Le parti de la guerre a fini par l’emporter sur fond de proportionnelle. Ce système injuste a éliminé le nouveau parti intelligent de gauche BSW avec 4,97% des suffrages (5% nécessaires ). Le système conduit au maintien au pouvoir des vaincus , SPD et peut être verts avec la CDU qui n’ a pas retrouvé la moité des suffrages de l’ère Merkell
Le RN en France se trompe lourdement en réclamant la proportionnelle, le système bloque l’alternance
Pire , Merz veut la guerre et refuse le contrôle de l’immigration


Les mots prononcés à Berlin par Friedrich Merz ne laissent guère de place au doute. « Je veux le redire clairement : aucun de nous ne veut fermer les frontières, personne », a lancé le probable futur chancelier allemand en conférence de presse, ce lundi 24 février, après la victoire de son parti, l’Union chrétienne-démocrate (CDU), aux élections législatives.
Pour rappel, le parti conservateur de l’Union chrétienne-démocrate (CDU), mené par Friedrich Merz, est arrivé en tête avec 28,5 % des voix lors du scrutin. Il a été suivi de près par l’AFD, qui réalise un score historique, avec 20,8 % des suffrages. La gauche elle, est en pleine débandade. Le parti Social-démocrate (SPD) a obtenu 16,7 % des voix, tandis que les Verts ont recueilli à peine 11,6 % des suffrages.
Alexander Wallasch: «L’Allemagne a choisi la guerre» Friedrich Merz, le nouveau chancelier allemand, qui devrait prendre son poste, après la décision du Bundestag et du président allemand, au lieu de résoudre de vrais problèmes, combattra l’AfD et Moscou.
Merz a affiché depuis plusieurs années sa volonté de soutenir les forces politiques, économiques et militaires contre la Russie. Il a annoncé qu’il souhaitait «livrer le missile de croisière allemand Taurus à l’Ukraine – contrairement à Scholz», révèle le quotidien Kölner Stadt-Anzeiger.
«Le prochain chancelier allemand n’est pas seulement un ennemi déclaré de la Russie, il a également été infecté par le virus de l’ukrainisme du président ukrainien Volodymyr Zelensky et se retourne même désormais contre Trump », continue le Kölner Stadt-Anzeiger. «Merz était également russophobe par pragmatisme et en raison de son précédent travail chez le gestionnaire d’actifs américain BlackRock», poursuit le rédacteur allemand. «Friedrich Merz s’exprime au dîner BlackRock», a annoncé Der Spiegel en janvier dernier. L’hebdomadaire de Hambourg, qui fut célèbre du temps de son fondateur, Rudolf Augstein, a fait savoir que le futur chancelier allemand, a participé au Forum économique mondial de Davos, mais, surtout qu’il a participé « à un dîner organisé par Larry Fink, responsable du géant de l’investissement Blackrock ».
« De 2016 à 2020, Merz a été président du conseil de surveillance de Blackrock Asset Management Germany, une filiale de la branche britannique du géant américain de la gestion d’actifs », rapporte Witschaftswoche. Le Kölner Stadt-Anzeiger, donne l’avis de la Russie avec Merz: «Moscou prédit un déclin pour l’Allemagne sous Merz»
. « Merz a une implication considérable dans la finance mondiale dans un grand nombre de pays, y compris l’Ukraine », a déclaré le sénateur russe Sergueï Perminov, commentant les résultats des élections, toujours d’après le quotidien de Cologne. En novembre 2024, Observateur Continental, titrant dans un article Le soutien à l’Ukraine est la plus grande arnaque visant à diviser le pays entre entreprises, a averti que «BlackRock a rejoint la guerre contre la Russie».µ
Observareur Continental mettait en garde sur le point suivant: «Larry Fink indique clairement que BlackRock utilisera sa puissance financière dans la guerre économique contre la Russie»: «En consultation avec nos actionnaires, [la société] BlackRock s’est également jointe à l’effort mondial visant à isoler la Russie des marchés financiers». Le journaliste politique allemand, Alexander Wallasch, vient de titrer un article sur le résultat des électio
ns allemandes: L’Allemagne a choisi la guerre. C’est un avis qui est largement partagé en Allemagne. La radio allemande Kontrafunk, qui fait figure d’OVNI dans le paysage médiatique, étant pro-AfD, a, aussi, tristement conclu qu’avec Friedrich Merz, la situation du pays avec Friedrich Merz va continuer de se détériorer alors que l’Allemagne se trouve en récession depuis deux ans.
La proportionnelle intégrale ne bloque pas systématiquement l’alternance. La Suède et la Finlande, qui pratiquent comme l’Allemagne la proportionnelle «intégrale» (plus ou moins) viennent de passer d’une coalition incluant tous les partis de gauche, à une coalition incluant tous les partis de droite.
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Sauf s’il y a un « barrage »
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Absolument! Mais une coalition «au centre» qui fait «barrage» aux partis à sa droite ou à sa gauche, comme en Allemagne actuellement, ne peut durer que si elle satisfait 50% des électeurs. Autrement elle perd des électeurs, n’a plus à elle seule la majorité, et une coalition se forme autour des partis jusqu’alors dans l’opposition. C’est ce qui vient de se passer aux Pays-Bas et en Belgique. Au final, avec la proportionnelle l’alternance finit toujours par arriver.
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Je ne suis pas certain que les Allemands soient aussi endormis que les Français.
Olaf Scholz l’a sans doute appris à ses frais !
Et si on regarde la carte de l’article… je souhaite bien du plaisir aux écolos et socialos Outre-Rhin, et par voie de conséquence à cette UE qui se veut fédéraliste, là où justement ont voit que ça ne marche pas si bien que ça.
Il aurait été intéressant de superposer une carte d’avant la réunification,par exemple !
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La proportionnelle permet tout à fait l’alternance: la Suède et la Finlande viennent de passer d’une coalition incluant tous les partis de gauche à une coalition incluant tous ceux de droite. Idem pour la Nouvelle-Zélande qui en plus utilise le système allemand.
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Au point où ils en sont et s’en vraiment connaître le détail de la situation, Si j’étais allemand de l’est je demanderais l’annulation de la réunification avec entre autre le non respect des accords avec la Russie et l’absence de démocratie dans l’Union européenne qui semble encore pire que l’union soviétique
je pense qu’une telle demande même si elle n’aboutit pas ferait peut-être comprendre certaines choses
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Un des proches de Larry Fink (BlackRock) avait déclaré qu’il fallait que la guerre en Ukraine dure, c’était bon pour les affaires. L’Allemagne a maintenant un chancelier de chez BRock, en France un Président de chez Rothschild.
Ils veulent la guerre, en toute logique.
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Ping: L’Allemagne a choisi la guerre et la proportionnelle rend toute forme d’alternance impossible – Qui m'aime me suive…
Peuvent bien aboyer les bobos gauchos, socialos, écolos Allemands, la carte est bleue ! Ils ont même salement disparus si on regarde les pourcentage, tous les partis en dessous de 10% à part les verts à 11,6%. Le SPD est à 16,4%. Même avec une alliance SPD+Verts à 100% ils arrivent pas à la hauteur de la CDU
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