de l’effort à fournir pour faire évoluer nos sociétés, la mise en place de mesures fortes dont l’objectif est de transformer en profondeur les modes de production et de consommation

L’économiste de la BCE Isabel Schnabel a récemment synthétisé les impacts potentiels de la crise climatique sur l’inflation en pointant trois nouvelles sources auxquelles il faudra faire face : climateflationfossilflation et greenflation.

La climateflation 

Pour atteindre la neutralité carbone en 2050, l’Union européenne a adopté le pacte vert, fixant à 55 % la réduction des gaz à effet de serre (GES) en 2030 par rapport au niveau de 1990. En attendant une baisse du prix des technologies capables d’assurer la transition, les autorités utilisent des signaux prix pour inciter les agents économiques à modifier leurs choix d’investissement et de consommation. L’incitation passe par un signal prix suffisamment élevé afin d’initier un changement comportemental. Or l’instauration d’un prix sur la pollution, qu’il prenne la forme d’une taxe ou d’un marché carbone, peut modifier durablement les coûts de production. Si les entreprises le peuvent, elles adapteront leurs prix en répercutant – même partiellement – cette hausse des coûts. Ainsi, la fossilflation résulte de la montée en puissance des politiques climatiques qui renchérissent le prix des énergies fossiles. Quinze États européens ont déjà instauré des taxes carbone en plus du marché des droits à polluer au niveau de l’UE. En 2021, la taxe carbone moyenne dans les pays de l’Union était de 33€ par tonne de CO2, quant au quota carbone, le prix avoisine désormais les 85€ par tonne de CO2 en juin 2022. Cependant, ces prix risquent d’augmenter dans les années à venir. Pour respecter les objectifs de la France, le rapport Quinet (Quinet et al., 2019) indique par exemple qu’une cible de 250 €/tCO2 serait nécessaire en 2030. La mise en place d’un prix du carbone à un niveau aussi élevé aurait des répercussions sur les ménages et sur les entreprises. Une étude menée par Deloitte (Sautel al. 2022), pour la Fabrique de l’industrie, met en exergue les conséquences sectorielles d’une taxe à 250€ la tonne. Les auteurs montrent que près de la moitié du surcoût lié à la politique climatique devrait être supportée par les clients finaux, tandis que les entreprises supporteraient l’autre moitié. Même les secteurs peu émetteurs pourraient être indirectement affectés par la tarification carbone du fait de la répercussion en chaîne de la part de leurs fournisseurs.

Mettre en place des solutions pour augmenter l’efficacité énergétique est coûteux et pourrait aussi engendrer de l’inflation verte ou greenflation. Les investissements à réaliser dans les années à venir pour préserver le climat sont substantiels. Selon l’Agence internationale de l’énergie (IEA, 2021) 4 000 milliards de dollars d’investissement par an seraient nécessaires au niveau mondial entre 2026 et 2030 pour atteindre la neutralité carbone d’ici à 2050, soit près du double des engagements actuels. Le coût de ces investissements devra nécessairement être répercutés dans les prix pratiqués sur ces biens et services.

4 Une inflation par l’offre et non la demande

La mondialisation : un effet baissier sur l’inflation entre 1995 et 2019

La note d’étape de l’économiste Jean Pisani-Ferry et de l’inspectrice générale des finances Selma Mahfouz pour France Stratégie, « L’action climatique : un enjeu macroéconomique », détaille les premiers éléments du coût de la transition écologique pour la France. Jusqu’à présent, les conséquences économiques de l’objectif zéro carbone de la France avaient été peu envisagées. L’étude parle de 2,5 points de PIB nécessaires d’ici 2030 pour parvenir à la neutralité carbone en 2050, soit 70 milliards d’euros d’investissement dans les 8 prochaines années. Un rapport complet sera remis au gouvernement au printemps prochain.

Ces déséquilibres ont une dimension structurelle quand ils révèlent des changements des paramètres fondamentaux (technologies et préférences) rendant d’actualité une reconfiguration du tissu productif inhérente au progrès technique et à la croissance. Ils peuvent aussi être le fruit de chocs géopolitiques affectant notamment les marchés de matières premières. Sont en jeu les comportements en matière de prix, de quantités produites et d’investissement des entreprises concernées dans différents secteurs

 l’hétérogénéité des secteurs (des micromarchés) en termes de demande ou d’offre excédentaire

L’inflation a récemment resurgi sous la forme des hausses de prix sur les marchés de matières premières et de certains biens intermédiaires tels que les composants électroniques. Elle résulte d’un rebond exceptionnel d’activité consécutif à l’arrêt imposé par les contraintes sanitaires et de la persistance de goulets d’étranglement le long des chaînes mondiales d’approvisionnement que la guerre en Ukraine est venue exacerber

une défaillance de l’offre et donc de l’investissement dans les nouveaux domaines d’activité. D’anciennes activités entrent en déclin et de nouvelles doivent se développer. D’un côté les entreprises font face à des chutes de demande qui les conduisent à licencier, de l’autre elles doivent augmenter leurs prix pour faire face aux hausses de coûts liées à l’ampleur des investissements à effectuer. Le secteur automobile confronté au passage du véhicule thermique au véhicule électrique est emblématique de cette évolution.

Elle persisterait si les ajustements de l’offre et de la demande dans les différents secteurs étaient bloqués ou ralentis faute d’investissements suffisants en capital physique et capital humain avec pour conséquence de peser négativement sur les gains de productivité et les taux de profit attendus.

Enfin, des recompositions de l’appareil productif impliquant investissements et relocalisations sont envisagées en réponse aux tensions inflationnistes dans le but pour les entreprises d’éviter de subir à l’avenir les effets de goulets d’étranglement. 

 nombre d’entreprises dans différents secteurs, du fait de la hausse des prix des consommations intermédiaires, peuvent être confrontées à un manque de trésorerie susceptible d’affecter la poursuite de leur activité

A propos pgibertie

Agrégé d'histoire, Professeur de Chaire Supérieure en économie et en géopolitique, intervenant àBordeaux III et comme formateur à l'agrégation d'économie à Rennes Aujourd'hui retraité
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15 commentaires pour La crise actuelle est la conséquence directe des délires covidistes et bellicistes mais également du délire écolo climatique

  1. CLERC Philippe dit :

    Il n’y a aucun hasard à l’accumulation des ces accidents de parcours… ordo ab chaos…
    Vous connaissez la trilatérale, Aspen, le CFR, les Bilderberg, les 300, le WEF / Davos etc… ?
    Ce sont les acteurs directs et indirects formant un véritable syndicat du crime… pour réduire la population à 500 millions de personnes… par une succession de chocs économiques, guerriers, sanitaires (pandémies, santé publique,…), famines, …. et leurs agences (FBI, CIA, FED, ONU, OMS, UNICEF, et leurs affiliés Croix Rouge, leurs sociétés secrètes ou occules telles que les illumanti, la Franc Maçonnerie, les ordres templiers, les Jésuites, les Juifs de la Synagogue de Satan, etc…) et leurs opérateurs ou chefs corrompus (milliardaires tels que Rotschild, Rockfeller, Carnegie, politiques,(familles Obama, Bush, Clinton, grandes entreprises), tous obsédés de réduire la population mondiale désormais plus qu’inutile avec le développement exponentiel de l’IA, de la contrôler H24, de la réduire en esclavage pour leur désirs et souhaits infinis d’éternité….

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  2. CLERC Philippe dit :

    J’oubliais aussi Greta…. un rejeton d’un ailleuil (initialement illégitime – son grand-père sauf erreur) de la famille Rotschild en Suède…qui est devenu lui aussi…. banquier… Delà à ce qu’on découvre que notre cher Président est aussi un Rotschild (sa ressemblance avec Liliane est étonnante…) … le dernier rapport du GIEC est tellement alarmiiiiiiiiste… c’est assez ridicule au regard des données que P GIBERTIE a diffusé aujourd’hui dans sa NL et des avis (non diffusés par les MSM – sauf par le sioniste Bercoff… c’est pour cela qu ‘il navigue depuis aussi longtemps dans le PAF… on peur malgré tout le remercier…).

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    • K2r dit :

      Comme on dit, vous avez fait le tour de la question. Un petit point de détail : là-haut, si j’ose dire, ils savent bien que l’intelligence artificielle c’est du pipo, de la poudre aux yeux. C’est pas ça qui fera émerger les idées nouvelles. Et comment faire si le cirque ne fonctionne que sur le milliard doré ? S’ils font péter la planète pour supprimer les récalcitrants, ils n’auront rien sauvé du tout…

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  3. JeanLouis 05 dit :

    Billet très détaillé et documenté mais sur la crise climatique que vous passez votre temps à nier je peux vous trouvez autant ou bien plus d’études qui disent le contraire. Autant je vous ai suivi et je vous suis sur le covid, là je suis pour le moins réservé. Vous êtes un historien si je ne me trompe, moi un scientifique, connaissant en plus de près la sureté nucléaire et je me permets de vous conseiller un peu plus de mesure dans votre combat.

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    • CLERC Philippe dit :

      merci pour votre commentaire Jean-Louis ! Cela prouve qu’il n’y a pas de consensus scientifique, sauf pour les fous furieux climatistes (qui sont les mêmes que les covidistes…). Toutes ces actions s’inscrivent dans un processus ancien (cf Pierre Hillard spécialisés sur le sujet du mondialisme + Grands Jury de Reiner Fullmich).
      Comprenez que les milliardaires philantropes fondateurs de l’Onu, de l’OMS (ou leurs financeurs, comme Gates) sont issus des mêmes milieux (eugénistes, malthusiens, jenssenistes, capitalistes de connivence, etc…) et leurs Copains Big Finance (qui adorent le veau d’or et Baal… ) se retrouvent derrière tous coups pourris (WW1 + 2 et je n’espère pas la WW3) les pandémies grippe espagnole (le grand-père de Gates, s’était occupé de la vaxx à l’époque…. porcine, H1N1, H5N1, Sars Cov 2 (dépôts de brevets Covid entre 1999 et 2019 par Pfizer, Johnson et Johnson, Moderna, dépot de brevet par un membre rotschild en 2015 pour un test PCR…), les coups d’Etat, guerres, vols, escroqueries, trafics de drogue, trafics d’êtres humains,…)

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    • pgibertie dit :

      Je me contente de rapporter les découvertes archeologiques et les données observées du climat du passé, elles ne correspondent pas aux modeles reconstitués

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    • herve_02 dit :

      @Jean louis

      Parfait si vous êtes un scientifique, vous allez réussir à m’expliquer simplement en quoi une légère augmentation d’un gaz (le CO2) qui représente 0.04% de la composition de l’atmosphère peut changer le « climat ».
      Et tant que vous y êtes, vous ajouterez un petit paragraphe pour expliquer comment cet augmentation de CO2 (à cause des activités humaines) provoque une augmentation de température sur TOUTES les planètes du système solaire.

      Attention, je ne veux pas des liens (de merde), je veux une simple explication.

      Moi j’ai une explication à cette crise (qui vaut ce qu’elle vaut) : il y a un « réchaudissement » de la planète et nos zélitres n’ont pas trouvé mieux comme idée débile de se dire et si pour lutter contre cela, on diminuait drastiquement la proportion de CO2, juste pour voir. (pas de CO2, pas de plante, pas de bouffe) et la horde de crétin embraye comme à son habitude (comme pour le covid, l’ucraigne, le transgenrisme…)

      Ainsi je suis certain que vous allez nous expliquer cette histoire de CO2 à 0.04% et le réchauffement de toutes les planètes du système. j’ai grande hâte.

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    • zaza9443 dit :

      Je reviens de beaucoup de « vérités », ici des scientifiques indépendants

      The Great Global Warming Swindle a suscité la controverse au Royaume-Uni lors de sa première le 8 mars 2007 sur British Channel 4. Un documentaire du producteur de télévision britannique Martin Durkin, qui s’oppose au consensus pratiquement incontesté selon lequel le réchauffement climatique est d’origine humaine. Une déclaration des réalisateurs de ce film affirme que la théorie scientifique du réchauffement climatique anthropique pourrait très bien être « la plus grande arnaque des temps modernes ». Selon Martin Durkin, la principale cause du changement climatique n’est pas l’activité humaine, mais les modifications du rayonnement solaire.

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    • pgibertie dit :

      Cher jean Louis vous me rendriez service en me fournissant des liens de données OBSERVEES des températures du passé (archéologie, fossiles pollens , carotte de glaces) car toutes celles que j ai trouvées vont dans le même sens, le mie,

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  4. jean gesvre dit :

    ET CET INBECILE DE MACRON N’Y EST POUR RIEN..! VOUS EN ETES SUR ? …PAS MOI….!.

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  5. Pierre Driout dit :

    Foutez-moi Greta à la retraite immédiatement, maintenant qu’elle est docteur et qu’on n’en parle jamais plus ! Quand on est un génie docteur à vingt ans sans jamais avoir étudié il me semble que ce serait de la torture de l’obliger encore à travailler son plan média !

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  6. Lepiaf18 dit :

    Hervé, Patrice n’attendez rien de ce quidam, il est sans doute… lobotomisé !
    Sans aller disserter sur le rapport entre le coût de l’énergie, purement fictif, et son rapport avec le climat, il est patent qu’en regardant simplement les graphiques (c’est disponible sur Internet quand on sait chercher ailleurs que via BFM…) de toutes les variations possibles des paramètres du climat depuis environ 400 000 ans que le CO2 n’est pas la cause de ces phénomènes mais bien la conséquence.
    Quelques « évidences » à rappeler et à méditer; fut un temps il y avait la mer dans le Bassin Parisien (et bien ailleurs), que JeanLouis 05 se demande comment le grand Canyon aux USA a pu se former, etc…
    Et à propos de la fameuse (fumeuse plutôt) fonte de la banquise qu’il superpose quelques graphiques de périodes antérieures, il y verra qu’en matière de fonte et de perte de surface on assiste plutôt à un déplacement de ces surfaces.
    Enfin, comment les « experts » du Giec et les aboyeurs de tous bords qui leur font écho peuvent-ils affirmer que, à lui seul, l’humain (par la soi-disant révolution industrielle) est responsable d’une élévation de 1,16 °C des températures moyennes en 120 ans alors que sur la période l’activité humaine ne s’est pas arrêtée ? Pour établir cette conclusion il faudrait avoir une référence constituée des températures SANS activité industrielle SUR LA MÊME PÉRIODE; Or ces données ne peuvent exister puisque justement l’activité ne s’est pas arrêtée ! Il ne sert absolument à rien de faire des modèles à partir de ce genre de données; l’échantillon n’étant pas « représentatif » du phénomène observé
    Ainsi comme ce qu’on a pu voir à propos du Covid avec les modèles DREES-PASTEUR, là encore les modèles élaborés ne peuvent refléter la « vie réelle » ou la « réalité » que TOUS les rapports du Giec successifs n’ont jamais même approchée.
    Comme pour le Covid, le but est donc… ailleurs !
    Mais qui peut croire ces balivernes; si la planète pète ici ou là (1 pouillème de minute d’angle en + ou en – de variation de l’axe de rotation par exemple, ou autant sur la variation de l’orbite autour du soleil, etc…) c’est pas qq tonnes de CO2 sur 10 ans qui vont y changer grand chose.

    Jean-Louis, comptez donc (et faites-en un graphique d’évolution) les éruptions volcaniques (et autres sursauts de la planète) et leur fréquences et lieux depuis 50 ou 100 ans, vous aurez sans doute une corrélation plus importante avec les « changements climatiques ». Le reste n’est que conséquences.
    Sauf que là le Giec n’en parle pas! Et pour cause; ils savent parfaitement ne pas pouvoir faire grand chose; et donc que ça ne leur rapporterait rien.
    Car tous ces experts du Giec sont TOUS pétris de liens d’intérêts.

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