Ainsi, le cancer chez les personnes de moins de 55 ans est en forte hausse = 29 %
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Mai 2024 ! Une nouvelle étude relie les injections
d’ARNm du COVID-19 à une forme rare de cancer agressif appelé lymphome angioimmunoblastique à cellules T (AITL). https://journals.sagepub.com/doi/10.1177/23247096241231645
Des effets secondaires de la vaccination BNT162b2, notamment une lymphadénopathie importante, ont déjà été rapportés. Nous présentons ici un cas de lymphome angio-immunoblastique (AITL), un lymphome périphérique rare à cellules T avec un gène muté RHOA-G17v se développant chez un patient après le vaccin BNT162B2 avec une explication plausible.
Une femme asiatique de 60 ans a reçu sa première dose du vaccin à ARNm Pfizer BNT162B2 en août 2021. Juste après sa vaccination, elle a développé une lymphadénopathie axillaire droite. Elle a reçu sa deuxième dose de vaccin en septembre 2021.
Par la suite, elle a développé une hypertrophie des ganglions lymphatiques (LN) au cou et à l’aine. Elle a subi une biopsie excisionnelle du col de l’utérus postérieur gauche et de l’aine gauche en avril 2022 en raison d’une lymphadénopathie palpable persistante. Les résultats de la biopsie ont ensuite démontré une hyperplasie folliculaire bénigne.
Pour les symptômes B progressifs, une biopsie axillaire droite du LN a été réalisée, démontrant l’AITL, avec des études moléculaires révélant une mutation des gènes TET-2, IDH-2 et RHOA-G17v. La progression de l’AITL après le vaccin à ARNm BNT162B2 est limitée dans la littérature. Notre cas démontre une corrélation plausible entre le diagnostic d’AITL après vaccination par ARNm en raison de la transformation maligne des cellules TFH chez les patients présentant une mutation prédisposante de RHOA-17v. Compte tenu de la rareté de l’AITL et de l’hétérogénéité des résultats moléculaires, des études supplémentaires sont nécessaires pour établir une telle association.
En preparation ###########
Are Covid19 mRNA Injections the Cause of Turbo Cancers due to Prion Behavior of P53 Tumor Suppressor?
Jc perez (Luc Montagnier foundation)
Abstract.
After an exploration of the state of the art concerning the possible interactions between gene P53, zinc fingers, spike protein of viruses and sarscov2 Covid19 injections, and Prions, we strengthen this thesis by demonstrating, through the theory of the Master Code of Biology , why P53 hot spots are so mutagenic and why these regions have a high potential for Prion-like behavior.
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J’ai ma petite idée sur ce qui s’est passé en2021 : une soupe mortelle distribuée à des millions de personnes. Les coupables ne sont toujours pas en taule, les journaleux n’en parlent pas en france mais ça commence à sortir en allemagne et aux USA où quelques médias commençent à retourner leur veste après avoir dit le contraire pendant tout le covid……
un signe d’espoir ?. Je ne sais pas . jusqu’à présent toutes les solutions légales ont échoué donc on verra.
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pas dinquiétude, ce sont des cancers complotistes….
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Ou peut-être la faute à Poutine, à l’estreeeeme Droite ou aux punaises de lits
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