
Une étude choc publiée dans le Journal of Clinical Investigation confirme que les respirateurs ont tué plus de patients atteints de COVID-19 que le virus lui-même, déclenchant une pneumonie bactérienne mortelle dans les services de soins intensifs et donnant raison aux théoriciens du complot qui tirent la sonnette d’alarme depuis des années.
L’étude en question : https://jci.org/articles/view/170682
1. Au début de la pandémie, un médecin a remarqué ce phénomène et a comparé les effets de la COVID-19 sur les poumons à ceux de l’hypoxie induite par l’altitude. Sa théorie était que les patients devaient être mis sous oxygène et que les respirateurs artificiels étaient exactement le mauvais traitement.
2. Il a été suggéré que les hôpitaux mettaient les patients sous respirateur non pas dans l’espoir que cela soit efficace, mais parce qu’ils connaissaient le danger pour le patient, mais parce qu’ils craignaient pour la sécurité du personnel. Les respirateurs permettraient de contenir la charge virale expulsée par le patient.
L’étude, menée par une équipe de l’université Northwestern, a analysé les dossiers de 585 patients en soins intensifs du Northwestern Memorial Hospital, dont 190 atteints de COVID-19, tous atteints d’une pneumonie grave ou d’une insuffisance respiratoire. Grâce à un apprentissage automatique de pointe, les chercheurs ont découvert un modèle qui brise la version officielle.
Le Dr Benjamin Singer, pneumologue à Northwestern et chercheur principal,
n’a pas mâché ses mots :
« Nos données suggèrent que la mortalité liée au virus lui-même est relativement faible, mais d’autres événements qui se produisent pendant le séjour aux soins intensifs, comme la pneumonie bactérienne secondaire, compensent cela. » Traduction ? La COVID a permis aux patients de franchir les portes de l’hôpital, mais les respirateurs ont porté le coup fatal. Les patients qui ont vaincu la VAP ont survécu ; ceux qui n’ont pas survécu sont morts.
L’étude moléculaire approfondie promet d’apporter davantage de réponses sur les raisons pour lesquelles certains patients ont vaincu la VAP et d’autres non. Mais pour l’instant, une chose est sûre : les respirateurs artificiels n’étaient pas les héros de cette histoire, mais les méchants. Et les soi-disant cinglés qui l’ont vu venir méritent des excuses et un mégaphone.
la phobie américaine des microbes date du siècle dernier, il lui aura fallu du temps pour nous envahir ! Le coco a déclenché une épidémie paranoïaque totale chez les administrateurs du réseau sanitaire. Les médecins doivent défendre leur métier et ne plus se soumettre aux directives comptables que le système leur impose !
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Merci pour ce commentaire. Et pour en savoir plus sur la façon dont les protocoles létaux Covid ont tué, RV demain 20 h chez le Dr Erik Loridan / TVDADP
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Ping: Les respirateur artificiels ont plus tué que la covid, l’interdiction des traitements précoces et le Rivotril ont fait le reste – Qui m'aime me suive…
Tout fut fait à l’envers et sous l’égide de l’OMS le royaume des faux médecins et des charlatans bureaucrates de l’ONU !
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Il y aurait fort à dire quant à l’utilisation des respirateurs artificiels en situation « normale ». Mais avec la COVID, cela est une autre histoire :
https://www.ledevoir.com/societe/sante/589188/nouvelles-directives-pour-les-respirateurs-artificiels?
du 6 novembre 20220
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C’est vrai mais ce n’est pas nouveau. On le sait depuis le début. Et si un anesthésiste vous dit que c’est faux alors fuyez car il est soit malhonnête soit incompétent.
D’une manière générale, intuber des personnes âgées en cas d’infection respiratoire est très risqué. On préfèrera les méthodes de ventilation moins invasives en priorité (masque à haute pression d’oxygène). Car les risques de surinfections sont bien trop grands et une intubation ne permet pas les échanges gazeux a des alvéoles en mauvais état.
Dans le cas du Covid, on a su rapidement grâce aux analyses sanguines des personnes qui développaient des formes graves qu’il y a avait un état pro-thrombotique puis on a compris que l’infection affectait les capillaires pulmonaires plutôt que les alvéoles. Donc intuber ne servait à rien: il fallait donc améliorer la saturation en augmentant le taux d’oxygène sans intuber (masque).
Par contre, l’administration d’un anticoagulant est devenu utile.
Ainsi le protocole qui s’est imposé en cas de formes grave, c’est anticoagulant, corticostéroides et masque à oxygène à haute pression.
Les pays qui ont adopté ce protocole ont vu la mortalité Covid chuter.
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Comme vous dits, ça n’est pas nouveau. Les urgentistes s’en étaient d’ailleurs ouvert assez tôt !
Décathlon avait même proposé ses masques (modifiés par imprimante 3D) pour remplacer.
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Tout a été fait à l’envers à l’occasion de cette nouvelle infection. Les politiques ont pris la place des médecins, croyant à des fariboles, ils se sont affolés et ont méticuleusement colporté la désinformation voulue par les grandes structures internationales, OMS, Big Pharma, WEF etc…
Résultat: affolement général, oubli des règles démocratiques élémentaires, oubli des soins les plus élémentaires et en plus leur interdiction, une vraie chienlit !
Les grands responsables : les médecins et les professions médicales associées qui n’ont pas su tout simplement faire leur boulot et se faire respecter et prendre des positions courageuses. Courages fuyons…
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De mon côté , c’est cette interdiction qui m’a scotchée : comment ça, les médecins n’avaient pas le droit de soigner comme ils pensaient que ce serait bien ? Et puis le confinement : « n’allez pas chez votre médecin, prenez du Doliprane »… Pourquoi pas de l’Efferalgan ou autre marque de paracétamol ?
De ce fait, je me suis méfiée, et ai eu raison, je pense.
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Crime prémédité contre l’humanité . Et l’Ordre a suspendu le Docteur Fouché, médecin réanimateur qui, constatant les dégâts de la réanimation sur les sujets âgés, l’avait remplacée par une oxygénation à haut débit, ce qui en a sauvé beaucoup, une pratique également mise en oeuvre avec succès à l’IHU…
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