

Il décrit également les ablations génitales massives pour les patients non binaires, une procédure de plus en plus populaire connue sous le nom de « annulation ».
De manière controversée, il s’adresse à la « poignée d’adolescents dont la puberté est supprimée » qui subissent des chirurgies génitales à l’OHSU – faisant référence aux mineurs qui ont pris des bloqueurs de puberté pour retarder leur poussée de croissance.
vec ces transitions garçon-fille, a-t-il dit, les chirurgiens « n’ont pas assez de tissu » pour construire le néo-vagin et doivent greffer de la peau d’ailleurs.
« Nous sommes en quelque sorte en train d’apprendre et de déterminer ce qui fonctionne », a déclaré le Dr Peters.
Les patients ont souvent des problèmes après la chirurgie, a ajouté le médecin.
Ils peuvent souffrir « de lésions rectales et d’incompétence urinaire », a-t-il déclaré. D’autres luttent pour obtenir une « satisfaction sexuelle » à partir de parties du corps modifiées et ont de moins bonnes chances de « procréer à l’avenir ».
Certains ont un « processus de soins postopératoires très exigeant », a-t-il ajouté.
Presque tous les bénéficiaires d’une chirurgie génitale d’homme à femme voient leur canal néo-vaginal se raccourcir avec le temps, a-t-il déclaré.
«Nous avons vu des patientes revenir même plus de 20 ans après une vaginoplastie et qui ont vécu quelque chose dans leur vie, qu’elles ne se dilatent tout simplement pas et n’ont pas de relations sexuelles pendant un an, et elles perdront beaucoup de beaucoup de profondeur», a déclaré le Dr Peters.
Et en France? feu vert pour les mutilations
La Haute Autorité de santé (HAS) est actuellement en train de finaliser ses recommandations en termes de prise en charge des personnes se déclarant transgenres. Ainsi, « à rebours des mesures de prudence adoptées par d’autres pays européens » (cf. Royaume-Uni : l’interdiction des bloqueurs de puberté pour les mineurs devient permanente), la HAS « s’apprête à proposer une forme de service public de la transition de genre ».
Vers une prise en charge intégralement remboursée ?
Bien que « la transidentité [ne soit] plus considérée comme une pathologie », « les recommandations de la HAS exigent de mettre à leur disposition une gamme très sophistiquée de “soins” et d’accompagnements par des soignants, tout en préconisant de rembourser intégralement cette prise en charge ».
« L’identité de genre ne doit pas faire l’objet d’une évaluation psychiatrique spécifique », enjoint le groupe d’experts de la HAS (cf. Des militants trans dans un groupe de travail de la HAS ?). Ainsi, le personnel soignant devrait simplement « enregistrer de façon déclarative le ressenti et les souhaits de la personne » et « prendre en compte ses différents objectifs et attentes » pour « élaborer un parcours de transition personnalisé ».
Parmi les préconisations plus spécifiques, la Haute autorité de santé voudrait que la première prescription d’hormones puisse être faite par tous les médecins, « notamment généralistes », « au-delà des endocrinologues », afin de « faciliter cette prescription médicale ». Les chirurgiens devront aussi être formés en plus grand nombre pour « proposer une offre de soins suffisante »[1]. L’objectif étant de réduire les délais.
Les mineurs considérés comme des adultes ?
Selon la HAS, les demandes de mineurs âgés de 16 à 18 ans et ayant terminé leur puberté, devraient être examinées « au même titre que les demandes des adultes ». Des réserves sont seulement formulées pour la chirurgie génitale, pas pour les autres interventions. Pour ce type particulier de procédure, une réunion de concertation pluridisciplinaire devra être organisée pour la prise de décision. Réunion à laquelle « devront participer également… des représentants d’associations trans ».
En cas de refus parental persistant, l’instance recommande « un signalement pouvant aller jusqu’à une délégation partielle d’autorité parentale », et même « une déchéance de l’autorité parentale ou une émancipation » (cf. Changement de genre en Suisse : des parents menacés d’une poursuite au pénal).
Des recommandations issues d’associations militantes
L’instance avait été saisie en 2021 par le ministère des Solidarités et de la Santé pour préconiser les « bonnes pratiques » en matière de « transition de genre » (cf. Transgenres : des recommandations de la HAS en cours d’élaboration). Malgré une action en justice, elle a toujours refusé de dévoiler la composition du groupe d’experts en charge de travailler sur ces préconisations (cf. Genre : la justice exige la transparence de la HAS). Pourtant, « la quasi-totalité des recommandations contenues dans le document de la HAS sont siglées « AE » », c’est-à-dire « accord d’experts ». « Ce qui permet de statuer même en l’absence d’études fiables permettant d’appuyer les préconisations. »
Le comité de relecture « peut encore formuler d’éventuelles remarques ». La version définitive des recommandations de la HAS devrait être publiée « dans les prochaines semaines ».
[1] « Ces chirurgies incluent notamment les chirurgies de “féminisation ou masculinisation faciale : rhinoplastie, contouring du visage (menton, mâchoire, cartilage thyroïdien, front et implantation de cheveux, remodelage des parties molles), greffe de cheveux”, ainsi que les chirurgies thoraciques (mammectomie ou au contraire pose de prothèses mammaires), bien entendu les chirurgies génitales (notamment la phalloplastie ou la vaginoplastie), ou encore les chirurgies de la voix. En complément, la HAS recommande aussi de donner accès à une “dépilation” aux trans qui en font la demande. »
Source : Le Figaro, La Haute Autorité de santé veut un accès gratuit à la transition de genre pour tous, à partir de 16 ans, Paul Sugy (12/12/2024)
Chirurgie de changement de sexe

La chirurgie d’affirmation de genre fait référence à des procédures qui aident les personnes à faire la transition vers le genre qu’elles s’identifient. Les options d’affirmation du genre peuvent inclure la chirurgie du visage, la chirurgie du haut ou la chirurgie du bas. Les personnes qui optent pour une chirurgie d’affirmation de genre le font parce qu’elles souffrent de dysphorie de genre. La dysphorie de genre est la détresse qui survient lorsque le sexe attribué à la naissance ne correspond pas à votre identité de genre. Cette procédure médicale complexe et révolutionnaire de chirurgie de changement de genre vise à aligner les caractéristiques physiques d’un individu sur son identité de genre affirmée, offrant un soulagement majeur et améliorant le bien-être mental.Prenez rendez-vous
À propos de la chirurgie de changement de sexe
Des enquêtes rapportent qu’environ une personne transgenre et non binaire sur quatre choisit la chirurgie d’affirmation de genre. La chirurgie de reconstruction de genre, parfois appelée chirurgie de changement de sexe, est pratiquée pour faire passer les personnes souffrant de dysphorie de genre vers le sexe souhaité. Les personnes souffrant de dysphorie de genre ont souvent l’impression d’être nées dans le mauvais sexe. Un homme biologique peut s’identifier davantage comme une femme et vice versa. En outre, la poursuite d’une psychothérapie est recommandée pour la plupart des patients à mesure qu’ils s’adaptent à leur nouveau corps et à leur nouveau mode de vie.
Procédure de chirurgie de changement de sexe
Vous pouvez choisir une chirurgie du visage, une chirurgie du haut, une chirurgie du bas ou une combinaison de ces opérations.
La chirurgie faciale peut modifier votre :
- Pommettes : De nombreuses femmes transgenres subissent des injections pour rehausser leurs pommettes.
- Menton : Vous pouvez choisir d’adoucir ou de définir de manière plus visible les angles de votre menton.
- Mâchoire : Un chirurgien peut raser votre mâchoire ou utiliser des produits de comblement pour améliorer votre mâchoire.
- Nez : Vous pouvez subir une rhinoplastie, une intervention chirurgicale pour remodeler le nez.
Désormais, différentes procédures changent ou modifient les questions liées au genre. Les procédures sont :
- · Vaginoplastie (MTF) : à l’aide de tissus scrotal et pénien, un néovagin est créé au cours de ce traitement. Le néovagin peut être pénétré sexuellement et est généralement tapissé de muqueuse. Pour créer un clitoris fonctionnel, cette opération peut également impliquer une clitoroplastie.
- · Phalloplastie (FTM) : Une néopénise est créée après une procédure compliquée appelée phalloplastie utilisant des greffes de tissus, souvent à partir de la cuisse ou de l’avant-bras. Pour permettre la miction à travers le pénis, le néophallus peut avoir une extension urétrale. Il est également possible d’ajouter des implants testiculaires pour un aspect plus réaliste.
- · Chirurgie mammaire (MTF) : L’augmentation mammaire est généralement réalisée à l’aide d’implants en silicone ou en solution saline. La taille et l’emplacement de ces implants sont choisis en fonction de la taille et de la forme des seins souhaitées par l’individu.
- · Chirurgie thoracique (FTM) : Une mastectomie, parfois appelée « chirurgie supérieure », consiste à remodeler la poitrine pour la rendre plus masculine et à retirer le tissu mammaire. Pour un look naturel, des tatouages ou des greffes de seins peuvent être réalisés.
- · Chirurgie du visage : des procédures telles que la rhinoplastie, le remodelage de la mâchoire et la réduction des sourcils sont effectuées pour modifier les traits du visage afin de les aligner sur l’identité de genre de l’individu.
- · Remodelage du corps : En éliminant ou en redistribuant la graisse à certains endroits, les techniques de liposuccion et de remodelage du corps peuvent aider à créer une silhouette plus féminine ou masculine.
- Rasage trachéal (MTF) : La réduction de la proéminence de la pomme d’Adam est souvent réalisée comme une intervention chirurgicale mineure.

La Haute Autorité de santé (HAS) a annoncé se pourvoir en cassation contre une décision qui l’oblige à communiquer les noms des experts qu’elle a sollicités pour un groupe de travail sur les personnes transgenres. En février, le tribunal administratif de Montreuil (Seine-Saint-Denis) avait donné raison à l’association Juristes pour l’enfance, qui réclamait que la HAS révèle l’identité des membres de cette commission.
Mais jusqu’à quel point allons-nous aller dans l’absurde et dans la chirurgie « handicapante » concernant le sexe + tous ces poisons pour modifier les hormones ?
Jamais je n’aurais cru que nous en serions arrivés là ! Lorsque j’en ai l’occasion, j’en parle aux ados pour les prévenir de ne pas faire ça (je parle aussi de la drogue : « ne commencez jamais ça ».) Cela portera ou non ses fruits, mais je pense que c’est de ma responsabilité de les prévenir.
J’aimeAimé par 1 personne
Surtout qu’une fois que la « transformation » a été faite, il n’y a pas de retour en arrière possible, ou alors, ce serait très très compliqué !
J’aimeAimé par 1 personne
Non non pas de retour en arrière possible, sauf à aggraver encore les choses !
Mais du coup, et ça commence un peu à transpirer (comme les mariages homosexuels qui finissent souvent en divorce, mine de rien !), y’en a qui voudraient bien revenir en arrière .
Comment c’est impossible gageons que dans l’entourage d ce personne on y réfléchisse à 2 fois !
J’aimeAimé par 1 personne
Jusqu’où la connerie « in »Humaine va entraîner les générations qui nous suivent?
Après, que chacun fasse le choix d’être autre chose que ce qui lui a été donné à la naissance, peut se comprendre, mais qu’on le fasse payer à la société est révoltant!
J’aimeJ’aime
Cher Monsieur,
Dâabord un grand merci pour vos articles que jâaime toujours beaucoup lire et que je partage souvent sur VK!
Et puis voici un petit truc un peu plus sympathique : Magnifique !!!â¤â¤â¤ Lorsqu’une gamine de 4 ans donne une leçon aux adultes…ð
Cette petite fille est plus intelligente que les étudiants gauchistes des campus universitaires…! https://youtu.be/AySXNI-SwJY?si=Pnxij1_wD8PGYdkq
Très bonnes Fêtes à vous-mêmes et aux vôtres
Jeanne
J’aimeJ’aime
Merci beaucoup pour cette petite fille en vidéo, lav1918xx.
Je n’aime pas ces émissions américaines qui nous montrent certains enfants comme ils montreraient des chiens savants. Cependant, il est indéniable que les enfants en bas âge sont des « éponges », on peut tout leur apprendre, ils mémorisent avec une facilité déconcertante pour nous, les adultes. C’est fabuleux !
Avis aux jeunes parents !!!
J’aimeJ’aime
Très bonnes fêtes à vous également, lav1918. 🙂
J’aimeJ’aime
Généré par une IA sans doute, c’est trop parfait, y compris dans la prononciation !
Propagande donc, et ça marche dans les 2 sens même si de ce côté ça soulage !
J’aimeJ’aime
A part ça on fait payer de plus en plus les visites de medecin ou on dérembourse les medicaments : bref on marche sur la tête. Ces jeunes ont bien le temps de faire ce genre d’operation à leur majorité histoire de mûrir la decision et ne pas se tromper car le retour en arrière est très difficile voire impossible……
J’aimeAimé par 1 personne
Pas difficile mais oui, impossible, le retour en arrière. Une prothèse sur une prothèse voilà ce que ça donnerait ! Après côté « hormonal » quid des cancers 30 ou 40 ans plus tard ?
J’aimeJ’aime