Pour la première fois dans l’histoire médicale moderne, des enfants âgés d’à peine huit ans reçoivent un diagnostic de cancer du côlon agressif

Pour la première fois dans l’histoire médicale moderne, des enfants âgés d’à peine huit ans reçoivent un diagnostic de cancer du côlon agressif – un phénomène si rare qu’il était pratiquement inconnu avant 2021. Mais aujourd’hui, des oncologues d’élite rompent les rangs, révélant ce qu’ils appellent une « épidémie mondiale » de cancers à évolution rapide, directement liée aux vaccins contre la COVID-19. Les mêmes autorités médicales qui exigeaient autrefois une confiance aveugle dans ces vaccins sont devenues étrangement silencieuses face à l’accumulation des décès.

• Les meilleurs oncologues tirent la sonnette d’alarme : le Dr Patrick Soon-Shiong et le Dr Angus Dalgleish mettent en garde contre des pics de cancer sans précédent chez les enfants et les jeunes adultes.

• Les vaccins à ARNm impliqués : les experts affirment que les vaccins contre la COVID pourraient accélérer les « cancers turbo » agressifs en s’intégrant dans l’ADN cellulaire.

• Dissimulation mondiale ? Le système médical ignore la crise après avoir imposé des vaccins expérimentaux, laissant les familles dans l’ignorance.

• L’observance forcée se retourne contre eux : des millions de personnes contraintes de se faire vacciner sont désormais confrontées à des conséquences dévastatrices sur leur santé.

L’essor des « cancers turbo » et une trahison médicale

Pour la première fois dans l’histoire de la médecine moderne, des enfants d’à peine huit ans reçoivent un diagnostic de cancer du côlon agressif – un phénomène si rare qu’il était pratiquement inconnu avant 2021. Mais aujourd’hui, des oncologues d’élite sortent du rang, révélant ce qu’ils appellent une « épidémie mondiale » de cancers à évolution rapide, directement liés aux vaccins contre la COVID-19. Les mêmes autorités médicales qui exigeaient autrefois une confiance aveugle dans ces vaccins sont devenues étrangement silencieuses face à l’accumulation des décès.

Le Dr Patrick Soon-Shiong, pionnier de la recherche sur le cancer et développeur de l’Abraxane, un médicament approuvé par la FDA, a récemment lancé une bombe lors d’une interview avec Tucker Carlson . « Il faut regarder la réalité en face », a-t-il déclaré, établissant sans détour le lien entre les vaccins à ARNm et la recrudescence des cancers mortels. Son avertissement fait suite à une avalanche de rapports de médecins de première ligne constatant des tumeurs étranges à apparition rapide chez de jeunes patients – des cas qui défient des décennies de compréhension médicale.

Parallèlement, le Dr Angus Dalgleish, oncologue renommé de l’Université de Londres, a appelé à l’interdiction pure et simple des vaccins à ARNm, affirmant qu’ils n’ont pas leur place en médecine en dehors des cas de cancer en phase terminale. « Le fait que l’ARNm puisse s’intégrer [à l’ADN], même si ce n’est pas le cas la plupart du temps, rend son utilisation injustifiable chez les jeunes, en particulier les enfants », a déclaré Dalgleish à la Vaccine Safety Research Foundation. Ses recherches ont révélé la présence de fragments d’ARNm à l’intérieur des tumeurs, suggérant que les vaccins pourraient favoriser la croissance cancéreuse.

Le scientifique a ensuite expliqué que l’ARNm des vaccins contre la COVID-19 s’est avéré « s’incorporer » dans les cellules cancéreuses.

Le Dr Dalgleish a souligné que des chercheurs ont identifié des traces d’ARNm dans des tumeurs cancéreuses , soulignant que ce matériel génétique joue un rôle dans leur croissance rapide et leur propagation agressive. Il a affirmé : « Le cancer causé par les vaccins à ARNm est une conséquence connue. » Le Dr Dalgleish a émis une mise en garde, soulignant que les vaccins à ARNm ne devraient pas être utilisés à titre préventif contre le cancer, car ils sont impliqués dans son apparition.

Une crise fabriquée et le silence de la dissidence

L’apparition de ces cancers est indéniable. Avant 2021, les cancers infantiles comme le glioblastome et le cancer du côlon avancé étaient des anomalies statistiques. Aujourd’hui, les services d’oncologie pédiatrique se remplissent de cas qui progressent à une vitesse effrayante – ce que les médecins appellent désormais des « turbo-cancers ». Pourtant, au lieu d’enquêter, les agences de santé publique et les géants pharmaceutiques ont redoublé de censure , qualifiant les experts dissidents de « théoriciens du complot » tout en actualisant discrètement les programmes d’indemnisation des préjudices liés aux vaccins pour y inclure les demandes d’indemnisation pour cancer. Le terme « turbo-cancer » n’est même pas un terme médical reconnu, et pourtant les médecins continuent de signaler des cas de cancer terriblement agressifs, chez des adultes et des jeunes enfants sans antécédents médicaux.

Les parallèles avec les scandales médicaux passés sont effrayants. Tout comme l’industrie du tabac a occulté pendant des décennies les preuves reliant le tabagisme au cancer du poumon, les promoteurs du vaccin contre la COVID – de la FDA à Pfizer – manipulent le public pendant que des enfants souffrent. « Nous savons que [le cancer] est causé par [les vaccins à ARNm] », a déclaré Dalgleish sans équivoque.

L’histoire se répète lorsque le profit prime sur l’éthique. Les mêmes institutions qui ont menti sur les opioïdes, l’amiante et l’Agent Orange minimisent désormais les effets secondaires des vaccins, les qualifiant d’anecdotiques. Mais avec des médecins d’élite comme Soon-Shiong et Dalgleish qui risquent leur carrière pour dénoncer les faits, combien de temps cette façade peut-elle tenir ? Alors que les parents en deuil exigent des réponses, une question se pose : si les vaccins sont sûrs, pourquoi les architectes de cette expérience refusent-ils de débattre ouvertement avec leurs détracteurs ?

Les sources incluent :

Revolver.news

X.com

Slay.news

Avatar de Inconnu

About pgibertie

Agrégé d'histoire, Professeur de Chaire Supérieure en économie et en géopolitique, intervenant àBordeaux III et comme formateur à l'agrégation d'économie à Rennes Aujourd'hui retraité
Cet article a été publié dans éducation prépa école de commerce. Ajoutez ce permalien à vos favoris.

13 Responses to Pour la première fois dans l’histoire médicale moderne, des enfants âgés d’à peine huit ans reçoivent un diagnostic de cancer du côlon agressif

  1. Avatar de Menard Menard dit :

    comment protéger les enfants quand leurs propres parents mettent une priorité sur leur propre confort, ne pas se prendre la tête, refuser d’entendre que depuis le coco vide, tous les va k saint sont dangereux ?

    Aimé par 2 personnes

    • Avatar de lepiaf18 lepiaf18 dit :

      C’est aux USA, … et si là-bas ils commençaient à bouffer moins de saloperies ?
      La nourriture est le 1er médicament, dit-on !

      Pour le reste ça va avec la déliquescence de la société. Il y a 50 ou 60 ans dans une famille, en général un seul parent travaillait, voire ensuite des enfants ou des aïeuls, mais en général l’autre parent restait à la maison (notez que je ne choisis pas la répartition entre les 2 parents, je suis « moderne » !) et 1 seul salaire suffisait à faire vivre la famille.

      De nos jours c’est une véritable explosion de couples qui travaillent à 2, mais qui n’y arrivent pas mieux, gaspillant le fruit de leurs efforts en dépenses nécessaires mais coûteuses (2è véhicule, garderies….) et pire encore ces couples finissent en grande majorité par faire des familles monoparentales; tous ces gens n’ayant plus les moyens, plus le temps, voire plus l’envie même de se faire à bouffer (je n’ose plus dire se nourrir !).
      Et hop, une pizza Domino’s (ou autre, je ne suis pas sectaire !) ou un McDo (ou autre encore, au choix c’est la même daube !) devant la TV débitant des débilités « arc en ciel » et puis, au dodo.

      Y’en a qui chantaient à l’époque de ma jeunesse (il y a plus de 50 ans) sur le thème « Métro, Boulot, Dodo !
      Désormais ils ont en plus « l’obésité »… Est-ce bien cela le « modernisme et le progrès ? Ne nous aurait-on pas leurrés ?
      Enfin eux, pas nous, parce que perso depuis 20 ou 30 ans le progrès je le vois marcher à reculons !

      Aimé par 1 personne

  2. Avatar de Christian Christian dit :

    Pourquoi ils ne veulent pas débattre?

    Parce qu’ils devraient faire leur propre procès, seraient obligé de reconnaître qu’ils ont tué en toute connaissance de cause et qu’ils sont des assassins.

    Aimé par 1 personne

  3. Avatar de Christian Christian dit :

    Pourquoi ils ne veulent pas débattre?

    Parce qu’ils devraient faire leur propre procès, seraient obligé de reconnaître qu’ils ont tué en toute connaissance de cause et qu’ils sont des assassins.

    J’aime

  4. Avatar de Christian Christian dit :

    Pourquoi ils ne veulent pas débattre?

    Parce qu’ils devraient faire leur propre procès, seraient obligé de reconnaître qu’ils ont tué en toute connaissance de cause et qu’ils sont des assassins.

    Aimé par 1 personne

  5. Avatar de elba jovialedbba43735 dit :

    « Pourtant, au lieu d’enquêter, les agences de santé publique et les géants pharmaceutiques ont redoublé de censure « 

    Ils savent, malgré tout ils continuent !! Assassins !

    Aimé par 2 personnes

    • Avatar de lepiaf18 lepiaf18 dit :

      A nous de pratiquer la Résistance et la Résilience.

      En ce qui me concerne ils peuvent bien baver tout ce qu’ils veulent, c’est « cause toujours, tu m’intéresses » ! Et pourtant discuter, j’aime ça, mais là avec ces gens là c’est impossible !

      J’aime

  6. Avatar de Liz Liz dit :

    Pauvres enfants et pauvres parents dans la double peine de voir leurs enfants malades et d’avoir pris la décision de les faire injecter.

    Ici, il n’est question que de Pfizer qui n’est pourtant que le fabricant, partenaire industriel de l’inventeur allemand Biontech, des injection ARNm. Une société abondée par divers fonds d’investissements. Il faudrait pouvoir remonter le fil jusqu’au réel centre des opérations de recherches. Peut-être Fort Detrick ? Deep state is deep state.

    Au fur et à mesure de mes investigations, tant dans la stratégie qui a accompagné le covid 19 que la suite dite vaccinale, tout remonte aux US. Y compris la simulation qui été organisée par l’université John Hopkins aux New York, en collaboration avec le Forum économique mondial et la Fondation Bill Gates.

    Pour Biontech voir sa fiche Wikipedia

    Au sujet de Pfizer écoutez, si vous le souhaitez, cette courte vidéo au cours de laquelle Albert Bourla est interrogé : https://www.youtube.com/watch?v=t9_YRw7jBF4

    Aimé par 2 personnes

    • Avatar de lepiaf18 lepiaf18 dit :

      « Pauvres enfants et pauvres parents dans la double peine de voir leurs enfants malades et d’avoir pris la décision de les faire injecter. »

      Et pourquoi « pauvres parents » ? Il n’y avait AUCUN risque, particulièrement pour les enfants. Conclusion, ces parents sont des idiots !
      Et 5 ans après, c’est fini, je ne les plains plus, personnellement, qu’ils assument !
      J’irais plus loin, je leur ferai payer TOUS les frais dus à ces maladies qu’ils ont peut-être (voire sans doute) provoqué, d’une façon ou d’une autre (injections, vaccination ou malbouffe) du moins par leur passivité.

      Le temps de la compassion est terminé. Rappelez-vous de ces tV toubibs qui annonçaient des « refus d’accès aux soins à l’hôpital ou de nous faire payer, si nous n’étions pas injectés avec ces saloperies.

      Juste retour du boomerang, vous ne trouvez pas ? D’autant plus quand on sait qu’il n’y aura chez nous jamais de procès !

      Aimé par 1 personne

      • Avatar de Liz Liz dit :

        Bonjour cher Piaf heureuse de vous « revoir »,

        J’ai parfois comme vous des coups de rage contre ceux qui voulaient à toute force nous faire injecter, avec invectives et menaces à la clef. Journalistes, médecins de plateau avariés et conflits d’intérêts. Nous sommes d’accord.

        Je faisais référence à de pauvres gens crédules, persuadés que l’état est une sorte de père. Dans ses pauvres gens, figurèrent des médecins. J’ai un exemple à ce sujet :

        Le médecin charismatique du village, vif et intelligent, plus de 70 ans, facultés cognitives apparemment intactes. Il fut l’un des premiers à se faire injecter. Il était (j’ai quitté la région, j’ignore ce qu’il est devenu), présent jour et nuit, repoussait toujours l’âge de la retraite, conscient du désert médical qui s’annonçait. Cet homme donnait 100 € pour chaque bébé né d’une famille nécessiteuse dont il avait suivi la maman. Un brave homme.

        Lorsque j’ai expliqué à une mère qui était sa patiente que c’était un produit expérimental et que pour ses adolescents et le reste de la population il valait mieux éviter ce produit. Elle m’a retorqué que c’était le super-docteur-dévoué qui le lui avait conseillé. Or je ne suis pas médecin. Cette pauvre femme biberonné à la télé a obéi à la peur et à l’autorité du soignant. Donc oui je suis pleine de compassion pour elle et ses enfants. Certaines personnes ne sont pas équipées pour réagir à de telles situations, y compris le médecin.

        Je ne m’explique pas bien ce processus de suivisme. J’ai rencontré des personnes qui ont cessé l’école à l’âge de 16 ans, conscientes du possible danger de l’injection. Elles ont refusé tout net. Ce n’est donc pas le niveau d’étude qui détermine la prise de décision. Conformisme bétaillé ?

        J’aime

      • Avatar de lepiaf18 lepiaf18 dit :

        Bonsoir Liz;

        Ben je crois que je ne suis jamais parti ! 🙂

        Sinon « Certaines personnes ne sont pas équipées pour réagir à de telles situations, y compris le médecin.« 

        Alors là, vous êtes encore plus dure que moi !

        Passe encore pour le commun des mortels, dans ceux de ma génération (rappel j’ai 70 ans !) peu au final avaient la possibilité de faire des « étude », mais pour les toubibs, non je ne peux pas être d’accord !
        S’ils sont dans cet état d’esprit c’est qu’ils n’ont pas compris qu’ils avaient été biberonnés à la sauce Big Pharma ou bien qu’ils y ont trouvé leur compte. Donc aucune excuses.

        Pire encore si les peu au courant du problème avaient été se documenter (ils en avaient de fait les moyens intellectuels et matériels) la supercherie n’aurai pas pu se mettre en place.
        Si nous simples scientifiques inconnus avons pu démêler le faux du vrai, eux le pouvaient. Ils ont donc des circonstances aggravantes.

        En terme juridique ça s’appelle un abus de faiblesse !

        Sinon, si vous voulez avoir si ce toubib n’est pas « parti » il suffit si vous connaissez ses nom et prénom d’aller voir sur le site « deces-en-france.fr »

        J’aime

  7. Avatar de Chris Chris dit :

    L’étude de la parasitologie et des plantes explique bien des choses

    Nombre de nos maladies sont liées à ces micro organismes pathogènes complètement négligés par la médecine moderne

    Plus d’informatikns SOURCÉES 😉 sur la chaîne

    J’aime

    • Avatar de lepiaf18 lepiaf18 dit :

      Dès le début, pathogène est le terme que j’ai employé, même si celui-là en plus n’avait plus grand chose de naturel.

      Le mot virus fait peur mais en sciences du « vivant » il ne correspond en fait à rien de précis.
      Notez même que concernant Covid, ils ont réduit la pathogénicité à une simple « protéine »

      J’aime

Laisser un commentaire