A Mayotte l’épidémie de choléra est la conséquence de la misère, de l’immigration incontrôlée ,de l’absence d’eau potable mais pour LIBERATION,c’est le réchauffement climatique

Sur les 63 cas signalés, depuis la mi-mars, dans le département le plus pauvre de France, 49 sont autochtones, c’est-à-dire découlant d’une contamination interne. Sur ces 49 cas, 48 ont pour origine le quartier informel Kirson à Koungou, une commune du nord de Mayotte.

Pas d’accès à l’eau potable, on boit l’eau de la rivière , le choléra c’est l’épidémie du bidonville

À quelques mètres en contrebas, une rivière d’une couleur trouble, jonchée de déchets et de tissus, sépare les habitations du quartier. Deux agents, couverts de la tête aux pieds d’une combinaison blanche, de gants et d’un masque filtrant, s’engouffrent au milieu des cases en tôle.

« Il y a trois suspicions de cas. Nous allons désinfecter les logements », lance Asmaou Mohamed, pulvérisateur à la main.

Sur leur trajet, une poignée d’enfants qui jouent dans la rivière. Deux petits garçons se baignent nus au milieu de trois grosses bassines remplies de vaisselle et de linge.

https://www.letelegramme.fr/france/a-mayotte-le-cholera-accable-un-bidonville-6582552.php

À la suite de l’identification d’un premier cas de choléra à Mayotte, un dispositif de dépistage est mis en place. Il s’inscrit dans le cadre d’un plan d’action plus large visant à éviter une propagation du vibrion sur l’ensemble de cette île, alors qu’une épidémie est observée aux Comores.

Dans les territoires français de l’Océan indien, un premier cas de choléra confirmé a été enregistré le 18 mars 2024, chez une personne en provenance des Comores Un cas a également été enregistré à La Réunion le 20 mars, chez une personne ayant séjourné en Inde . Une épidémie de choléra est actuellement en cours en Union des Comores. La proximité avec Mayotte a conduit l’Agence régionale de santé (ARS) et la préfecture à mettre en place, dès février, un plan d’action visant à endiguer la transmission de la bactérie et son implantation sur le territoire mahorais.Le premier cas identifié à Mayotte a été pris en charge au sein de la cellule « choléra » du centre hospitalier mahorais, afin de stabiliser son état de santé.En parallèle, une opération a été menée au domicile de ce patient :pour identifier les cas contacts et coexposés et leur délivrer les premiers traitements ;pour procéder à la désinfection du foyer, conduire des analyses environnementales et diffuser les recommandations sanitaires aux personnes du voisinage. À La Réunion, la situation est très surveillée et les mesures de précaution nécessaires (dont le contact tracing) sont mises en œuvre. Contrairement à Mayotte, le risque de propagation sur le territoire est considéré de niveau faible.  

Pour rappel, le choléra est une toxi-infection digestive provoquant une perte d’eau et d’électrolytes [4]. Elle se contracte par ingestion d’eau ou d’aliments contaminés par les bacilles Vibrio cholerae des sérogroupes O1 et O139 toxinogènes. Moins de 20 % des malades développent l’ensemble des symptômes typiques du choléra.

Dans les cas les plus sévères, le choléra se manifeste par de violentes diarrhées « en eau de riz » et des vomissements à l’origine d’une déshydratation. En l’absence de traitement, le décès survient rapidement (de 1 à 3 jours).

Le choléra est une maladie à déclaration obligatoire.

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Le réchauffement dû au Soleil est cyclique. TOUTES les planètes du système solaire se réchauffent donc actuellement même sans diésel et sans vache

Toutes les planètes du système solaire se réchauffent. Une fois que l’on sait cela, normalement, il n’y a plus débat. Une étude récente montre que Mars se réchauffe 4x plus vite que la Terre en raison de l’activité accrue du #Soleil

Une nouvelle étude internationale publiée dans la revue scientifique à comité de lecture Research in Astronomy and Astrophysics , réalisée par 20 climatologues de 12 pays, suggère que le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) de l’ONU pourrait avoir considérablement sous-estimé le rôle du Soleil dans le réchauffement climatique. .

L’article a commencé comme une réponse à un commentaire de 2022 sur une étude approfondie des causes du changement climatique publiée en 2021. L’examen initial (Connolly et collègues, 2021) avait suggéré que les rapports du GIEC n’avaient pas suffisamment pris en compte deux préoccupations scientifiques majeures lorsqu’ils évaluaient les causes du réchauffement climatique depuis les années 1850 :

  1. Les estimations de la température mondiale utilisées dans les rapports du GIEC sont contaminées par des biais liés au réchauffement urbain.
  2. Les estimations des changements de l’activité solaire depuis les années 1850, prises en compte par le GIEC, ont considérablement minimisé l’importance du rôle possible du Soleil.

Ce nouvel article de 2023 rédigé par les auteurs de la revue 2021 répond à ces deux préoccupations et montre des preuves encore plus convaincantes que les déclarations du GIEC sur les causes du réchauffement climatique depuis 1850 sont scientifiquement prématurées et pourraient devoir être revisitées.

Les auteurs ont montré que la composante urbaine des données de température mondiale du GIEC montre un fort biais de réchauffement par rapport aux 98 % de la planète qui ne sont pas affectés par l’urbanisation. Cependant, ils ont également montré que les données urbanisées représentaient la plupart des enregistrements des stations météorologiques utilisés.

Alors que le GIEC n’a pris en compte qu’une seule estimation de l’activité solaire pour son évaluation la plus récente (2021) des causes du réchauffement climatique, Connolly et ses collègues ont compilé et mis à jour 27 estimations différentes qui ont été utilisées par la communauté scientifique.

Plusieurs de ces différentes estimations de l’activité solaire suggèrent que la majeure partie du réchauffement observé en dehors des zones urbaines (dans les zones rurales, les océans et les glaciers) pourrait s’expliquer par le Soleil. Certaines estimations suggèrent que le réchauffement climatique est un mélange de facteurs humains et naturels. D’autres estimations concordaient avec les conclusions du GIEC.

Pour cette raison, les auteurs ont conclu que la communauté scientifique n’est pas encore en mesure d’établir si le réchauffement climatique depuis les années 1850 est principalement d’origine humaine, principalement naturelle ou une combinaison des deux.

L’auteur principal de l’étude, le Dr Ronan Connolly, du Centre de recherche environnementale et des sciences de la Terre ( CERES-Science.com ) a décrit les implications de leurs découvertes :

« Dans les investigations scientifiques, il est important d’éviter de commencer votre analyse avec des conclusions décidées à l’avance. Sinon, vous pourriez vous retrouver avec un faux sentiment de confiance dans vos découvertes. Il semble que le GIEC ait été trop hâtif pour tirer des conclusions hâtives.»

Un autre auteur de l’étude, le Dr Willie Soon, également du Centre de recherche environnementale et des sciences de la Terre, a expliqué :

«Si le GIEC avait prêté plus d’attention à une enquête scientifique ouverte qu’à la recherche d’un ‘consensus scientifique’ prématuré, la communauté scientifique serait bien plus proche d’avoir véritablement résolu les causes du changement climatique. Espérons que nos nouvelles analyses et ensembles de données pourront aider d’autres scientifiques à se remettre à la vraie science du climat.

Cette étude parvient à des conclusions similaires à une autre étude récemment publiée dans une revue scientifique à comité de lecture distincte, Climate . Cette autre étude a impliqué plusieurs des mêmes co-auteurs (dirigés par le Dr Soon) et s’est concentrée sur une étude de cas détaillée de deux estimations de l’activité solaire et de deux estimations de la température. Il a adopté une approche différente pour analyser le problème, mais a confirmé que varier le choix des estimations de l’activité solaire et de la température peut conduire à des conclusions très différentes sur les causes du réchauffement climatique.

Sur cette base, l’examen de 2021 avait conclu qu’il n’était pas scientifiquement valable pour le GIEC d’exclure la possibilité que le réchauffement climatique soit en grande partie naturel.

Depuis les années 70, les scientifiques essaient de percer le mystère de la hausse de température de 2 °C de la Lune, sans grand succès. Or, depuis huit ans, l’Université de Lubbock, au Texas, étudie des mesures de température du satellite prises entre 1975 et 1977 et les compare avec les plus récentes données.

Dans la figure, (a) représente la lumière visible corrigée de Neptune de 1950 à 2006 ; (b) montre les anomalies de température de la Terre ; (c) montre l’irradiance solaire totale en pourcentage de variation par année ; (d) montre l’émission ultraviolette du Soleil. Toutes les données ont été corrigées pour tenir compte des effets des saisons de Neptune, des variations de son orbite, de l’inclinaison apparente de l’axe vu de la Terre, de la distance variable entre Neptune et la Terre et des changements de l’atmosphère près de l’observatoire Lowell.

Une étude récente montre que Mars se réchauffe quatre fois plus vite que la Terre. Mars se réchauffe en raison de l’activité accrue du Soleil, qui augmente les tempêtes de poussière. Selon les auteurs de l’étude, dirigés par Lori Fenton, scientifique planétaire à la NASA, la poussière fait que l’atmosphère absorbe plus de chaleur, ce qui provoque une rétroaction positive. Les températures de l’air à la surface de Mars ont augmenté de 0,65 °C (1,17 F) entre les années 1970 et 1990. Ils notent que la glace résiduelle sur le pôle sud de Mars a reculé de façon constante au cours des quatre dernières années. Les images de Mars prises par le spectromètre thermique de la mission Viking de la NASA à la fin des années 1970 ont été comparées à des images similaires recueillies plus de 20 ans plus tard par le Global Surveyor.

La planète Mars est également plus froide – la température moyenne à sa surface étant de – 63 °C contre + 15 °C sur Terre. Ses pôles sont recouverts de calottes glaciaires composées de glace d’eau et de glace de gaz carbonique. Le pôle Sud est le plus froid, car le plus élevé. 

Selon cette étude, menée conjointement avec l’US Geological Survey, les températures moyennes relevées à la surface de la Planète rouge s’accroissent quatre fois plus rapidement que sur Terre. Les chercheurs estiment que la température de surface martienne aurait augmenté de quelque 0,65°C entre les années 70 et les années 90, soit depuis l’atterrissage des sondes américaines Viking et des premiers relevés précis. Une des premières conséquences de ce réchauffement a été la diminution des calottes polaires martiennes, venant encore en renfort de ce processus par réduction d’albédo.

La comparaison avec la Terre est aisée. Si une zone couverte de neige fond, sa réflectivité, donc son albédo, diminue en proportion. Ainsi, si la glace qui recouvre l’océan Arctique réfléchit 85% du rayonnement solaire, l’eau n’en renvoie plus que 15%. Le reste est absorbé et contribue à réchauffer l’océan, ce qui accélère le processus, etc. Le même phénomène est observé sur Mars, à partir d’autres éléments: les tempêtes soulèvent la poussière qui se dépose sur les calottes en les assombrissant. Leur l’albédo diminue, ce qui entraîne une absorption plus importante du rayonnement solaire. La température du sol augmente encore, la fonte de la glace s’accélère, et ainsi de suite.

Cet effet albédo n’avait jamais été pris en compte jusqu’ici dans l’élaboration des modèles climatiques martiens, mais Lori Fenton et son équipe ont réussi à démontrer que ces variations de luminosité au sol influencent grandement l’environnement martien et accroissent les vents qui sont à l’origine de ces variations, cela dans un cercle vicieux rapidement incontrôlable.

Les variations de température ayant servi à cette étude ont été déterminées sur la base des images thermiques prises par les orbiteurs des deux missions Viking des années 70, et des relevés effectués par Mars Global Surveyor 20 ans plus tard.

climatetverite.net/2022/11/01/les-planetes-du-systemes-solaire-se-rechauffent-aussi/?fbclid=IwZXh0bgNhZW0CMTEAAR3gcGgwxGI2FFfwkrhbebtbXvHyOLkusdBVo2RXJ02cn4BIcyAd4jExcak_aem_AcqxMMrJrK0c8OCCXECHMN3oJJFOVnWLh-GlEpGP8eTzHwH13VfpFKLqghdII_2tiqIXQUzlDvupCYsXLCfaLC2E

@robinmonotti

Le réchauffement dû au Soleil est cyclique, il n’est PAS constant.

La distance entre l’endroit où vous vous trouvez et le Soleil change constamment, car l’orbite de la Terre autour du Soleil est irrégulière et le Soleil lui-même vacille en raison de l’attraction gravitationnelle combinée de toutes les planètes.

Regardez le cycle solaire de Schwabe de 11 ans, le cycle solaire de José du mouvement inertiel solaire de 179 ans, le cycle solaire de Foucault de 1 000 ans, les cycles de Bray-Halstatt de 2 300 à 2 500 ans, puis examinez les trois cycles de Milankovitch.

Changement climatique à court et moyen terme :

Mouvement d’inertie solaire : la masse combinée des planètes déplace également la position du Soleil grâce à leur attraction gravitationnelle combinée, ce qui signifie que le Soleil se déplace en suivant le barycentre en constante évolution du système solaire plutôt que d’être dans un point central fixe au milieu du système solaire. .

C’est l’élément clé à comprendre : le Soleil se déplace, vacillant en spirale au fur et à mesure de son déplacement, il n’est pas stationnaire.

Une fois que vous comprenez que tout changement climatique à moyen terme peut s’expliquer simplement par le changement de distance entre le Soleil et la Terre. Rien de tout cela n’a rien à voir avec les humains.

Rien de tout cela n’a à voir avec le CO2. Les modèles du système solaire dans lesquels vous avez grandi en croyant que vous étiez enfant étaient grossiers et simplistes. Ils vous ont conditionné à croire que le système solaire a une position fixe du Soleil avec une activité solaire régulière avec des orbites régulières, dont la Terre fait partie.

Pourtant, ce n’est pas la réalité : non seulement la Terre s’incline et vacille lorsqu’elle orbite, mais l’orbite est une ellipse changeante et non un cercle parfait, ce qui signifie que la distance au Soleil n’est pas constante.

Ce sont les trois cycles de Milankovitch. D’autres planètes ont également des orbites irrégulières. L’effet combiné de toutes ces orbites irrégulières attire le Soleil hors du centre du système solaire vers le barycentre. Un Soleil vacillant est la véritable raison du changement climatique à court et moyen terme, et une orbite terrestre irrégulière, son inclinaison et son oscillation sont la raison du changement climatique à long terme.

Et ce n’est que le début de l’histoire de l’irrégularité de l’orbite de la Terre autour du Soleil, puis il y a des cycles d’activité du Soleil, le rendant plus fort et plus faible selon la proximité du cycle de 11 ans de retournement des pôles magnétiques, la prochaine étape étant en 2024, et à combien de taches solaires et d’éruptions solaires nous sommes exposés.

Ensuite, il faut prendre en compte l’activité volcanique, l’éruption volcanique sous-marine Hunga-Tonga Hunga de janvier 2022 a augmenté la vapeur d’eau dans la stratosphère de 10 %, ce qui en soi provoquera un réchauffement considérable de la planète dans la plupart des régions.

Il ne s’agit certainement pas d’une histoire simpliste en noir et blanc sur le CO2, un gaz à effet de serre mineur, puisque 95 % des gaz à effet de serre de la Terre sont plutôt constitués de vapeur d’eau. Les humains n’ont aucun pouvoir pour déterminer ni l’orbite de la Terre autour du Soleil, ni l’activité interne et externe du Soleil, ni la vapeur d’eau dans l’atmosphère.

La vie s’adapte beaucoup plus facilement à des températures plus élevées et à des augmentations de CO2, en particulier les plantes, la végétation, les arbres, le plancton et le phytoplancton, qu’à une diminution de CO2.

Le véritable danger est une diminution du CO2 et une diminution de la température, pas une augmentation des deux. Une fois de plus, nous avons été trompés par un système de financement scientifique systématiquement corrompu et lié aux intérêts des oligarques. Le CO2 a toujours été un bouton de contrôle de la prospérité économique, et non du climat

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Le combat d’Olivia Maurel contre la traite des bébés et l’hypocrisie woke de la GPA: les agences de location de ventres présentes à Paris

Soutenue par les Verts, Glucksmann , Hidalgo et une bonne partie des Macroniens , la location de ventres ou GPA fait sa publicité en France

@FCOUILBAULT1

Le combat d’Olivia Maurel contre la GPA est un beau et bon combat tant la GPA est un caprice de bobos aisés qui ne prennent pas en compte l’enfant ni la mère naturelle de l’enfant. Elle mérite d’être soutenue.

@maurel_olivia

·

Parce qu’un marché de 14 milliards ne se combat pas sans ressources, je vous laisse mon compte tipeee ici si vous souhaitez m’apporter un coup de pouce. https://fr.tipeee.com/olivia-maurel-lutte-contre-la-gpa/…

Un homme transgenre est allongé sur un lit d’hôpital alors que son nouveau-né lui est remis après avoir payé une mère porteuse pour avoir un bébé pour lui. Etes-vous d’accord ou pas d’accord avec la maternité de substitution ?

Paris Hilton s’était aussi mise en scène lors de la naissance par GPA de son premier enfant dans son émission TV (oui tout était parfaitement mis en scène !). La mère porteuse, totalement effacée, qui elle a réellement donné naissance à cet enfant, se remettait de son accouchement dans une autre chambre pendant que Paris était allongée sur un brancard. Il lui a fallu 1 mois pour changer la couche de son fils.

L’expression de ce petit cœur de bébé qui ne trouve, et ne trouvera pas la chaleur de sa mère, sa voix, son battement de cœur, son odeur, son lait. Non car on l’a arraché à sa mère, par contrat. Un abandon programmé. Le lien-mère enfant, sacré, est de fait anéanti par la GPA. Si vous osez me dire que cet enfant ne ressent rien, alors qu’on le voit clairement sur cette vidéo, sur ses expressions faciales, vous êtes cruels et sans cœur. Stop à la GPA POUR TOUS.

@maurel_olivia

Non elles n’ont pas de droits car elles cèdent leurs droits par contrat, aux commanditaires. Et, Mathieu, évitez de parler de ces mères porteuses comme « gestatrices » – ces mères sont des humains, elles ont eu des grossesses pour votre désir. Réduire ces femmes à du bétail, c’est d’une atrocité sans nom.

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Pour ceux qui acceptent de douter: 39 publications scientifiques sur des cancers post vaccinaux covid

À ce jour, les cancers sont l’un des effets secondaires potentiels des vaccins contre la COVID-19 les moins documentés dans la littérature sur les rapports de cas. Dans l’ensemble, il y aura généralement un intervalle de temps important entre la vaccination et la manifestation clinique du cancer.

Ainsi, les médecins et les cliniciens sont moins susceptibles d’envisager une relation possible entre un cancer et le statut vaccinal d’un patient covid, et encore moins de soumettre une étude avec leur nom attaché affirmant la possibilité d’une tumeur induite par le vaccin COVID-19.

  1. Un cas de leucémie myélomonocytaire chronique démasqué après avoir reçu le vaccin J&J COVID-19 (Veerballi et al)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35865440/

« Notre cas suggère la possibilité de développer une CMML associée à une sclérodermie limitée après avoir reçu le vaccin J&J COVID. »

  1. Lymphome anaplasique à grandes cellules au site d’injection du vaccin SARS-CoV2 (Revenga-Porcel et al)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36166359/

*paywall*

  1. Paralysie de Bell ou carcinome basaloïde infiltrant agressif après la vaccination par ARNm contre le COVID-19 ? À propos d’un cas et revue de la littérature (Kyriakopoulos AM et al)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/37927346/

« Dans l’ensemble, le court laps de temps et les caractéristiques extrêmement invasives des métastases du CBC chez notre patient suggèrent que les perturbations du système immunitaire dues à la vaccination anti-COVID-19 à ARNm pourraient avoir conduit à une progression accélérée de la maladie. »

« Une limitation sérieuse dans le cas que nous rapportons est le refus de l’hôpital qui a effectué la biopsie de fournir les images histopathologiques ou d’effectuer une coloration immunohistochimique de la protéine de pointe. »

  1. Expansion de l’adénome hypophysaire induite par le vaccin COVID-19 : un rapport de cas (Srimanan W & Panyakorn S)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/38229808/

« Les tumeurs de l’hypophyse se développent lentement, principalement asymptomatiques, avec des découvertes fortuites. Une détection précoce, des facteurs aggravants réduits et un traitement spécifique sont essentiels. Le vaccin COVID-19 représente un nouveau contributeur potentiel à l’hypertrophie de l’hypophyse. Les personnes atteintes d’hypophyse préexistante Les adénomes doivent être particulièrement vigilants quant aux effets secondaires possibles associés à ce vaccin. »

  1. Développement d’un sarcome de haut grade après la deuxième dose du vaccin Moderna (Bae E et al)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/37197108/

« Sur la base d’une recherche approfondie, nous décrivons le premier cas de sarcome indifférencié de haut grade à progression rapide qui semble avoir une forte association avec la vaccination Moderna. »

[Bonus : « Il est bien documenté dans la littérature depuis plus de 20 ans que les sarcomes de haut grade ont été liés à l’administration de vaccins chez les félins. »]

  1. Lymphome extraganglionnaire à cellules NK/T nouvellement diagnostiqué, de type nasal, au niveau du bras gauche injecté après la vaccination par ARNm BNT162b2 contre le COVID-19 (Tachita et al)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/37093551/

« Bien que les lésions de lymphome des rapports précédents n’aient pas été observées aux sites d’injection du vaccin, notre cas présentait une lésion de lymphome dans la peau et le muscle au site d’injection du vaccin à ARNm BNT162b2. Il est possible que notre cas soit d’une pathogenèse différente de celle des rapports précédents. , en ce sens que la maladie est apparue relativement tard après la vaccination et au site d’injection du vaccin. « Il n’y avait aucune preuve d’une relation causale entre la vaccination par l’ARNm BNT162b2 et l’ENKL dans ce cas, mais nous avons émis l’hypothèse que la vaccination pourrait conduire au développement de l’ENKL d’une manière similaire à une allergie grave aux piqûres de moustiques (SMBA). »

  1. Lymphome non hodgkinien développé peu de temps après la vaccination à ARNm contre le COVID-19 : rapport d’un cas et revue de la littérature (Cavanna et al)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36676781/

  1. Leucémie lymphoblastique aiguë à cellules B à pH positif survenant après la réception d’un rappel de vaccin bivalent à ARNm contre le SRAS-CoV-2 : un rapport de cas (Ang SY et al)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36984629/

« Par conséquent, ce rapport de cas pourrait présenter une corrélation possible entre le développement d’une leucémie lymphoblastique aiguë à cellules B à pH positif et les vaccinations bivalentes à ARNm. »

  1. Carcinome adénoïde kystique cutané primitif dans une localisation rare avec une réponse immunitaire à un vaccin BNT162b2 : un rapport de cas (Yilmaz A et al)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/38608126/

« Le vaccin à ARNm BNT162b2 a été associé à un syndrome inflammatoire multisystémique (MIS-V). Une réaction immunitaire comparable pourrait potentiellement améliorer le taux de croissance tumorale. » [mur payant]

  1. Progression rapide du lymphome angio-immunoblastique à cellules T après une injection de rappel du vaccin à ARNm BNT162b2 : un rapport de cas (Goldman S et al)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34901098/

« Au meilleur de nos connaissances, il s’agit de la première observation suggérant que l’administration d’un vaccin contre le SRAS-CoV-2 pourrait induire une progression de l’AITL. Plusieurs arguments soutiennent cette possibilité. Premièrement, la vitesse et l’ampleur spectaculaires de la progression manifestée sur deux 18F- TEP-CT FDG réalisé à 22 jours d’intervalle. Une évolution aussi rapide serait très inattendue dans l’évolution naturelle de la maladie.

  1. Progression rapide du lymphome à cellules B de la zone marginale après la vaccination contre le COVID-19 (BNT162b2) : un rapport de cas (Sekizawa et al)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35979213/

« Dans notre cas, le même mécanisme par lequel les lymphomes à cellules T sont induits par le vaccin COVID-19 pourrait être envisagé pour la pathogenèse du MZL. Il a été rapporté que les vaccins à ARNm COVID-19 induisent des cellules T folliculaires auxiliaires avec un profil fonctionnel Th1, qui est associé à la génération sélective d’anticorps neutralisants et stimule les cellules B du centre germinal, les plasmocytes à vie longue et les cellules B mémoire. Par conséquent, ces vaccins induisent une réaction du centre germinal plus forte que les vaccins à protéines recombinantes (11). la stimulation continue des lymphocytes T et B par les vaccins à ARNm COVID-19 peut déclencher des réponses inflammatoires aberrantes, conduisant au lymphome ou accélérant sa progression.

  1. Récidive du lymphome cutané à cellules T après la vaccination contre le vecteur viral COVID-19 (Panou et al)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34628691/

« La question qui se pose dans ces cas est de savoir si et par quelle voie le vaccin a provoqué la MF CD30+ LCT et la réapparition du trouble lymphoprolifératif cutané primaire CD30+.

Selon la littérature, l’éducation des lymphocytes T CD4+, CD8+ T et B contre La protéine SARS-CoV-2 S semble être le moyen le plus réalisable pour la production de vaccins contre le COVID-19. Les cancers et les coronavirus fournissent une charge antigénique persistante et chronique, parmi laquelle PD1, entraînant un épuisement des lymphocytes T. garantir que la vaccination ne provoquerait pas un nouvel état d’épuisement des lymphocytes T qui aurait déjà pu être induit par les cellules tumorales. »

  1. Récidive du trouble lymphoprolifératif cutané primaire CD30-positif après la vaccination contre le COVID-19 (Brumfiel et al)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33974494/

*paywall*

  1. Kératoacanthome éruptif solitaire se développant au site d’injection du vaccin COVID-19 (Yumeen S et al)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/38015786/

« Notre rapport de cas s’ajoute à la littérature en décrivant le développement d’une lésion maligne qui peut survenir après la vaccination contre le COVID-19 et justifie une reconnaissance et un traitement rapides. »

  1. Deux cas de lymphadénopathie axillaire diagnostiqués comme un lymphome diffus à grandes cellules B se sont développés peu de temps après la vaccination BNT162b2 contre le COVID-19 (Mizutani et al)

https://europepmc.org/article/pmc/pmc9114986

« Ainsi, il pourrait être concevable qu’un DLBCL préexistant ou subclinique puisse se développer rapidement dans une condition spécifique induite par la vaccination BNT162b2. » « En conclusion, le DLBCL peut croître rapidement après la vaccination par BNT162b2. Les dermatologues doivent faire attention à l’élargissement des LN ou à la masse près du site d’injection du vaccin BNT162b2. »

  1. Sarcome de Kaposi classique conjonctival unilatéral suite à un rappel COVID-19 (White E et al)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/38601193/

« Dans la mesure où le rappel vaccinal a précédé le cancer, il semble étiologique à l’apparition du sarcome de Kaposi. La vision monoculaire et le glaucome de la patiente ont compliqué son traitement. Ce cas développe les concepts actuels de cofacteurs nécessaires au développement du sarcome de Kaposi dans cette administration de rappel vaccinal. était pertinent pour la progression tumorale et des preuves cliniques et mécanistiques sont présentées pour soutenir cette hypothèse. « Dans ce cas particulier, il semble que la vaccination contre le COVID-19 ait agi comme l’un des cofacteurs supplémentaires nécessaires pour induire le SK dans la mesure où il n’y avait aucune autre cause claire autre que la relation temporelle entre le vaccin de rappel et le développement du SK. »

  1. Un rapport de cas de trouble lymphoprolifératif post-transplantation après le vaccin AstraZeneca contre la maladie à coronavirus 2019 chez un receveur de transplantation cardiaque (Tang WR et al)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34702598/

« En résumé, nous émettons l’hypothèse que le vaccin pourrait contribuer à la tumorigenèse des lymphocytes B via la réactivation de l’EBV latent. » « Nous rapportons un cas de PTLD après vaccination contre le COVID-19 chez un receveur de transplantation cardiaque, qui pourrait montrer un éventuel lien pathogène. Bien que nous ne puissions pas exclure la coïncidence de la vaccination contre le COVID-19 et le développement de PTLD dans ce cas, la greffe les chirurgiens doivent être conscients de l’effet immunomodulateur après la vaccination contre le COVID-19 et toujours penser au pire jusqu’à preuve du contraire. »

  1. Rapport de cas : Un cas de mélanome métastatique muté par BRAFV600 avec insuffisance cardiaque traité avec des inhibiteurs de point de contrôle immunitaire et des inhibiteurs de BRAF/MEK (Nishizawa A et al)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/38529375/

« Dans le cas présent, le vaccin aurait pu provoquer une forte réponse immunitaire, conduisant à la résolution spontanée de la tumeur primitive tout en favorisant simultanément les métastases des ganglions lymphatiques axillaires. »

  1. Lymphohistiocytose hémophagocytaire mortelle avec lymphome intravasculaire à grandes cellules B après vaccination contre la maladie à coronavirus 2019 chez un patient atteint de lupus érythémateux disséminé : un cas étroitement lié (Ueda Y et al)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/38619098/

« Nous pensons que la vaccination contre le COVID-19 et la maladie auto-immune de notre patiente, qui la prédispose à développer un lymphome, pourraient avoir contribué au développement de l’IVLBCL. L’activation du facteur d’activation des lymphocytes B appartenant à la voie de la famille des facteurs de nécrose tumorale (BAFF) a été observée. dans le lymphome agressif à cellules B »

  1. Hémopathies malignes diagnostiquées dans le contexte de la campagne de vaccination à ARNm contre le COVID-19 : un rapport de deux cas (Zamfir et al)

https://www.mdpi.com/1648-9144/58/7/874

« À notre connaissance, il s’agit du premier rapport faisant état d’une manifestation orale grave post-vaccination, confirmée immunohistochimiquement comme un lymphome non hodgkinien à cellules T/NK, apparaissant quelques jours après la vaccination par ARNm COVID-19. »

  1. Événements indésirables hématopoïétiques associés au vaccin BNT162b2 à ARNm Covid-19 (Erdogdu B et al)

https://avesis.hacettepe.edu.tr/yayin/64667112-eb73-4bd3-b8c5-d5df96cc4e09/hematopoetic-adverse-events-associated-with-bnt162b2-mrna-covid-19-vaccine

  1. Lymphome cutané indolent avec expression gamma/delta après vaccination contre le COVID-19 (Hobayan CG & Chung CG)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36530557/

« La présentation de notre patient est inhabituelle car elle est apparue sur le site d’une vaccination contre le COVID-19 plusieurs jours après la vaccination. » « Étant donné que cette présentation et cette évolution ne sont pas typiques du PCGDTCL, il n’est pas clair si ses lésions représentent une variante indolente du PCGDTCL ou un autre lymphome avec expression gamma/delta. On ne sait pas si le vaccin COVID-19 a directement contribué à sa présentation ou à l’évolution de sa maladie. Un rapport de cas supplémentaire montre une lésion lymphoproliférative atypique avec des caractéristiques imitant un lymphome après le rappel du vaccin, une prolifération monotypique de cellules B a été trouvée histologiquement. »

  1. Mésothéliome cardiaque primitif présentant une péricardite récurrente fulminante : à propos d’un cas (Schwartzenberg et al)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36937239/

« Au meilleur de nos connaissances, il s’agit du seul deuxième cas de péricardite pathologiquement confirmé qui s’est transformé en mésothéliome17, dans ce cas en seulement 4 mois. Il est peu probable qu’un diagnostic correct plus précoce ait fait une différence clinique dans ce cas en vue de l’évolution accélérée de la maladie.

  1. Sarcome de Kaposi sporadique suite à un vaccin contre le COVID-19 : simple coïncidence ou quelque chose de plus ? (Martínez-Ortega JI et al)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/38465101/

« Le KSHV est une exigence absolue de l’oncogenèse et est un cancérigène direct. Ainsi, lorsque nous examinons la relation entre le vaccin AstraZeneca et le sarcome de Kaposi, nous pouvons nous concentrer sur la réactivation du KSHV [1].

Des études ont montré que les protéines de pointe du SRAS -CoV-2 peut réactiver la phase lytique du KSHV. Le vaccin ChAdOx1 nCoV-19 contient des protéines d’ADN codant pour l’ADNe. Si ces protéines de pointe rencontrent des cellules infectées par le HHV8, cela pourrait potentiellement déclencher la réactivation du virus, conduisant à la phase lytique. « . « Bien que des recherches supplémentaires soient nécessaires pour établir un lien définitif, les preuves discutées dans ce rapport indiquent des mécanismes potentiels impliquant la réactivation du KSHV, l’influence de l’inflammation induite par l’adénovirus et les effets liés aux protéines de pointe. »

  1. Lymphome à cellules T de type panniculite sous-cutanée après vaccination contre le COVID-19 (Kreher et al)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35966352/

« Dans ce manuscrit, nous présentons un cas de SPTCL qui s’est développé à la suite du vaccin COVID-19 à base de vecteur viral Ad26 (Janssen Pharmaceuticals). Bien que le lien de causalité ne puisse pas être établi dans ce cas unique, ce cas conforte la compréhension que certains déclencheurs immunologiques, tels que en tant que vaccin à adénovirus modifié, peut contribuer au développement ou à l’exacerbation du SPTCL. Une fonction immunitaire aberrante ou une hyperstimulation lymphocytaire peuvent également en être responsables. Par exemple, une association a été établie entre le SPTCL et le lupus érythémateux systémique, le syndrome de Sjögren, le diabète sucré de type 1, et l’arthrite juvénile idiopathique.

  1. Lymphome à cellules T de type panniculite sous-cutanée après la vaccination contre l’ARNm-1273 contre le COVID-19 (Ukishima et al)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/37035606/

« Dans l’ensemble, des recherches supplémentaires sont nécessaires pour examiner les associations possibles entre la vaccination contre le COVID-19 et le SPTCL. Dans ce cas, les vaccins contre le COVID-19 peuvent provoquer un SPTCL, et une biopsie cutanée à un stade précoce peut aider au diagnostic de l’érythème noueux. »

  1. Le cas de T-ALL présentant un phénotype NK après la vaccination contre le COVID-19 (Yanagida E et al)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36706586/

« Bien que la présence d’une relation causale directe entre la vaccination T-ALL et COVID-19 ne soit pas claire, l’immunisation pourrait être directement liée à la réponse immunitaire de l’hôte. » « Bien que la relation entre la vaccination et l’apparition de ce cas ne soit pas claire, nous avons signalé qu’une observation attentive de cas similaires est nécessaire afin d’élucider la physiopathologie. »

  1. Le premier cas d’autopsie de lymphome de la zone marginale positif au virus d’Epstein-Barr qui s’est détérioré après la vaccination contre le COVID-19 (Wang Z et al)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/38116849/

*paywall*

  1. Présentation clinique inhabituelle d’un sarcome à cellules claires chez une jeune femme (Asif S et al)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/37877807/

Documenté comme accessoire/contexte dans le rapport de cas

  1. Lymphadénopathie axillaire chez une patiente soumise à un dépistage mammaire à haut risque après le vaccin contre la COVID-19 : une énigme diagnostique (Musaddaq et al)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35300233/

  1. Dépistage du cancer du sein et adénopathie axillaire à l’ère de la vaccination contre le COVID-19 (Wolfson & Kim)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36219117/

  1. Lymphadénopathie hypermétabolique suite à l’administration du vaccin COVID-19 et de l’immunothérapie chez un patient atteint d’un cancer du poumon : à propos d’un cas (Tripathy et al)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36434709/

  1. Lymphœdème du bras après vaccination contre le COVID-19 chez une patiente atteinte d’un cancer du sein caché et d’une dermatomyosite paranéoplasique (Aimo et al)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36016107/

  1. Mélanome métastatique du sein et de l’aisselle : à propos d’un cas (Barnett C et al)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35255441/

  1. Adénocarcinome prostatique métastatique se présentant comme une lymphadénopathie généralisée non masquée par un vaccin de rappel COVID (Bharathidasan K et al)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/38033690/

  1. Leucoencéphalopathie multifocale progressive chez un patient atteint de leucémie lymphoïde chronique à cellules B après vaccination contre le COVID-19, compliquée de COVID-19 et de mucormycose : à propos d’un cas (Amirifard H et al)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/38704555/

Tumeurs bénignes

  1. Pilomatricome en croissance sur le site de vaccination à ARNm du SRAS-CoV-2 (Erkayman MH et al)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/38099131/

  1. Angioendothéliomatose réactive après la vaccination Ad26.COV2.S (Faulkner C et al)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/38290076/

  1. Développement du pilomatrixome sur le site de vaccination : une complication rare de la vaccination contre le COVID-19 – Un rapport de cas (Yang Z et al)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/38055654/

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les députés écolos et les journalistes actuellement obsédés par la raréfaction de…l’eau. Pourtant , même le Giec annonce des précipitations plus abondantes

La liste de Marie Toussaint ne veut pas seulement la guerre contre la Russie, elle entend également rationner l’eau et les journalistes reprennent encore le refrain sur la pénurie….

La presse raconte n’importe quoi:

Si les températures augmentent les précipitation également. C’est une évidence même pour le GIEC qui annonce un réchauffement . Rappelons que le SAHARA fur vert ily a six mille ans avec des températures plus élevées qu’aujourd’hui

La tendance à la légère hausse des températures est compatible avec les précipitations actuelles

Mais une augmentation des précipitations ça colle mal avec les catastrophes alors…

Macron veut réduire la consommation d’eau de 10%, les écolos veulent aller plus loin

Face à la raréfaction de la ressource en eau, l’Europe porte une directive cadre qui la protège, mais nous devons aller plus loin, mieux la préserver et mieux la partager. Nous porterons une loi sur la résilience pour l’eau, pour, par exemple, interdire les méga-bassines !

Sont ils capables de comprendre ce petit dessin

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Attal, Séjourné ,la fabrique médiatique des nouveaux BHL de la Macronie

Les journalistes ne peuvent se passer de fabriquer le portrait d’un Attal énarque, même si c’est pour le critiquer…Gabriel Attal à la rencontre des Français, c’est destination en terre inconnue pour lui. Parce qu’entre l’école alsacienne et l’ENA, il n’a pas dû en voir beaucoup de vrais Français. Des gens qui travaillent tous les matins, qui se cassent le dos au boulot, ça ne doit pas être sa came… Là, il est en pleine découverte. Il fait un stage de 3ème pour voir à quoi ressemble un Français ! », RMC

Gabriel ATTAL n’a jamais fait l’ENA mais les cabinets ministériels après son bac à l’Ecole Alsacienne, il n’ a jamais été licencié en droit d’Assas . Sciences Po? Il n’ a pas eu son diplôme comme prévu en 2012 et personne ne comprend comment il a pu suivre des cours et l’avoir en 2013 alors qu’il travaillait 80h par semaine au cabinet ministériel de Marisol Touraine…

Stéphane Séjourné n’a jamais fait l’Ena et son expression orale semble inquiétante…Il aurait eu son bac en Argentine puis …l’UNEF comme la tradition le veut au PS; Il aurait été diplômé à Poitiers …

Ils peuvent être brillants et intelligents sans être diplômés mais pourquoi MENTIR et laisser fabriquer une image d’intellectuels…

N’y aurait il aucune limite à la communication….

Gabriel Attal a inventé ce harcèlement homophobe juste après le suicide de Lucas, 13 ans, dans le seul but de le récupérer.

Effectivement à l’écouter il ne semble pas du tout avoir souffert de harcèlement.

Je crois que cette archive peut permettre d’un peu mieux comprendre l’histoire et le parcours de cet homme politique propulsé, en quelques années seulement, à la tête du gouvernement.Pas souvenir de grande souffrance durant ma scolarité : du coup le harcèlement scolaire on est d’accord que c’est un mensonge

@lesaurores

SciencesPo, sollicité, vient de confirmer qu’il n’y avait pas de validations d’acquis en 2013, et qu’en conséquence, M. Attal n’aurait pu en bénéficier légalement.

Or M. Attal n’a eu son diplôme de SciencesPo qu’en mai 2013, alors qu’il faisait partie de la promotion 2012.

Et il occupait depuis mai 2012, ‘un des postes les plus chronophages de la République: conseiller ministériel.

Un temps plein payé 6.000 euros par mois au ministère de la santé – domaine sur lequel il n’avait aucune compétence – obtenu grâce à un piston de sa meilleure amie qui était alors la fille de la ministre, Marisol Touraine.

C’est un poste qui exige jusqu’àparfois jusqu’à 80 heures de travail par semaine. Il n’a donc pu suivre un quelconque cursus au cours de l’année universitaire 2012-2013. Il va cependant être diplômé en mai 2013. Comment l’expliquer ? Une VAE ? Non, SciencesPo vient de confirmer qu’elles n’existaient pas.

Comme l’attestent les documents que nous avons reçus, la direction de SciencesPo a décidé de lui offrir son master en « récompense » de son recrutement en un cabinet ministériel. Ce sont des arrangements courants à SciencesPo avec les élèves qui peuvent leur servir de relais par la suite. Alors qu’il n’avait pas réussi à obtenir son master, pourtant quasiment offert aux étudiants de SciencesPo, et qu’il devait donc redoubler, M. Attal va donc se voir offrir son seul diplôme connu par copinage. C’est beau l’endogamie. Rappelons que M. Attal, contrairement à ce qu’il a affirmé, et comme cela a été depuis confirmé aux Echos, n’a pas non plus suivi d’études de droit à Assas, où on lui avait pourtant permis d’entrer en L3 directement.

La dyslexie est un trouble de la lecture et de l’écriture spécifique et durable qui apparaît chez l’enfant et l’adolescent. Pas de l’expression orale. Quand

@steph_sejourne parle en faisant des fautes, c’est uniquement de l’inculture.

C’est à Poitiers que Stéphane Séjourné débute son parcours militant. Là aussi qu’il rencontre Sacha Houlié, Aurélien Taché, Pierre Person et Guillaume Chiche, cinq hommes qu’on appellera plus tard « la bande de Poitiers » : des macronistes de la première heure, issus des jeunesses socialistes, proches de Dominique Strauss-Kahn.

Conseiller d’Emmanuel Macron, ministre de l’économie en 2014, Stéphane Séjourné sera à l’origine, avec ses acolytes, du mouvement « Les jeunes avec Macron » lancé en juin 2015. 

Après l’élection présidentielle de 2017, il deviendra conseiller politique à la présidence de la République. Les quatre autres de la bande de Poitiers seront élus députés en 2017. 

Lui deviendra député européen en 2019, et prendra la tête du groupe « Renew Europe » au parlement européen.

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N’avoue jamais, jamais que tu t’es planté! La presse entend transformer les aveux en justice d’Astrazeneca en retrait pour raison commerciale

https://www.dailytelegraph.com.au/lifestyle/astrazeneca-withdrawn-worldwide-over-side-effects/video/e1be38d8c9ac9a33a4b376bd20c846fc

Or, ce dernier se trouve actuellement dans l’oeil du cyclone après qu’un document juridique dont la teneur a été révélée ce dimanche 28 avril 2024 par le quotidien britannique « The Telegraph » a fait état d’aveux d’AstraZeneca concernant le fait que son vaccin « peut, dans de très rares cas, causer une thrombocytopénie thrombotique », un syndrôme responsable de caillots sanguins et d’un faible taux de plaquettes sanguines chez les personnes atteintes.

Ledit document juridique a été transmis par AstraZeneca elle-même à la Haute Cour de justice de Londres en février 2024, dans le cadre d’une action en justice collective à son encontre. Et c’est, comme l’a exposé « The Telegraph », « un revirement apparent qui pourrait ouvrir la voie à un dédommagement légal de plusieurs millions de livres ».

On parle plus précisément d’une indemnité de 100 millions de livres sterling en faveur de cinquante-et-une victimes présumées.

Et si AstraZeneca a refusé de commenter l’action en cours au niveau de la Haute Cour de justice, elle a néamoins tenu à préciser que ce n’était pas la première fois qu’elle reconnaissait que son vaccin anti-Covid pouvait causer une thrombocytopénie thrombotique. En effet, c’est dès avril 2021, rappelle-t-elle, que l’Agence britannique de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA) a été averti de cette « possibilité ».

AstraZeneca a admis pour la première fois dans des documents judiciaires que son vaccin Covid pouvait provoquer un effet secondaire rare, dans un revirement apparent qui pourrait ouvrir la voie à un paiement légal de plusieurs millions de livres .

Le géant pharmaceutique est poursuivi dans le cadre d’un recours collectif pour des allégations selon lesquelles son vaccin, développé avec l’Université d’Oxford, aurait causé la mort et des blessures graves dans des dizaines de cas .

Les avocats affirment que le vaccin a produit un effet secondaire qui a eu un effet dévastateur sur un petit nombre de familles .

Le premier cas a été déposé l’année dernière par Jamie Scott , père de deux enfants, qui a subi une lésion cérébrale permanente après avoir développé un caillot de sang et une hémorragie cérébrale qui l’a empêché de travailler après avoir reçu le vaccin en avril 2021. L’hôpital a appelé sa femme à trois reprises pour lui dire que son mari allait mourir.

AstraZeneca conteste ces affirmations mais a admis, dans un document juridique soumis à la Haute Cour en février, que son vaccin Covid « peut, dans de très rares cas, provoquer un TTS ».

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La guerre !la guerre !la guerre! Hayer mais également Toussaint (écolo) et Glucksmann (ancien conseiller de dictateur) sont de plus en plus fêlés et irresponsables

Le Grand Débat LCP avec des têtes de listes m’a sidéré. Deux camps s’affrontaient clairement avec une cible désignée, Jordan Bardella

Toussaint a ainsi souligné que Jordan Bardella est « un agent de l’étranger », critiquant aussi le fait qu’il n’a « jamais voté en faveur de se libérer du gaz russe ». ( pour acheter du gaz de schiste américain….)

« Vous n’êtes pas patriote, vous êtes au service d’une idéologie », lui a lancé Raphaël Glucksmann (ancien conseiller de dictateur). « Moi, j’étais du côté de ceux qui résistaient à Vladimir Poutine pendant que votre parti célébrait l’annexion de la Crimée et l’occupation du Donbass », a-t-il rappelé. « Nous ne voulons pas de petits télégraphistes du Kremlin », a encore déclaré le candidat PS-Place publique (agent de la CIA).

Faut il rappeler que la Crimée compte 3% d’Ukrainophone et qu’elle avait un statut de république autonome ((comme la Catalogne)? Bardella a rappelé justement que la position de Mariani mis en cause est celle de Sarkozy ( et de Giscard d’ESTAING)

François-Xavier Bellamy (LR) et Marion Maréchal (Reconquête!) ont tenu des propos plus équilibrés et même excellents face au délire climatique et normatif

Jordan Bardella rappela à juste titre que Thierry Mariani systématiquement attaqué , portait l’analyse de de Nicolas Sarkozy sur la Crimée (3% d’Ukrainiens) et défendu l’agriculture

La vidéo du débat :

https://twitter.com/i/broadcasts/1vOxwjqPVrbJB

https://twitter.com/i/broadcasts/1vOxwjqPVrbJB

@YvesPDB

Raphael Glucksman exfiltré de Georgie par la CIA ou avec son ami Saakachvili et sa femme Eka ministre de l’intérieur ils ont enfermé et torturé leurs opposants ce qui a conduit Saakachvili en prison en Georgie ce qui attend aussi Glucksmann ! Mais silence radio des médias !

Ukraine : « J’étais du côté de ceux qui résistaient à Vladimir Poutine sur la place Maïdan [à Kiev] pendant que votre parti célébrait l’annexion de la Crimée et l’occupation du Donbass » lance @rglucks1. #Européennes2024

amp Atlantiste Raphaël Glucksman et son passé sulfureux

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Eurovision, représentation de la France au JO, l’Occident est devenu entièrement woke! On en a marre!

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Il n’existe aucune preuve scientifique définitive que le CO2 soit responsable du léger réchauffement du climat mondial survenu au cours des 300 dernières années.

Le co-fondateur de Greenpeace, le Dr Patrick Moore : « Il n’existe aucune preuve scientifique définitive que le dioxyde de carbone soit responsable du léger réchauffement du climat mondial survenu au cours des 300 dernières années. »

JOHN CLAUSER, LAURÉAT DU PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 2022 :

« Je peux affirmer en toute confiance qu’il n’y a AUCUNE urgence climatique. » « Même si cela peut contrarier de nombreuses personnes, mon message est que la planète n’est PAS en péril. … Le CO2 atmosphérique et le méthane ont un effet négligeable sur le climat.

Les politiques mises en œuvre par le gouvernement sont totalement inutiles et devraient être éliminées. Jusqu’à présent, nous avons totalement mal identifié le processus dominant dans le contrôle du climat, et tous les différents modèles sont basés sur une physique incomplète et incorrecte.

Le processus dominant est « le mécanisme du thermostat nuage-soleil-réflexivité ». Les nuages ​​sont tous d’un blanc éclatant et réfléchissent 90 % de la lumière solaire vers l’espace, ce qui en fait l’aspect le plus crucial, mais aussi le plus négligé, du système climatique.

Les deux tiers de la Terre sont constitués d’océans. L’océan Pacifique représente à lui seul la moitié de la Terre. La couverture nuageuse moyenne sur Terre est de 67 % ; environ 50 % sur terre et 75 % sur les océans.

Je prétends que les propriétés remarquables des nuages ​​ci-dessus constituent la pièce manquante du puzzle. Je peux affirmer en toute confiance qu’il n’y a pas d’urgence climatique. » Voir les diapositives de son discours sur le fil ci-dessous :

Tout graphique des températures à long terme de la planète Terre indique que les températures ont naturellement augmenté beaucoup plus haut qu’elles ne le sont aujourd’hui bien avant que le CO2 artificiel puisse être un facteur, révélant que le CO2 artificiel est une cause possible du réchauffement climatique qui n’est pas étayée par des preuves.

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