L’unef est une organisation raciste  dangereuse qui doit être dissoute Des responsables de l’Unef se réjouissent de la destruction de Notre Dame après avoir  appeler au gazage des blancs  Signez la pétition lancée par Marie-hélène Lefèvre

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L’Unef est devenu un syndicat ouvertement raciste, dont une des représentantes n’hésite pas à clamer qu’elle « s’en baleck de l’identité française » quand Notre Dame de Paris brûle.

Notre Dame de Paris, symbole culturel et littéraire tout autant que religieux.

Notre Dame de Paris, où jadis, les réprouvés demandaient asile.

Refuge du proscrit Quasimodo et de la bohémienne Esmeralda.

Notre Dame de Paris, le coeur de notre capitale.

 

https://www.change.org/p/marie-h%C3%A9l%C3%A8ne-lef%C3%A8vre-la-dissolution-de-l-unef?fbclid=IwAR0HIleRgtLafP2fT11x68CRLCyisXbWw4xzjsmycxi6GSbCyluaPn01onU

 

 

Pour la sécurité nationale et l’éducation des étudiants, il faut dissoudre l’Unef.

 

 «Allo l’Unef, une réaction aux tweets racistes de votre vice-présidente lilloise Hafsa Askar ?», interpelle la Ligue contre le racisme et l’antisémitisme (Licra) ce 29 décembre 2017, sur Twitter. La Licra joint en outre une capture d’écran sur laquelle on voit ce qui est présenté comme un tweet de l’intéressée : «On devrait gazer tous les blancs, cette sous-race.»

Le tweet de la Licra a été supprimé quelques heures après sa publication

La militante d’extrême gauche Hafsa Askar, membre du Bureau national du syndicat étudiant de l’UNEF, a ouvertement insulté la France et les Français, meurtris par l’incendie de la cathédrale Notre-Dame de Paris, hier soir sur Twitter.

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L’étudiante, qui a déjà fait parler d’elle plusieurs fois pour ses positions extrémistes, n’a toute fois pas assumé ses Tweet et a supprimé son compte dans la soirée.

Ce n’est évidemment pas la seule militante de l’UNEF a avoir pris du plaisir à regarder le patrimoine de France partir en fumée hier soir, en témoigne ce Tweet d’un autre membre du syndicat de gauche ironisant la situation :

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L’UNEF ne finit pas de susciter la polémique au-delà du cercle étudiant. Le syndicat s’est attiré de nombreuses protestations en demandant l’annulation d’une représentation d’une pièce du dramaturge grec Eschyle à la Sorbonne car certaines comédiennes arboraient étaient maquillées de noir.

Pierre Jourde :

https://www.nouvelobs.com/les-chroniques-de-pierre-jourde/20190409.OBS11306/tribune-eschyle-censure-l-unef-est-devenu-un-syndicat-de-talibans.html

Apparemment, bien qu’étudiants, les demeurés de l’UNEF à la Sorbonne n’ont toujours pas compris que l’interprétation d’une parole est fonction du contexte et de l’émetteur. Ni le metteur en scène auquel ils s’en sont pris, ni la pièce, ni Eschyle n’ont rien à voir avec un quelconque racisme. La pièce d’Eschyle évoque précisément cette question des différences. En revanche, leur censure de la pièce pour des motifs abyssalement stupides est bien symptomatique de crispations identitaires qui sont plus caractéristiques de la droite la plus régressive que de la gauche.

 

L’UNEF évoque un « racisme omniprésent à l’échelle nationale », ce qui relève en grande partie de la paranoïa racialiste, dans un pays où les personnalités les plus populaires dans les sondages s’appellent Zinedine Zidane, Yannick Noah ou Rama Yade, et la « nécessité de faire de la pédagogie » sur cette question dans les universités, envahies, comme chacun sait par la pensée raciste. N’importe quoi. En un quart de siècle dans les universités, je peux dire que je n’ai jamais rencontré le racisme qu’à doses infinitésimales. S’il y a un problème universitaire, ce n’est vraiment pas celui-là.

 Et le 8 avril, l’UNEF a mis en ligne une vidéo à visée antiraciste qui, comme on peut le voir sur les réseaux sociaux et jusque dans la presse, a suscité un tollé.

Le spot de leur campagne antiraciste s’ouvre sur des visages d’étudiants qui clament en chœur : «Je suis une personne « racisée » et je suis militant.e à l’UNEF.»

 

«Le racisme, c’est un oppression systémique qui est ancrée dans notre société», déplorent-ils. Une étudiante évoque «les dominants assimilés aux personnes blanches et les dominés aux personnes non blanches». Ils dénoncent le fait que selon l’Observatoire de la vie étudiante, 23% des étudiants ont été moins bien traités du fait de leur origine ou de leur nationalité. «Arrêtons de fermer les yeux sur les inégalités qui découlent de l’oppression systémique qu’est le racisme», intiment-ils dans la vidéo.

Laurent Bouvet, professeur de Science politique à l’Université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines s’est fait agonir d’injures et de menaces pour avoir soulevé l’incohérence évidente du discours de l’UNEF – « nécessairement » progressiste puisque de gauche et réellement historiquement laïque – porté par la présidente de la section de l’Université Paris IV qui apparaît dans les médias en hijab. Immédiatement taxé d’islamophobe et de fauteur de haine, Laurent Bouvet a subi un raz de marée de tweets et autres messages nauséabonds.

 

A voir pourtant le courage et la détermination avec lesquels ces femmes kurdes, iraniennes ou algériennes, défient au quotidien le risque d’emprisonnement et de sévices par la police religieuse pour avoir le droit de marcher les cheveux au vent, ou ces femmes au Maroc qui refusent de voir leurs fillettes de trois ans voilées, on peut légitimement s’interroger sur la nature des combats féministes ici et ailleurs.

Présidente de la section locale de Paris-IV de l’Unef, Maryam Pougetoux considère que le syndicat « porte des idées progressistes » et défend « ces valeurs pour que la société évolue ». Pour Maryam Pougetoux, l’affichage de convictions religieuses et les valeurs du syndicalisme ne sont pas incompatibles : « Porter le voile et être une responsable syndicale ne rentre absolument pas en contradiction », a-t-elle expliqué à Buzzfeed.

 

« En intégrant l’Unef, j’en connaissais les valeurs. Je les ai acceptées de la même manière que l’Unef m’a acceptée, sans a priori et avec bienveillance », a-t-elle justifié. A la question « qu’avez-vous envie de dire aux gens qui voient à travers votre voile un symbole de soumission ? », la jeune syndicaliste répond qu’elle « défend toutes les femmes, qu’elles veuillent le porter ou qu’elles ne veuillent pas le porter, qu’elles soient musulmanes ou non musulmanes ». Selon Maryam Pougetoux, « il n’y a pas un seul féminisme, il y en a des différents, divers et variés ».

l’UNEF est devenu un syndicat de talibans »

 

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Naëm Bestandji :

http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2018/05/25/31001-20180525ARTFIG00337-la-derive-de-l-unef-un-mouvement-de-fond-qui-touche-une-partie-de-la-gauche.php

Avec la racialisation de l’islam, l’essentialisation de l’ensemble des musulmans, la cause des femmes est devenue secondaire: il ne faudrait pas critiquer le voile et son sexisme par crainte de «stigmatiser» LES musulmans. Les musulmanes qui refusent le voilement sont ainsi perçues comme moins pieuses, voire comme des traîtresses ou «islamophobes» lorsqu’elles militent pour le dénoncer. Par ce que j’ai nommé la rhétorique d’inversion, la dénonciation de ce racisme sexuel à travers son marquage vestimentaire est accusée de racisme par les intégristes musulmans, accusation reprise en chœur par leurs soutiens. Le dernier exemple en date est celui de l’UNEF.

 

Ce syndicat étudiant a fait le choix d’être représenté par une jeune femme couverte d’un symbole opposé à tout ce qu’il défend. Le fait de questionner et de critiquer ce choix est accusé de vouloir l’interdire, voire de racisme. Par ces anathèmes, l’UNEF est dans le rejet du débat démocratique sur ce sujet, de voir ce que signifie ce voile, ses valeurs, qui le prescrit (l’islam a bon dos) et pourquoi. Il est à l’unisson avec les intégristes musulmans qui ont su convaincre que le racisme et le sexisme du voile seraient une forme d’émancipation, un féminisme différent, un «féminisme islamique».

 

Comment ce syndicat, dont l’histoire est l’inverse de ses dérives actuelles, en est arrivé là? C’est le fruit de graines semées il y a cinquante ans. La récolte idéologique dépasse l’UNEF. C’est un basculement générationnel qui touche toute une partie de la gauche, qui s’explique par l’Histoire et la stratégie efficace des Frères Musulmans.

 

 

L’intégrisme musulman s’est substitué au communisme comme idéologie révolutionnaire opposée à «l’impérialisme occidental».

 

Des étudiants islamistes étaient bien présents en France dès les années 1960. Mais ils étaient étrangers, comme les autres, et peu nombreux. Une fois leurs années d’études terminées, ils repartaient dans leur pays. Mais ils posèrent les jalons de ce qui deviendra l’UOIF et firent glisser peu à peu la sémantique et les orientations de ces étudiants laïques vers la religion, dès les années 1970. Les contenus des tracts étudiants de cette époque sont révélateurs. Les formules religieuses et noms d’associations avec le terme «musulman» ont remplacé progressivement les formules et noms issus du langage de gauche. La révolution islamique iranienne en 1979 n’a fait que galvaniser le phénomène, notamment par son arme politique qu’est le voile. Mais l’extrême gauche, ne mesurant pas cette évolution dangereuse vers l’extrême droite, n’a pas rompu ses liens avec eux.

 

Cette collusion entre des militants arabes et maghrébins, intégrant de plus en plus de religiosité dans leurs valeurs, et l’extrême gauche, explique en grande partie pourquoi aujourd’hui encore cette dernière est si complaisante avec les intégristes musulmans. De plus, la chute du communisme au début des années 1990 renforça ces liens, l’intégrisme musulman se substituant au communisme comme idéologie révolutionnaire opposée à «l’impérialisme occidental».

 

Avec un discours toujours teinté de gauche sur les questions économiques et sociales, et de «lutte contre l’impérialisme», les Frères musulmans ont su garder cette tendresse que l’extrême gauche avait pour les militants laïques arabes et maghrébins. Dès la fin des années 1990, Tariq Ramadan avait un succès fou auprès des altermondialistes. La perte des ouvriers, dont une partie s’est tournée vers le FN, a renforcé cette attraction pour les intégristes musulmans, identifiés comme les nouvelles victimes de «l’impérialisme», en imaginant qu’ils représentent l’ensemble des musulmans. C’est cet héritage que nous voyons aujourd’hui. Une partie de la gauche soutient aveuglément les islamistes. Auréolés de leur statut de victimes permanentes des méchants colons blancs racistes et oppresseurs, déclamant des discours sur les problèmes sociaux dans les quartiers populaires, sur la lutte contre le «néocolonialisme occidental» ou les questions socio-économiques, cela ne pouvait que séduire une bonne partie de l’extrême gauche (car toute l’extrême gauche ne les soutient pas) en mal d’opprimés à défendre.

 

 

Les personnes de plus de 40 ans ont connu l’islam sans voile. Certains ont vécu la guerre civile algérienne et ont conscience de la violence symbolique du voile. D’autres ont connu l’émancipation des femmes en Tunisie. Quant à ma génération de français d’origine maghrébine, nous avons connu l’islam malékite bien éloigné de ce qui est aujourd’hui l’islam intégriste importé du Moyen-Orient et qui tend à devenir partout la norme, y compris en France.

 

La laïcité française est perçue comme intolérante face à une laïcité anglo-saxonne faussement plus ouverte.

 

Les musulmans nés à partir des années 1990 n’ont pas les mêmes repères et sont fortement influencés par l’islamisme qu’ils imaginent être l’islam tout court. L’ensemble des Français nés à partir de cette époque est également habitué à voir des voiles et à entendre des propos extrémistes qu’ils considèrent être de simples positions pieuses. Cette normalité ne les amène pas à s’interroger sur les enjeux. Au contraire, l’accepter serait une forme de tolérance. Chez ces jeunes générations, l’universalisme prôné par notre pays évolue lentement vers l’acceptation du multiculturalisme voire du communautarisme. La laïcité française est perçue comme intolérante face à une laïcité anglo-saxonne faussement plus ouverte. Cette dernière est un rêve pour les islamistes car elle leur permettrait de s’épanouir sans entrave.

 

Cette situation est aussi le résultat de l’infiltration islamiste dans les milieux universitaires. L’UOIF a créé l’EMF dans l’objectif de ré-islamiser les étudiants identifiés comme musulmans. Le deuxième intérêt est de développer leur intégrisme par des revendications religieuses portées par l’EMF au sein des universités.

 

Entre temps, la rhétorique d’inversion et la victimisation permanente se sont développées et ont été intellectualisées. La création des Indigènes de la République, alliés aux islamistes, a permis le développement d’un néo-racisme qu’ils désirent faire passer pour de l’antiracisme. L’accès aux universités a pour but d’orienter les recherches universitaires vers leurs thèses, car c’est là que sont formés les futurs enseignants et une partie des travailleurs sociaux.

 

Ces dérives débordent et éclatent à présent au grand jour. Le terme «islamophobie» développé par les intégristes musulmans tente de devenir un synonyme de racisme pour décrédibiliser toute critique à leur égard. Certaines universités ont validé ce point de vue.

 

Quelques semaines plus tard était également prévu un séminaire d’ «études décoloniales» à l’Université de Limoges. L’invité d’honneur devait être Houria Bouteldja. Raciste, antisémite et homophobe, elle est la porte-parole du Parti des Indigènes de la République et auteur du livre Les Blancs, les Juifs et nous: vers une politique de l’amour révolutionnaire. Nouvelle polémique, nouvelle annulation.

 

En s’alliant avec des islamistes et en choisissant une étudiante vêtue de l’uniforme des Frères Musulmans, l’UNEF se situe dans ce mouvement de fond.

 

Autre lieu, autres dates mais mêmes orientations: les 18 et 19 décembre 2017, le syndicat Sud Éducation 93 organisa à Saint Denis un stage syndical «Au croisement des oppressions – Où en est-on de l’antiracisme à l’école?». Ce stage était proposé aux enseignants fonctionnaires et agents non titulaires. Par ses intervenants indigénistes et islamistes, ainsi que les thèmes des débats proposés, il déroula toute la logorrhée indigéno-racialiste qui sert aussi de tremplin à l’idéologie islamiste.

 

Plus récemment, lors des grèves étudiantes en avril 2018, les mouvements grévistes ont été infiltrés par les indigénistes. À l’Université Libre de Tolbiac, des débats aux relents racistes ont été organisés, tels que «Les mouvements sociaux et la question de la race: les angles morts de l’extrême gauche blanche». Étaient également prévus des débats sous les thèmes «autonomie politique indigène, impérialisme gay, Palestine».

 

En s’alliant avec des islamistes et en choisissant une étudiante vêtue de l’uniforme des Frères Musulmans, l’UNEF se situe dans ce mouvement de fond. Les anciens du syndicat sont éberlués et choqués de constater les dérives de la nouvelle génération de militants.

 

Le virage officiel fut pris à l’été 2017 par son soutien à Lallab, une association «féministe» qui s’inspire de l’idéologie des Frères Musulmans. Le Planning Familial a toujours lutté pour la mixité entre garçons et filles. Elle soutient aujourd’hui une association qui assume le refus de la mixité et qui défend le voilement des enfants par son désir de supprimer la loi de mars 2004.

 

Chaque avancée de la manifestation intégriste de ce voile est un recul et une pression supplémentaire pour les musulmanes qui ne le portent pas. Ce port est éminemment politique, surtout dans un syndicat censé défendre des valeurs laïques et féministes tel que l’UNEF. Peu importent les intentions de celle qui s’en couvre, il en est la quintessence. L’UNEF participe à sa banalisation et au développement de l’intégrisme musulman en France. Le féminisme est devenu secondaire au profit de la défense d’une idéologie politico-religieuse qu’ils déclarent être de l’antiracisme. C’est un mouvement de fond, héritage historique du mariage entre l’intégrisme musulman et une partie de la gauche.

 

Le CCIF, idéologiquement la branche juridique des Frères Musulmans, profite justement de cette polémique pour user encore de la rhétorique d’inversion. Il affiche sur les réseaux sociaux la photo d’une femme voilée avec pour accroche «les femmes musulmanes contre le sexisme et l’islamophobie». Les musulmanes non voilées seront ravies de savoir qu’elles ne sont pas musulmanes. Les autres seront satisfaites de voir que le sexisme ne vient plus du voile mais des féministes. Islamisme et revendications étudiantes, nous sommes bien dans la «convergence des luttes».

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A propos pgibertie

Agrégé d'histoire, Professeur de Chaire Supérieure en économie et en géopolitique, intervenant àBordeaux III et comme formateur à l'agrégation d'économie à Rennes Aujourd'hui retraité
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4 commentaires pour L’unef est une organisation raciste  dangereuse qui doit être dissoute Des responsables de l’Unef se réjouissent de la destruction de Notre Dame après avoir  appeler au gazage des blancs  Signez la pétition lancée par Marie-hélène Lefèvre

  1. R. Halewyck dit :

    Purement scandaleux propos et commentaires

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  2. Chasseigneaux dit :

    Je signe car c est un délire de ptit blanc sale p…

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  3. Ping : CE N’EST PAS L’ENA QUI FORME NOS DIRIGEANTS : LE VERITABLE CYCLE REPRODUCTIF SOCIALO MACRONIEN PASSE PAR LE COPINAGE ET L’UNEF | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE

  4. Vauvert dit :

    De tel propos racistes envers les blancs doivent être sanctionné lourdement et cette raciste doit etre expulser de notre france

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