
Pendant des milliers d’années, on buvait du thé quand on était malade. https://link.springer.com/article/10.1007/s12560-023-09581-0… En 2020, on nous a dit de prendre du paracétamol et d’attendre les nouvelles molécules pharma à 3000 balles qui font pareil que le thé, mais avec les effets indésirables en plus
.https://link.springer.com/article/10.1038/s41598-023-43563-3?fromPaywallRec=true
Le SRAS-CoV-2 infecte la muqueuse buccale et est excrété dans les liquides salivaires. Traditionnellement, le thé est utilisé par diverses cultures pour traiter les affections respiratoires. L’objectif de cette étude était d’identifier les thés disponibles dans le commerce qui peuvent rapidement inactiver le SRAS-CoV-2 infectieux dans la salive. Initialement, le thé (
n = 24) a été préparé sous forme d’infusions de 40 mg/mL et incubé avec le SARS-CoV-2 remis en suspension dans l’eau, pendant 5 minutes à 37 °C.
Ensuite, cinq thés présentant une réduction > 3 log de l’infectivité du virus ont été étudiés plus en détail avec des perfusions de 40 et 10 mg/mL pendant 60 et 10 s de temps de contact avec le SRAS-CoV-2 remis en suspension dans la salive. Les polyphénols du thé ont été mesurés à l’aide du test Folin-Ciocalteu. Le pouvoir infectieux du SRAS-CoV-2 a été quantifié sur la lignée cellulaire Vero-E6 à l’aide du test TCID50. À une perfusion de 10 mg/mL, le thé noir a montré la réduction la plus élevée (3 log, soit 99,9 %) du SRAS-CoV-2 infectieux en 10 s. Les thés verts, à la menthe, à l’eucalyptus-menthe et à la framboise ont montré une inactivation similaire du SRAS-CoV-2 (1,5 à 2 log, soit une réduction de 96 à 99 %). Aux perfusions de 40 mg/mL, les cinq thés ont présenté une réduction > 3 log de l’infectiosité du virus en 10 s. Les polyphénols du thé, mais pas le pH, étaient significativement corrélés à la réduction du virus. L’analyse du temps d’addition a révélé que les cinq thés présentaient des effets préventifs (0,5 à 1 log, soit une réduction de 68 à 90 %) contre l’infection par le SRAS-CoV-2 des cellules Vero-E6 ainsi que pendant l’infection post-virale (1,2 –1,9 log, soit 94 à 98 %). Cependant, l’effet inhibiteur le plus élevé a été observé lorsque les thés étaient ajoutés au moment de l’infection virale (2 à 3 log, soit 99 à 99,9 %).
Nos résultats donnent un aperçu d’une intervention rapide à domicile (boire du thé ou se gargariser) pour réduire la charge infectieuse du SRAS-CoV-2 dans la cavité buccale, ce qui pourrait également atténuer l’infection de la muqueuse buccale.
Des volontaires sains ont consommé un bonbon contenant du thé vert ou du thé noir, et la salive recueillie immédiatement après la consommation du bonbon a considérablement réduit l’infectiosité du virus BA.1 in vitro. Ces résultats indiquent des substitutions spécifiques d’acides aminés dans les RBD qui influencent de manière cruciale la liaison de l’EGCG/TFDG aux RBD et la sensibilité différente de chaque sous-variante d’Omicron à l’EGCG/TFDG. L’étude pourrait suggérer une base moléculaire pour l’utilité potentielle de ces composés dans la suppression des virus mutants qui pourraient émerger à l’avenir et provoquer la prochaine pandémie.
Oui mais le thé n’est pas une machine à arn-messager ! C’est une toute juste bête machine vivante à adn et non un artefact cela ne rapporte pas assez !
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Finalement avec le recul on se rend compte que le vivi coco à grosse couille a la trouille d’un verre de thé… c’était bien la peine de faire tout un cirque.
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Oui mais assis et bien sage le verre de thé, parce qu’au dessus de 1,50m c’est couic la tête à cause des vols en rase mottes de Mister Casse Têx, euh pardon tête !
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Bientôt on nous annoncera que l’eau pétillante… agit aussi contre le terrible virus. La farce est totale. La liste des molécules qui démolissent la ptite gueule du méchant virus est longue comme le bras…
Mais plus largement, oui, le thé vert a de nombreuses propriétés… même contre le cancer (via ses catéchines, anti inflammatoires et… anti fongiques… eh oui le cancer… ce sont de simples « champis », voir le modèle de Mark Lintern).
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Vous avez prononcé le mot qui tue… les « agents pathogènes »; anti-inflammatoires. Bons les naturels, ça va de soi !
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Pourrait protéger de la prochaine pandémie de PACOTILLE…
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préparez vous, la H5N1 arriveeeeeeeeeeeeeee
tiens on entend plus parler de la variole du singe ni de la tomate ? qui a des nouvelles ? je m’inquiète ;-))
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on peut pas tout faire en même temps, pour l’instant c’est l’infection législative avec le risque de forme grave de la variole du RN..
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Ou le retour de la peste brune (ou noire, je ne sais plus) !
Attention tout de même il y a paraît-il dame Coqueluche qui revient chez les marmots !
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De toute la famille, je suis la seule personne à boire du thé ! Tous ont attrapé le COVID, sauf moi…. Hasard ou protection par le thé ????
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Mon brave Monsieur, comme le dit @Covidemence.com, la liste des produits « protégeant » des infections (dont Sars) est longue comme le bras; et on le sait depuis longtemps; à commencer par l’état général. Le corps lui-même étant le 1er rempart.
Alors savoir si c’et le thé ou autre chose; bon courage !
Perso je ne suis pas un buveur de thé (vert, à la menthe) invétéré et je n’ai moi non plus pas été contaminé ! ais… je n’en déduis … rien ! 🙂
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mais oui, mais oui mais oui PG vous êtes unique on allait écrire un « fou furieux » avec des milliards de guillemets
Vous savez ce que vous faîtes et POURQUOI vous le faîtes
avec toute notre admiration sincère car tenir la distance, c »est épuisant
No linky Quiberon
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Perso, les plantes aromatiques dès les premiers symptômes, thym, romarin, sauge, eucalyptus, sans oublier surtout l’origan, marchent très bien aussi en infusions, gargarismes, inhalations, le tout très chaud sans brûler. Ajouter au besoin, miel et citron pour les gargarismes et infusions.
Très bons résultats en 2, 3 jours en ce qui me concerne.
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Et le soda ?
Les sucres sont connus pour nourrir les levures et il est conseillé pour les boites de pétri.
« Enrichissez vos milieux de culture avec des ingrédients spécifiques tels que l’extrait de pomme de terre, de malt, de croquettes pour chiens, de l’extrait de fumier, du sucre, de la sciure de bois, etc. »
https://lamycosphere.com/fr-fr/products/milieux-de-culture-pour-boite-de-petri
Il serait intéressant de savoir comment se développent les micro-organismes dans la bouche d’un américain moyen… 🙂
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Normalement la salive est… antiseptique. Et en plus dans la bouche il y a un des bactéries tueuses… Bon dans le cas présent reste le nez voie de passage arienne…
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Je comprends mieux pourquoi je n’ai jamais eu de PCR positif alors que j’ai eu un covid en août 2021 – avec près de 3000 anticorps C19 par millilitre de sang mesurés 6 semaines plus tard – vaincu en quelques jours avec de l’ artémisia annua combinée avec un cocktail d’huiles essentielles, MAIS comme je bois du thé tous les matins au petit déjeuner, voici donc une explication très plausible, ce qui ajoute au cocktail que j’avais pris. Merci du tuyau.
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