@sudokuvariante

Ah ben mince alors, c’était pas du au stress ou à des facteurs psychologiques. Les bras m’en tombent, dis donc. C’est bien les vaccins qui causent des troubles menstruels. https://nature.com/articles/s41541-024-00911-2… Des millions de femmes se sont vaccinées sans connaître l’existence de ce risque..

Pendant la pandémie de COVID-19, des millions de femmes dans le monde ont été vaccinées contre le virus SARS-CoV-2. Peu de temps après, les femmes ayant reçu les première et deuxième doses ont signalé des changements dans leur cycle menstruel ^{1 , 4 , 5} . L’influence des vaccins sur les saignements menstruels des femmes a déjà été établie, comme dans les vaccins contre les virus de l’hépatite B et du papillome ^{2 , 9 , 13 , 14} où l’activation du système immunitaire, l’inflammation et la régulation perturbée de la régénération de l’utérus ont été suggérées comme étant la cause. ^{4 , 9 , 15} .

L’étude actuelle montre que les changements dans le cycle menstruel surviennent après la 3ème dose (~6 mois après la deuxième dose) et non seulement après la première et la deuxième vaccination, comme dans la plupart des rapports ^{1 , 10 , 11 , 12} .

Régulé par l’axe HPO ²³ , le cycle menstruel est composé de trois phases : folliculaire, ovulatoire et lutéale. La phase folliculaire – du début des saignements menstruels jusqu’à l’ovulation – régie par la FSH favorisant la croissance folliculaire, et la phase lutéale – de l’ovulation au saignement menstruel suivant – régulée par un afflux de LH favorisant la formation du corps jaune. La durée normale des cycles ovulatoires (entre 21 et 35 jours) dépend généralement de la durée variable de la phase folliculaire ²⁶ . En revanche, la phase lutéale est d’une durée relativement constante (~ 14 jours) ²⁶ .

Comme le vaccin anti-COVID-19 est le premier vaccin à base d’ARNm disponible dans le commerce, et puisqu’il n’existe aucun véhicule disponible pour servir de « contrôle », nous ne pouvons pas écarter la possibilité que les changements que nous avons caractérisés dans les hpGC aient été induits par le vaccin. enveloppe et non spécifiquement par la séquence d’ARNm du COVID-19. Aujourd’hui, alors que de plus en plus de vaccins à base d’ARNm sont en préparation44, ^cette question est extrêmement pertinente.

En résumé, cette étude révèle un mécanisme unique et indépendant pour les changements menstruels liés au vaccin, concomitants à la réponse immunitaire infligée par le vaccin.

Nos travaux suggèrent qu’à l’exposition, le vaccin COVID-19 peut affecter directement les GC, mais pas en réduisant leur viabilité. L’exposition à la concentration du vaccin dans l’organe cible a entraîné des changements dans les transcriptions de deux facteurs clés de régulation ovarienne : une régulation positive importante de l’inhibine B et une régulation négative de l’AMH . Ces changements peuvent fortement affecter les taux sériques de FSH chez les femmes vaccinées ; conduire à une croissance folliculaire perturbée (c’est-à-dire une croissance trop importante des follicules au « mauvais » moment du cycle) et à une activité (c’est-à-dire la production d’œstrogènes) ; et finalement affecter la cyclicité de l’utérus qui se manifeste cliniquement par des changements dans le schéma des saignements menstruels. L’analyse sérique des femmes vaccinées qui ont signalé des changements menstruels a montré un niveau transformé de FSH/Inhibine B, ce qui confirme nos résultats.