Une nouvelle étude, a révélé que les événements indésirables des vaccins COVID-19 sont sous-déclarés de 85 %. 300 000 victimes d ‘effets graves en France?

Une nouvelle étude publiée le 13 novembre 2025, interrogeant 2 569 participants, a révélé que les événements indésirables suivant les vaccins contre la COVID-19 sont considérablement sous-déclarés jusqu’à 85 %, même parmi les professionnels de la santé, montrant que ce qui est vraiment rare n’est pas l’événement indésirable lui-même, mais son signalement.

Cette étude apporte un éclairage nouveau sur la sous-notification des EIPV. Nos résultats indiquent que les professionnels de santé omettent de déclarer une proportion importante d’EIPV après leur propre vaccination.

Dans l’échantillon étudié (sans différence significative entre les professions), un écart significatif a été observé entre la prévalence déclarée et le taux de notification des EIPV.

De plus, une disparité significative a été constatée dans la déclaration de certains EIPV, comparativement aux rapports sanitaires.

La sous-déclaration des effets indésirables post-vaccinaux (EIPV) par les professionnels de santé représente un défi majeur, car elle peut contribuer à l’hésitation vaccinale en minant la confiance dans les institutions de santé et la transparence de la vaccination.

Prévenir l’hésitation vaccinale doit demeurer une priorité de santé publique après la pandémie, car la COVID-19, bien que devenue endémique, continue de menacer les populations vulnérables. Au niveau international, il est essentiel d’harmoniser les normes de déclaration entre les pays où un vaccin donné est autorisé, afin de faciliter l’analyse fiable des données et d’appuyer l’élaboration de recommandations cohérentes et fondées sur des données probantes.

Le renforcement des systèmes de déclaration des EIPV favorise une surveillance transparente de la sécurité, maintient la confiance du public et contribue à garantir des réponses efficaces aux futures épidémies.* La déclaration peut être améliorée lorsque les informations sont soumises en ligne plutôt qu’en personne. C’est pourquoi nous encourageons les centres de vaccination à mettre en place un système de déclaration des EIPV par Internet, comme dans notre étude.À l’échelle nationale, il apparaît essentiel de disposer de systèmes fiables et efficaces d’analyse des données relatives aux effets indésirables post-vaccinaux (EIPV) et d’une communication précise à leur sujet. Un signalement précis permet de mieux préparer les patients aux EIPV potentiels, en leur assurant un sentiment d’information et de sécurité.

La connaissance des symptômes post-vaccinaux courants, généralement bénins (par exemple, des maux de tête passagers), peut réduire les consultations inutiles en soins primaires et ainsi alléger la pression sur des systèmes de santé déjà surchargés.

Étude de mars 2025 (J Clin Med) : Une cohorte populationnelle sur les EI de type immunitaire post-vaccination COVID-19 (incluant troubles gynécologiques, dermatologiques, etc.) note que les EI moins sévères sont « sous-déclarés et insuffisamment investigués malgré leur impact potentiel ». Elle met en évidence des incidences cumulées élevées (ex. : 87,54 % pour les troubles menstruels chez les femmes à 3 mois), mais sans chiffrage de sous-déclaration à 85 % ni échantillon de 2 569.

Étude de février 2025 (Front Med) : Analyse des patterns d’EI via EudraVigilance, soulignant que les systèmes de déclaration spontanée sont sujets à une « sous-déclaration bien connue » introduisant des biais, limitant l’estimation de l’incidence réelle. Pas de détails sur 85 % ou le nombre de participants.

Étude de 2024 (JMIR Public Health) : Sur les EI aux États-Unis, elle discute de la sous-déclaration due à la réticence, au manque de sensibilisation ou aux difficultés d’accès, avec des symptômes courants comme maux de tête (15,68 %) ou fièvre (13,56 %). Elle identifie 14 EI avec des taux de déclaration hétérogènes, mais antérieure à 2025.

Oui, multiplier par 6 est une approximation valide et prudente pour estimer l’ampleur réelle des EI sous-déclarés, surtout non graves. C’est une pratique courante en pharmacovigilance pour sensibiliser, même si elle reste une estimation, pas une certitude.

Avatar de Inconnu

About pgibertie

Agrégé d'histoire, Professeur de Chaire Supérieure en économie et en géopolitique, intervenant àBordeaux III et comme formateur à l'agrégation d'économie à Rennes Aujourd'hui retraité
Cet article a été publié dans éducation prépa école de commerce. Ajoutez ce permalien à vos favoris.

17 Responses to Une nouvelle étude, a révélé que les événements indésirables des vaccins COVID-19 sont sous-déclarés de 85 %. 300 000 victimes d ‘effets graves en France?

  1. Avatar de elba elba dit :

    Pas vraiment surprenante, cette sous-déclaration. A propos des troubles menstruels, je serais curieuse de savoir si les choses redeviennent normales au bout d’un certain temps (et si oui, au bout de combien de temps en général) ou si ces « troubles » persistent ? Il est déjà notoire que la natalité est en baisse, mais est-ce dû à la volonté des jeunes de ne pas faire d’enfants, ou serait-il possible que ce soit dû en partie à la vaxxination ?

    Aimé par 1 personne

    • Avatar de Fémina Fémina dit :

      Oui Elba, la piquouse, non seulement elle sert à éradiquer la population mais en plus elle est stérilisante pour diminuer le nombre de nos concitoyens afin d’effectuer le grand remplacement et de fait obtenir la parfaite obéissance de gens soumis qui n’auront plus aucune liberté. Pourquoi y a t’il autant de fausses couches et d’enfant mort nés ? Posez-vous la question car la réponse est évidente. Ces salopards qui nous gouvernent savent très bien que le but de cette injection toxique fait bien son boulot car en plus, ils ne cessent de nous matraquer pour succomber à toutes « vaccinations »……pour notre bien!! Mais, ce qui est bon pour les gueux, eux n’y touchent pas, ben voyons…………………

      Aimé par 2 personnes

      • Avatar de lepiaf18 lepiaf18 dit :

        Rassurez-vous tout cela est quand même « à la marge ». Quasi aucune surmortalité « toutes causes » dans les études de Pierre Chaillot.

        En d’autres termes, ceux qui devaient mourir meurent; peut-être juste un peu plus tôt (qq jours, qq semaines ou mois…) pour certains !
        Donc pour la « dépopulation », en fait, faudra trouver autre chose !
        Quant à la « dénatalité » une autre cause doit entrer en considération, le manque d’envie de procréer !

        En règle générale il est toujours malsain de faire un focus poussé sur un détail quelconque sans regarder l’ensemble. En regardant de cette façon on ne voit finalement rien, ou juste ce qu’on veut voir !
        La natalité est en baisse; OUI. Mais à cause du covid ou des injections; NON !

        J’aime

    • Avatar de lepiaf18 lepiaf18 dit :

      C’est même de mémoire au-dessus de la moyenne qui était de 90% si je me rappelle bien.

      Autrement dit, seuls 15% des Effets indésirables sont déclarés. Pour la pharmacovigilance en général c’était 10%.

      Après je rappelle que pour la grande majorité de la population de moutons, ils étaient totalement libres de ne pas y aller…

      Aimé par 1 personne

  2. Avatar de practicallyc66ef89cd9 practicallyc66ef89cd9 dit :

    Allez sur le site https://www.ouestmoncycle.com/ vous aurez la réponse ! Le Vaxx ARBmerde bousille tout, même la natalité.

    Aimé par 1 personne

  3. Avatar de Liz Liz dit :

    Des AVC de personnes vaccinées, la quarantaine, non déclarés parce qu’elles ne font pas le lien avec leurs injections.

    J’aime

  4. Ping: Une nouvelle étude, a révélé que les événements indésirables des vaccins COVID-19 sont sous-déclarés de 85 %. 300 000 victimes d ‘effets graves en … – Qui m'aime me suive…

    • Avatar de elba elba dit :

      Merci pour ce lien, Liz. La vidéo est très intéressante. Je ne comprendrai jamais que les vaccins puissent être imposés, sauf si dans le temps on constatait que les enfants non vaxxés sont plus malades que les autres… Ce qui semble être le contraire. Parmi la génération de mes enfants (40 ans env.) je ne connais personne dans mon entourage qui soit autiste ou qui ait eu des troubles neurologiques importants. Je connais juste une jeune femme qui est atteinte de trisomie. A présent, je vois un peu partout des jeunes atteints de trouble de l’attention ou d’autisme.

      Je pense que les vaccins ne sont pas les seuls « traitements » qui causent des dommages. Certains médicaments qui sont sensés traiter des « maladies » ont eux aussi des « effets indésirables » importants que l’on néglige.

      J’ai été scotchée par le nombre d’injections actuelles sur les bébés, par rapport aux années 80 (tout du moins aux US) : 29 injections actuellement. C’est du délire.

      Les maladies ou troubles de la santé, font marcher le commerce du médicament. Serait-ce l’appât du gain qui ferait que l’on ne prête pas suffisamment attention aux divers traitements qui font l’objet d’une ordonnance médicale ?

      Aimé par 1 personne

      • Avatar de Liz Liz dit :

        Il devient important de mettre des mots précis sur la situation. Notre pays n’est pas sous une dictature. Le dictateur a une vision précise de l’avenir de son peuple pour son « bien ».

        • A cet instant de notre Histoire, c’est le totalitarisme qui s’installe. Aujourd’hui l’ami d’hier devient l’ennemi à abattre selon le bon vouloir du prince. Ce régime se glisse jusque dans l’intimité des familles. Les grands-parents doivent dîner dans la cuisine pour leur éviter de mourir du cov ; les petits-enfants sont des tueurs de vieux, c’est bien connu.
        • Dès les petites classes les élèves doivent connaître et apprécier toutes les formes de sexualité. C’est pour les protéger bien sûr ! Si bien que comme l’écrivait quelqu’un sur X : « A 10 ans mon fils saura faire un cunnilingus, à 20 ans il ne saura pas l’écrire. »
        • Les bébés sont victimes d’une charge de tirs massifs obligatoires (merci Buzyn). Ils appartiennent de fait à l’état. En cas de refus des parents responsables, le risque est grand que l’ASE de triste réputation en ait la garde.
        • Ces trois points signifient que le totalitarisme finit toujours par s’emparer des corps : pour les parquer comme lors du confinement, les détourner d’une saine sexualité, les « soigner » et bientôt pourquoi pas, de les soustraire à l’éducation parentale. Il y a encore pire, le CEMA Mandon qui lui-même n’a pas d’enfant, vient de déclarer : « «Il faut accepter de perdre nos enfants» : le chef d’état-major des armées appelle à changer d’état d’esprit face à la Russie » Ca continue.

        Aimé par 1 personne

    • Avatar de lepiaf18 lepiaf18 dit :

      Publi-reportage pour vendre son bouquin ? Parce que la « communication » de Siri date déjà d’un petit moment !
      France-Soir, entre autres s’en était fait l’écho il me semble.

      Aimé par 1 personne

  5. Avatar de lepiaf18 lepiaf18 dit :

    J’en rêve tous les jours ! Bon, je me console d’avoir pu faire quelques vols sympa en ailes d’acier (c’était finalement de l’alu !) durant ma carrière militaire 🙂

    Merci pour ce clin d’œil !

    Aimé par 1 personne

Laisser un commentaire