Dans son livre incontournable, The Real Anthony Fauci , Robert F. Kennedy Jr. décrit comment le journaliste Liam Scheff a relaté les « expériences secrètes » de Fauci sur des centaines d’enfants séropositifs placés en famille d’accueil à l’Incarnation Children’s Center (ICC) de New York et dans de nombreux établissements partenaires à New York et dans six autres États entre 1988 et 2002 » (p. 245). Il décrit en détail comment « le NIAID (National Institute of Allergy and Infectious Diseases) de Fauci et ses partenaires de Big Pharma ont transformé des enfants noirs et hispaniques placés en famille d’accueil en rats de laboratoire, les soumettant à la torture et aux abus dans un sombre défilé d’études de médicaments et de vaccins non supervisées » (p. 246).
https://www.independent.org/issues/article.asp?id=13919
Le véritable Anthony Fauci était un égocentrique avide, déterminé à se faire passer pour le sauveur du monde pendant la crise du sida, tout en générant des milliards de profits pour ses « partenaires » de l’industrie pharmaceutique. Ces « partenaires » partageaient ensuite une partie du butin avec Fauci et d’autres de diverses manières, notamment en partageant les droits de brevet, en organisant des « portes tournantes » d’emplois très bien rémunérés pour d’anciens bureaucrates du gouvernement, en payant des « frais d’utilisation » de plusieurs millions de dollars au NIAID, en distribuant des actions, etc.
L’industrie pharmaceutique « a rémunéré l’Incarnation Children’s Center… pour avoir fourni des enfants pour les tests », écrit Kennedy. Les « tests » consistaient à administrer aux enfants des médicaments expérimentaux qui étaient « toxiques – ils sont connus pour provoquer des mutations génétiques, des défaillances d’organes, la mort de la moelle osseuse, des déformations corporelles, des lésions cérébrales et des troubles cutanés mortels » (p. 246). Le mot torture n’est pas trop fort pour décrire ce qui est arrivé à ces enfants. « Si les enfants refusent les médicaments », dit Kennedy, « ils sont maintenus au sol et nourris de force. S’ils continuent de résister, ils sont emmenés à l’hôpital presbytérien de Columbia, où un chirurgien introduit un tube en plastique dans leur paroi abdominale jusqu’à leur estomac. À partir de là, les médicaments sont injectés directement dans leur estomac » (p. 246). Il ne s’agissait pas de science-fiction ou d’un film d’horreur malsain, dit Kennedy, mais de « recherches sur le sida » financées par Fauci.
Beaucoup de ces enfants sont morts à cause de ces « recherches ». La journaliste d’investigation Vera Sharav, qui a passé des années à enquêter sur tout cela, a déclaré à Kennedy que Fauci « avait simplement balayé tous ces bébés morts sous le tapis. Ils étaient des dommages collatéraux dans ses ambitions de carrière ». Elle a déclaré qu’au moins 80 enfants sont morts dans la chambre de torture de Fauci dans le seul foyer d’accueil de Manhattan.
Vous n’en avez probablement jamais entendu parler, mais la BBC a produit en 2004 un documentaire sur « la barbarie sauvage des projets scientifiques du Dr Fauci » intitulé « Guinea Pig Kids ». Un journaliste d’investigation de la BBC a déclaré dans le documentaire : « J’ai trouvé les fosses communes du cimetière de Gate of Heaven à Hawthorne, New York… Je n’en croyais pas mes yeux. C’était une très grande fosse recouverte de gazon synthétique… En dessous, on pouvait voir des dizaines de cercueils en bois ordinaire… il y en avait peut-être une centaine » (p. 247).
77 161 vues 24 févr. 2012ENFANTS COCHONS D’INDE – Un documentaire de la BBC révèle comment la ville de New York a forcé des enfants séropositifs sous sa surveillance à être utilisés comme cobayes humains dans des tests pour des essais expérimentaux de médicaments antirétroviraux. Tous les enfants du programme étaient sous la supervision juridique du département de protection de l’enfance de la ville, l’Administration for Children’s Services. La plupart vivent dans des familles d’accueil ou des foyers indépendants gérés par les autorités locales et presque tous les enfants seraient afro-américains ou latinos. La BBC a identifié le géant pharmaceutique GlaxoSmithKline comme l’une des sociétés qui ont fourni les médicaments expérimentaux pour les tests. Dans le documentaire, les parents ou les tuteurs qui ont refusé de consentir aux essais affirment que les enfants ont été retirés par l’ACS et placés dans des familles d’accueil ou des foyers pour enfants. Puis, agissant malgré leurs objections, l’ACS a autorisé les essais de médicaments antirétroviraux qui mettent fin à la vie. CELA NE S’ADRESSE PAS AUX LÉPIDES, PRÉPAREZ-VOUS À PLEURER POUR CES ENFANTS !! « Éthique du journalisme 101 – Conversations de Liam Scheff avec la journaliste du New York Times Janny Scott » http://www.rethinkingaids.com/challen…
https://www.imdb.com/fr/title/tt1484984/
L’Administration des services à l’enfance de la ville de New York a commandé une enquête de quatre ans sur les « expériences » de Fauci, à la manière du Dr Mengele, et a découvert que 80 des 532 enfants ayant participé aux « essais cliniques » de Fauci sont morts et que 25 sont morts alors qu’ils participaient à un essai de médicament (p. 251). En 2003, le NIAID de Fauci menait 10 906 essais cliniques impliquant des enfants dans 90 pays (p. 257). Aujourd’hui, Fauci, son partenaire milliardaire de longue date dans la fabrication de vaccins, Bill Gates, Big Pharma et le Forum économique mondial font désespérément campagne pour que chaque enfant du monde – même les nourrissons – se fasse injecter leur dernier « vaccin ». Ce sont les mêmes personnes qui ont publiquement fantasmé sur le fait que tous les humains auraient un jour une « identité numérique » implantée dans leur corps pour atteindre leur objectif de « transhumanisme ». Ils disent qu’ils veulent une identité numérique implantée dans tout le monde afin que le gouvernement surveille tous les comportements humains par une sorte de super-institution gouvernementale internationale. (Où est James Bond quand on a besoin de lui ?)
Un autre fait intéressant à propos de Fauci dont parle Kennedy est que Fauci a également financé (avec vos impôts durement gagnés) des expériences où des chiots Beagle avaient la tête enfermée dans des cages où ils pouvaient être mangés à mort par des mouches. Il a également donné 400 000 dollars aux « chercheurs » de l’Université de Pittsburgh pour « greffer le cuir chevelu de fœtus avortés sur des souris et des rats vivants » (p. 253). Ce n’est pas exactement le genre de travail que l’on attendrait d’un bon écolier jésuite catholique comme Anthony Fauci. Fauci est catholique au même titre que Joe Biden, adepte de l’avortement.
La défense de Fauci est ici
LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE 
Espérons que Kennedy puisse assainir le marigot, et que les criminels impliqués dans les scandales les plus sordides touchant au secteur de la santé, soient poursuivis et condamnés, à commencer par Fauci….
On doit faire malheureusement le constat que le monde de la santé est particulièrement concerné par des activités criminelles et que la société civile et les patients doivent exercer une surveillance particulière à ce sujet.
D’où l’absolue nécessité de préserver l’obligation du consentement libre et éclairé du patient qui peut facilement passer au statut de cobaye sans sans rendre compte.
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A lire toutes les horreurs concernant Faucci, on … Punaise, les bras m’en tombent, je ne sais même pas quoi dire.
Ce criminel notoire mériterait de mourir dans les pires souffrances, comme celles qu’il a infligées aux enfants, et aussi aux animaux. Je ne peux pas croire que personne ne savait ce qu’il faisait dans ses labos et que ça n’ait pas été dénoncé.
Malheureusement, il a des complices puissants.
Jean-Luc, malheureusement tout un tas de gens passent au statut de cobayes lorsqu’ils sont atteints de cancer. Ils espèrent être guéris, mais les chimios sont souvent « expérimentales » (et rapportent beaucoup d’argent aux labos) alors qu’elles ne soignent rien et que parfois elles rendent les derniers moments de la vie d’un malade très difficiles à supporter. L’une de mes amies a vécu la dernière année de sa vie entre l’hôpital et la maison, souvent malade, fatiguée… Ce n’était pas une vie, en fait.
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