
De Villiers 2027 ( Compte de soutien )
@DeVilliers2027
Compte de fan
Il y a des images qui devraient glacer une nation tout entière.
Un agriculteur. Un homme de la terre. Un héritier de mille ans de sillons.
Et face à lui, dans la France de Macron, un canon d’arme braqué.
Pas un émeutier.
Pas un casseur.
Pas un factieux.
Un paysan qui manifeste. Calmement. Dignement. Pour vivre de son travail.
Et l’État répond par la mise en joue.
Quelle ignominie.
Quelle faillite morale.
Quelle trahison historique.
Car quand un pouvoir commence à considérer ceux qui nourrissent le pays comme des suspects, quand il envoie la force armée face au bon sens paysan, quand il confond autorité et intimidation, alors ce n’est plus un simple dérapage : c’est un basculement.
La France n’est plus gouvernée, elle est administrée.
Elle n’est plus aimée, elle est surveillée.
Elle n’est plus écoutée, elle est sommée d’obéir.
On parlait autrefois d’un État protecteur.
Nous découvrons un État méfiant.
Un État hors-sol, qui ne connaît plus ni la terre, ni ceux qui la travaillent, ni les silences profonds des campagnes.
La République n’a jamais été faite pour braquer des fusils sur ses laboureurs.
Jamais.
Quand la peur change de camp, quand la protestation devient une menace, quand la matraque remplace la parole, alors oui — il faut avoir le courage de le dire — nous entrons dans les réflexes d’un État totalitaire.
Un État qui ne tolère plus la dissidence.
Un État qui redoute le peuple réel.
Un État qui a oublié que la France commence dans les champs, pas dans les bureaux.
Et le jour où l’on pointera une arme sur un paysan, ce jour-là, ce n’est pas lui qui sera en joue.
C’est la France.
La résistance et la révolte, les amis. Nous devons y aller !