Big Pharma ne peut pas les laisser gagner

Kennedy a révélé que Donald Trump lui a demandé de REJOINDRE son administration s’il gagne. « L’été dernier, il semblait qu’aucun candidat n’était prêt à négocier une fin rapide de la guerre en Ukraine, à s’attaquer à l’épidémie de maladie chronique, à protéger la liberté d’expression et nos libertés constitutionnelles, à éliminer l’influence des entreprises sur notre gouvernement ou à défier les néoconservateurs et leur programme d’aventurisme militaire sans fin. » « Mais voilà que l’un des deux candidats a fait siennes ces questions, au point de me demander de faire partie de son administration. Je parle bien sûr de Donald Trump. »

« Comme vous le savez, j’ai quitté ce parti en octobre parce qu’il s’était radicalement éloigné des valeurs fondamentales avec lesquelles j’ai grandi. Il était devenu le parti de la guerre, de la censure, de la corruption, des grandes sociétés pharmaceutiques, des grandes technologies, de la grande agriculture et du gros argent. Lorsqu’il a abandonné la démocratie en annulant les primaires pour dissimuler le déclin cognitif du président en exercice, j’ai quitté le parti pour me présenter comme indépendant. »

Il a ensuite fourni la preuve, détaillant comment le Parti démocrate a SUBVERTI la démocratie sous prétexte de la « sauver ». • « Dans les bureaux de vote, le DNC a mené une guerre juridique continue contre le président Trump et contre moi-même. » • « Il a organisé une fausse primaire truquée pour empêcher toute contestation sérieuse du président Biden. » • « Ensuite, lorsqu’un débat bâclé, comme prévu, a précipité le coup d’État de palais contre le président Biden, les mêmes agents de l’ombre du DNC ont nommé son successeur, également sans élection. »

La deuxième plus grande annonce de Kennedy, croyez-le ou non, est qu’il va retirer son nom de 10 États clés. Il prend cette mesure pour éviter d’être un candidat trouble-fête qui aiderait Kamala Harris à se faire élire. Cette décision lui permet également de créer un troisième parti s’il obtient 5 % des voix, offrant ainsi une chance de bouleverser le système bipartite sans menacer directement les chances de victoire de Trump.

Que ferait Kennedy sous une administration Trump ? Il aurait pour mission de METTRE FIN à l’épidémie de maladies chroniques. Plus précisément, il a déclaré qu’il allait réparer les agences de santé corrompues sous une administration Trump. « Ces agences – la FDA, l’USDA et le CDC – sont toutes contrôlées par des sociétés géantes à but lucratif… Avec le soutien du président Trump, je vais changer cela. »

« Si l’on me donne la possibilité de résoudre la crise des maladies chroniques et de réformer notre production alimentaire, je promets que d’ici deux ans, nous verrons le fardeau des maladies chroniques diminuer considérablement. Nous rendrons aux Américains une meilleure santé. D’ici quatre ans, l’Amérique sera un pays en bonne santé. Nous serons plus forts, plus résilients, plus optimistes et plus heureux. « Je ne faillirai pas à cette tâche. En fin de compte, l’avenir, quel qu’il soit, est entre les mains de Dieu, entre les mains des électeurs américains et entre les mains du président Trump. Si le président Trump est élu et honore sa parole, le lourd fardeau des maladies chroniques qui démoralisent et ruinent actuellement le pays disparaîtra. « C’est un cheminement spirituel pour moi. J’ai pris ma décision par une prière profonde, par une logique impitoyable, et je me suis demandé quels choix je devais faire pour maximiser mes chances de sauver les enfants américains et de rétablir la santé nationale. J’ai senti que si je refusais cette opportunité, je ne pourrais pas me regarder dans le miroir, sachant que j’aurais pu sauver la vie d’innombrables enfants et inverser l’épidémie de maladies chroniques de ce pays. « J’ai 70 ans. Il me reste peut-être une décennie pour être efficace. Je ne peux pas imaginer que le président Harris, un président Harris, me permettrait, ou à quiconque, de résoudre ces problèmes affreux. Après huit ans de présidence Harris, toute possibilité de résoudre le problème sera définitivement hors de ma portée. « Le président Trump m’a dit qu’il voulait laisser cet héritage. Je choisis de croire que cette fois, il le fera. Son fils, ses plus grands donateurs, ses amis les plus proches, tous soutiennent cet objectif. Mon adhésion à la campagne Trump sera un sacrifice difficile pour ma femme et mes enfants, mais cela en vaudra la peine s’il y a ne serait-ce qu’une petite chance de sauver ces enfants. » « En fin de compte, la seule chose qui sauvera notre pays et nos enfants, c’est que nous choisissions d’aimer nos enfants plus que de nous haïr les uns les autres. C’est pourquoi j’ai lancé ma campagne : pour unifier l’Amérique. Mon père et mon oncle ont laissé une empreinte durable sur le caractère de notre nation, non pas tant à cause des politiques particulières qu’ils ont promues, mais parce qu’ils ont su inspirer un amour profond pour notre pays et renforcer notre sentiment d’appartenance à une communauté nationale. « Unis par leurs idéaux, ils ont su mettre leur amour dans les intentions et les cœurs des Américains ordinaires et unifier un mouvement populiste national des Américains. Noirs et blancs, Hispaniques, Américains urbains et ruraux, ils ont inspiré affection, amour, grands espoirs et une culture de gentillesse qui continuent de rayonner parmi les Américains à travers leur mémoire. « C’est dans cet esprit que j’ai mené ma campagne et que j’ai l’intention d’incarner dans la campagne du président Trump. Au lieu du vitriol et de la polarisation, je ferai appel aux valeurs qui nous unissent, aux objectifs que nous pourrions atteindre si seulement nous ne nous battions pas les uns contre les autres. Le thème le plus unificateur pour tous les Américains est que nous aimons tous nos enfants. « Si nous nous unissons tous autour de cette question maintenant, nous pourrons enfin leur offrir la protection, la santé et l’avenir qu’ils méritent. Merci beaucoup à tous. »