
L’enveloppe globale est ainsi passée de 491 milliards d’euros en 2022 à 498 milliards en 2023, soit une hausse de « seulement » 1,4 %, alerte le think tank. Entre 2021 et 2023, la hausse avait été beaucoup plus conséquente, l’enveloppe passant de 439 à 491 milliards d’euros, soit une hausse de 11,8 % (+52 milliards d’euros). Et de 2020 à 2021, le bond fut encore plus impressionnant : +86 milliards d’euros.
Acteurs majeurs du cycle du carbone, les fleuves et rivières apportent à l’océan un CO2 que l’on croyait jusqu’à présent récemment capté dans l’atmosphère. En réalité, ce carbone relâché est vieux de plusieurs millénaires.
L’étude fait la une de la revue Nature du 5 juin 2025. Les fleuves et rivières du monde relâchent dans les océans un carbone qui était stocké dans les sols depuis des millénaires. C’est une très mauvaise nouvelle pour la lutte contre le changement climatique. Le travail mené par une équipe de l’Université de Bristol (Royaume-Uni) révèle que 60% du carbone charrié par les rivières à un âge qui se compte en milliers d’années et non en quelques décennies.
Cela représente 1,2 milliard de tonnes sur les 2 milliards estimées présentes dans les rivières. De quoi obliger à recaler la cinquantaine de modèles climatiques qui, par le monde, travaillent à caractériser l’évolution de la température de la planète pour les prochaines décennies. Il faut en effet ajouter ces 1,2 milliard de tonnes aux 5,2 milliards de tonnes d’émissions anthropiques supplémentaires qui s’ajoutent dans l’atmosphère tous les ans.
Jusqu’à présent, le rôle des rivières dans le cycle du carbone paraissait clair. Le couvert végétal capte 3,2 milliards de tonnes de CO2 de l’atmosphère par photosynthèse tous les ans. Le lessivage superficiel des sols et leur érosion amène une partie de ce carbone dans les rivières vers les océans. Cette part du cycle était estimée à 2 milliards de tonnes. Il était jusqu’ici admis qu’il ne pouvait s’agir que d’un carbone « jeune » âgé de moins de 50 ans. On n’imaginait pas qu’il puisse provenir de couches plus profondes. C’est pourtant le cas.
On sait bien que le carbone n’a pas de rôle dans l’évolution du climat, donc ça ne fait que confirmer l’inanité de tout le cinéma du GIEC et l’escroquerie qui s’ajoute aux autres pour masquer la gestion catastrophique des dirigeants politiques et financiers de l’occident collectif. Et pourquoi pas le 3ème GM en prime ?
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Superbe fontaine à pognon
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Ping: L’Europe a gaspillé près de 500 milliards d’euros en 2023 en chassant le co2. On apprend qu’une bonne partie du CO2 émis ne vient pas de l’homme … – Qui m'aime me suive…
Leurs modèles étaient faux de toutes les manières alors un peu plus ou un peu moins !
Pourquoi ne pas taxer les erreurs des scientifiques cela rapporterait un max de fric à la collectivité nationale voire internationale vous ne croyez pas ?
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Un gros mauvais mensonge pour nous soutirer de l’argent et nous faire perdre nos libertés. Voilà !
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Les scientifiques émettent des hypothèses plausibles, reste à en faire bon usage. Quand les gouvernements commandent à la recherche; se jettent sur toutes innovations sous la pression de lobbying avide de bizness; c’est pas les scientifiques qu’il faut virer, mais les autorités qui se précipitent hasardeseusement dessus.
« C’est pas grave, ça coûte rien, puisque c’est l’état qui paye », aurait dit un autre gros con!
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ah ben alors supprimons les rivières
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Ne leurs donnez pas de telles idées. Ils pourraient aussi tenter d’interdire la pluie…
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Ils ont déjà l’idée « d’ensemencer les nuages » !
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