La science a parlé : « Clima Meter » l’outil mise au point par IPSL et le CNRS permettant la mesure « rapide » des événements météorologiques extrêmes montre que les tempêtes #Kirk et #Milton sont liés au changement climatique anthropique.
Enfin en y regardant de plus près ils n’y croient pas mais s’ils disent le contraire ils cesseront d’exister….

CITATIONS
Les fortes pluies de l’ouragan Milton sont liées au changement climatique d’origine humaine, mais la confiance est faible
Des phénomènes naturels tels que l’oscillation décennale du Pacifique et l’oscillation multidécennale de l’Atlantique peuvent avoir joué un rôle parallèlement au changement climatique d’origine humaine, principalement dans la trajectoire du cyclone.
Les fortes précipitations et les vents violents de la tempête Kirk sont exacerbés par le changement climatique d’origine humaine et la variabilité naturelle
ClimaMeter a constaté que des dépressions similaires à la tempête Kirk, qui a provoqué des inondations en France, montrent une augmentation des précipitations le long de la côte atlantique (jusqu’à 14 mm/jour, soit jusqu’à 20 % de précipitations en plus) et une diminution des précipitations le long de la côte méditerranéenne (jusqu’à 16 mm/jour, soit jusqu’à 40 % de précipitations en moins) dans le présent par rapport au passé, bien que les côtes méditerranéennes aient été moins touchées par Kirk. Les dépressions similaires à Kirk sont plus profondes (de -2 hPa) et produisent des vents plus forts (jusqu’à 12 km/h, soit une augmentation de 12 % de la force du vent) dans le présent. Nous interprétons la tempête Kirk comme un événement pour lequel la variabilité naturelle du climat a joué un rôle.
Conclusion
Sur la base de ce qui précède, nous concluons que les dépressions similaires à la tempête Kirk montrent une augmentation des précipitations le long de la côte atlantique (jusqu’à 14 mm/jour, soit jusqu’à 20 % de précipitations en plus) et une diminution des précipitations le long de la côte méditerranéenne (jusqu’à 16 mm/jour, soit jusqu’à 40 % de précipitations en moins) dans le présent par rapport au passé, bien que les côtes méditerranéennes aient été moins touchées par Kirk. Les dépressions similaires à Kirk sont plus profondes (de -2 hPa) et produisent des vents plus forts (jusqu’à 12 km/h, ce qui représente une augmentation de 12 % de la force du vent) dans le présent. Nous interprétons la tempête Kirk comme un événement pour lequel la variabilité naturelle du climat a joué un rôle.
En effet, pour des scientifiques, ça laisse rêveur..
on affirme d’emblée une chose, et on développe abondamment des arguments qui suggèrent que la première assertion n’était (peut-être) pas la bonne
bref, du beau travail
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