QU ‘EST CE QUI LE PLUS DANGEREUX, LA COVID OU LE « VACCIN »? lisez ces deux études portant sur 800 000 personnes et vous aurez la réponse

Covid aigu puis covid long ou période post vaccinale , de ces deux situations quelle est la pire?

La première étude porte sur 300 000 personnes et compare les risques pour les vaccinés non infectés et pour les infectés de se retrouver victimes de maladies cardiaques et neurologiques.

Aucun renseignement hélas pour les injectés contaminés. L’étude reconnait que la protéine spike vaccinale se comporte comme la virale, elle serait un peu moins dangereuse pour le syndrome de tachycardie orthostatique posturale (POTS), mais hélas beaucoup plus pour la myocardite et la dysautonomie et syndrome d’activation mastocytaire

Pire une autre étude israelienne montre que myocardite et pericardites interviennent pendnat la phase aigue de la maladie, pas après

Derrière ces noms barbares des maladies graves cardiaques et neurologiques :

plus de risques de diabete, hypertension , manque de fer (ida) associés à la covid

plus de risque de myocardites, dégénérescences neurologiques, nécroses après les injections

Les accidents de santé des vaccinés non infectés par le covid observés pendant 90 jours et comparaison avec les accidents de santé dans le même groupe pendant les 90jours qui ont précédé les vaccinations

Les accidents de santé des individus non vaccinés pendant les 90 jours qui suivent la contamination covid comparés aux accidents observés dans le meme groupe pendant les 90 jours qui précèdent la contamination

Pour les nouveaux diagnostics posés après la vaccination, nous avons constaté que les cinq affections présentant les risques les plus élevés de nouveaux diagnostics après la vaccination étaient la myocardite, la dysautonomie, le POTS, le syndrome d’activation des mastocytes et l’infection des voies urinaires (UTI).

Dysautonomie La dysautonomie, aussi appelée dysfonctionnement autonome cardiovasculaire, est un dysfonctionnement du système nerveux autonome qui contrôle toutes les fonctions automatiques de l’organismes, c’est-à-dire toutes les fonctions qui sont réalisées sans effort conscient : la régulation de la tension artérielle, du rythme cardiaque, de la fréquence respiratoire, de la température corporelle, de l’équilibre hydrique et en électrolytes du sang, mais aussi la digestion, le métabolisme, la production de fluides corporels (salive, sueur et larmes), la miction, la défécation ou encore la réponse sexuelle. Par rapport aux chiffres observés avant la covid les cas sont peu nombreus et l’infection covid ne les fait pas augmenter

 Le syndrome d’activation mastocytaire (ou SAMA en français ; MCAS en anglais) mast cell desorder est caractérisé par des symptômes provoqués par la libération excessive et anormale de nombreux médiateurs chimiques par des cellules immunitaires : les mastocytes.Les symptômes principaux sont cardio-vasculaires, dermatologiques, gastro-intestinaux, neurologiques et respiratoires Les risques sont majorés de 37% pour les vaccinés par rapport à la normale . Pas de risque supplémentaire pour les non vaccinés ayant eu la covid

 syndrome de tachycardie orthostatique posturale (POTS)Étant donné que la vaccination contre la COVID-19 provoque une réponse immunologique à la protéine de pointe du coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2), il existe une plausibilité biologique pour une réponse systémique similaire,au vaccin par rapport à celle observée à partir de exposition virale

Les risques sont majorés de 36% (par rapport à la normale chez les non malades non vaccinés) pour un vacciné non infecté et de plus de 100% pour un infecté

Myocardite les risques sont multipliés par 2,6 pour un vacciné non infecte par rapport à un non vacc non contaminé? Pour un contamine les risques sont majorés de 50% Les risques supplémentaires de myocardites sont trois fois plus élevés après une vaccination qu’après un covid

une autre etude israelienne prouvent qu’une fois guéris les malades non vaccinés infectés par la covid ne connaissent pas de myocardite et de pericardite post infaction . Ces maladies n’interviennent que pendant la phase aigue de la covid pas dans les « covids longs « 

L’infection post-COVID-19 n’était associée ni à la myocardite (aHR 1,08 ; IC à 95 % 0,45 à 2,56) ni à la péricardite (aHR 0,53 ; IC à 95 % 0,25 à 1,13). Nous n’avons pas observé d’augmentation de l’incidence ni de la péricardite ni de la myocardite chez les patients adultes se remettant d’une infection au COVID-19

The Incidence of Myocarditis and Pericarditis in Post COVID-19 Unvaccinated Patients-A Large Population-Based Study

les autres données

Myocardite préandémique 4 cas/million/an. Maintenant avec les produits administrés 25 000 cas/millions sur la doses 2 ou 3. Je cite les données. Inacceptable

https://www.nature.com/articles/s44161-022-00177-8/tables/2

Incidence non négligeable des myocardites après 3ème dose de vaccin à ARN messager anti-COVID 19. L’incidence réelle des lésions myocardiques post-vaccinales sont de 2.8 % vs 0.0035 % de myocardites sur les études rétrospectives.

Conclusion : L’incidence des lésions myocardiques est de 2,8 % soit 800 fois supérieure à l’incidence habituelle des myocardites. Elle survient majoritairement chez les femmes contrairement aux myocardites virales habituelles.

https://www.cardio-online.fr/Actualites/A-la-une/ESC-2022/Incidence-non-negligeable-myocardites-apres-3-dose-vaccin-ARN-messager-anti-COVID-19

Publié le mardi 30 août 2022 – (ESC = European Society of Cardiology)

135 cas d’arrêt cardiaque signalés sur 2 jours à Taïwan en pleine vague de froid

Les experts de la santé recommandent aux groupes à haut risque de prendre des précautions au réveil

https://www.taiwannews.com.tw/en/news/4755035

LE VACCIN PRECEDE LES VAGUES DE DECES IL NE PROTEGE PAS DES FORMES GRAVES

A propos pgibertie

Agrégé d'histoire, Professeur de Chaire Supérieure en économie et en géopolitique, intervenant àBordeaux III et comme formateur à l'agrégation d'économie à Rennes Aujourd'hui retraité
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16 commentaires pour QU ‘EST CE QUI LE PLUS DANGEREUX, LA COVID OU LE « VACCIN »? lisez ces deux études portant sur 800 000 personnes et vous aurez la réponse

  1. Jean-Marie GLANTZLEN dit :

    Bravo de dire logiquement LA covid ,mais, mais celles et ceux qui vraiment la feraient fin 2022 font-ils/elles la même qu’à l’automne 2019 ?

    Alors que tous les organismes déjà sont différents

    Y-a-t-il des symptômes exclusifs, uniques, sans équivalents qui permettent d’affirmer « Vous avez attrapé une version 2022 de la Covid et pas un grippe ou un gros rhume ou …. »

    Ils sont isolés, ils sont photographiés, ils sont comparés entre eux, les variants 2022 du toujours mystérieux SARS Cov2 de l’automne 2019 ?

    S’il faut généralement des mots pour penser, il ne faut pas laisser les mots penser pour nous

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    • herve_02 dit :

      Bien entendu qu’il faut des mots pour penser, mais il faut aussi des concepts pour articuler les raisonnements.

      Ainsi probablement que ce que l’on nous présente comme des « virus », aussi bien en infographie qu’en « photo » teintées de mauve ne sont pas des pathogènes. Et peut être que dire « virus » n’est pas le bon mot. MAIS, il ne faut aucun doute à personne que quelque chose c’est passé. Bien entendu qu’une (très ?) grande partie des morts est du à l’euthanasie sauvage et au non soin. Mais soin contre quoi ? le réchauffement climatique ? les chemtrails ? le hasard et les coïncidence ?

      De même cette histoire de contagion qui n’existerait pas parce que les virus n’existent pas. Il faudrait expliquer alors les observations des gens : ils tombent malade au contact de gens malades. Qui se souvient des après midi rougeole de notre enfance et actuellement, il y a une petite résurgence (surtout chez les complotistes) d’après midi varicelle. Est-ce que cette « observation » est un délire psychotique : un enfant avec la varicelle « contamine » un autre enfant avec cette varicelle ? Parce que la contagion n’existerait pas et la varicelle non plus ?

      Ainsi on peut bien entendu pinailler sur les mots, mais on ne peut pas occulter les concepts résultant de nos observations. Tant que nous n’aurons pas une meilleur explication à ces phénomènes (peut être que nous vivons dans la matrice et qu’un programme informatique tire au sort les gens qui seront malade – ou peut être que nous sommes les jouets d’un dieu ou d’une civilisation extra-terrestre) peut-on s’entendre à appeler « virus » ces pathogènes mystérieux et inconnus qui rendent malade ?

      Il me semble peu intelligent de dire aujourd’hui que le covid n’existe pas. Cette histoire de le et là est un narratif comme un autre… on dit LE rhume qui provient d’un pathogène ont dit aussi LE cancer. ne commençons pas une bataille sur le genre des mots.

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      • Jean-Marie GLANTZLEN dit :

        Vous savez aussi bien que moi, mais pas que tous les habitants de la France, que le « d » de covid signifie « maladie » dans cette langue dictatoriale à usage snob ou moutonnier en France qu’on appelle l’anglais.

        La maladie du coronavirus censé « né » à l’automne 2019 n’existe plus vu qu’on a désormais affaire avec ses variants de variants . Oui ou non ?

        Si vous prenez trois photos de trois variants (de variants ou non ?) au microscope, qu’est-ce qui permet de les distinguer ?

        Ont-ils eu chacun sur une personne différente, mais supposée avec un état de santé globalement identique, un impact et une « expression » ou une « extériorisation » différente ?

        Bref qu’est-ce qui permet de dire avec certitude, injecté ou non, « J’ai fait la covid, et pas autre chose »

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      • herve_02 dit :

        OK….

        Je ne suis pas persuadé que sémantiquement on doit obligatoirement attribuer à un acronyme le genre d’un de ses mots ou concept. Je n’ai pas le courage de sortir mon littré, mais l’idée est là. Que le covid soit une maladie est discutable peut être mais cela n’oblige pas à dire LA, sauf une sorte de snobisme langagier. J’ajouterais que le d ne signifie pas « maladie » mais desease qui est un mot anglais, langue qui n’a pas de genre. Ainsi pour être parfaitement précis et respecter la traduction, il faudrait utiliser le « genre » neutre qui se confond en français avec le « genre » masculin 😉

        AH… qu’est-ce qui fait dire qu’on a eu le covid ? en étant 100% sûr scientifiquement ? probablement rien. La médecine est une pratique probabiliste. Ainsi pendant cette « plandémie », la personne qui se met à faire de la fièvre, commence à avoir une saturation à 95, peut être des troubles olfactifs… peut être même qu’elle fait un auto test (non fiable). Et donc probablement qu’elle va penser ce doit être le covid. C’est peut être rien, juste psychosomatique, un grippe, un rhume, ou un truc inconnu, une bactérie (parce que les virus n’existent pas, dit-on) extra-terrestre qui nous frappe indépendamment de notre conjoint qui l’a eu mais ne nous l’a pas transmis, on l’a juste eu 3 jours après lui. Peut être.

        MAIS lorsque vous allez chez le médecin et qu’il vous déclare une bonne grippe, fait-il un examen biologique et scientifique permettant d’assurer à 100% sans se tromper que c’est une grippe ? dans 99,99% des cas, il ne le fait pas, il joue par probabilité et vous donne un traitement qui est censé marcher chez des gens dont on suppose qu’ils ont la grippe. Et si son traitement fonctionne (une grippe c’est 7 jours sans médecin et seulement 1 semaine avec un médecin) on dira qu’il vous a soigné votre « grippe » qui n’en était peut être pas une. Si son traitement ne fonctionne pas et que 7 jours après vous êtes encore malade comme un chien, il va tenter autre chose.

        La médecine est (était ?) comme cela, elle joue sur les probabilités, même l’EBM (le truc dont on nous ressasse les oreilles) avec les études sur 20 000 personnes et un traitement qui marche de 15 000… Rien ne dit que vous ne faites pas parti des 5000 sur lequel il ne va pas marcher, pourtant on va vous filer le traitement quand même.

        la question reste entière défaut de soin contre quoi ? je ne parle pas de l’épidémie de test, mais il y a eu des _vraies_ malades et qui en sont morts. Ils ne sont pas morts de rien.

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      • Jean-Marie GLANTZLEN dit :

        Il ne s’agit absolument pas de pinailler sur les mots

        Mais comme disait Boileau : « Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément »

        Version 2020 valable pour 2023 « Ayons le souci du juste mot pour la juste chose, le souci des mots pesés pour éviter d’accroître, voire pour contribuer à réduire, les maux pesants ».

         C’est un combat militant qui en vaut d’autres, voire conditionne le succès des autres

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      • herve_02 dit :

        Si pour vous la solution est de dire LA covid au lieu de LE covid et ainsi résoudre le problème, je vous tire mon chapeau. allézi étonnez nous. Allez soyons vous, pour ce soir je vais dire LA covid et résoudre les problèmes sanitaires mondiaux. Voila, poufff plus de problème. encore une victoire canard WC

        je passe sous silence la citation déplacée de boileau qui n’a strictement rien à voir avec la discussion actuelle (le genre d’un mot), mais je me souviens d’un adage, plus populaire malheureusement, à base de culture et de confiture.

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    • Michel C dit :

      J’ai chopé le COVID mais je n’ai pas développé la maladie respiratoire.
      Pour moi c’est un mal, masculin. Dire la disease est un non sens, c’est se pavaner avec une plume de paon dans le cul.

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      • Jean-Marie GLANTZLEN dit :

        Ne vous inquiétez pas, Hervé, pour ma Qulture que j’ai commencé à acquérir probablement avant votre naissance. Alors que « d’mon temps » le bac on ne le donnait pas pour ne pas trop contrarier les parents …… et les profs.

        Un certain nombre de gens ont compris qu’il était logique de dire LA covid. Point barre.

        Sur le fond si vous pouviez m’apporter, Michel aussi, quelques contre- informations solides constructives, merci d’avance.

        Par exemple : comment on peut prouver que quelqu’un supposé sans comorbidité est vraiment mort d’un variant 2022 du Sars Cov2 ?

        Même question pour un « injecté » qu’il est illogique d’appeler « vacciné », même l’administration (qui ne mérite pas sa majuscule) a opportunément changé – sur le conseil de Mac Kinsley  ? – la définition officielle de vaccination pour qu’on puisse officiellement, voire juridiquement (?) ,appeler « vaccin » les cochonneries mortigènes (ou mortifères si vous préférez) de Pfizer et compagnie.

        Le discours officiel dominant , d’inspiration gato-schwabienne, à la sauce leostraussienne, dont les médias achetés se font chambres d’écho, Canard et Médiapart inclus, ce n’est pas mensonges de B à Y, mais bien de A à Z

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      • Michel C dit :

        @JMG.
        Je dis le COVID parce que je dis ce que je veux dans la mesure ou cela ne nuit pas.
        Quel trouble cela vous apporte-t-il que je dise LE COVIDE?
        Dire la COVID, c’est suivre une convention fraichement établie.
        Moi, j’en suis une autre et j’estime avoir le droit de le faire.
        Si la vision de l’expression « LE COVIDE » provoque une épidémie d’AVC, j’y réfléchirai. En attendant, moi j’ai chopé LE COVID mais n’ai développé aucune IRA (féminin, convention que j’admet et que je suis).
        Voit là 🙂

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      • herve_02 dit :

        Je sais que je ne devais plus venir lire…

        je vous donne le bon point du vieux qui esssssplique que _de son temps_ le bac n’était pas donné comme aujourd’hui. Alors je dois avouer que je suis jeune, né après la deuxième guerre mondiale, apparemment pas comme vous, mais j’ai LA (j’hésite à dire LE parce ce n’est pas une maladie) conviction qu’à mon époque, il ne me fut pas donné non plus.

        Je déteste par dessus tout les gens qui se pensent supérieurs aux autres sur quelques marqueurs bien identifiés, comme une sorte de talisman. Parce que ces marqueurs que l’on peut penser marquer un niveau culturel est peut être juste un marqueur de bêtise (il n’y a pas de randomisée double aveugle pour faire le tri) « Un certain nombre de gens ont compris qu’il était logique de dire LA covid. Point barre. »

        moi aussi je peux faire des points barre (le ou la du coup ?):
        1. un certain nombre de gens ont compris que les vaxXxins étaient sures et efficaces.
        2. un certain nombre de gens ont compris que l.e.a (iel) covid allait tous nous tuer
        3. un certains nombre de gens ont compris que porter un masque empêchera mamie de crever
        4. un certain nombre de gens ont compris qu’acheter des T-shirt pendant le confinement allait créer une distorsion spatio-temporelle et que nous ne devions acheter que des pâtes et pas des slips (du bon coté du rubalise dans nos grandes surfaces)
        5. un certain nombre de gens ont compris qu’utiliser les traitements précoces, plutôt que d’euthanasier direct, c’était mal et qu’il faudrait radier les médecin qui faisaient ce charlatanisme.
        6. un certain nombre de gens ont compris que le covid, (dans les bar _ou_ les restaurants) s’attrapait que quand on était debout, peu importe que l’on fasse 1m20 ou 2m10; et pas assis…
        7. un certain nombre de gens ont compris que cette maladie (ah ah ah) venait d’une chauve sourie qui avait niké un pangolin pendant qu’il mangeait une civette.

        je m’arrête là (j’aime bien le chiffre 7), vous aurez compris, grâce à votre immense culture apprise à l’école (ah ah ah) à l’époque où on ne donnait pas le bac à des incultes comme moi.

        Mais revenons aux choses sérieuses. Vous attendez des « certitudes » (si vous pouviez m’apporter, quelques contre- informations solides constructives). Malgré votre « culture » vous êtes passé à coté de tout mon discours pour rester bloqué sur le genre du mot covid, dans le but, peut être inconscient, de sortir le marqueur social qui fait de vous un être au dessus de la masse.

        Vous n’avez pas compris que la médecine n’est pas une science, mais une pratique (comme l’artisanat) Et ce que l’on appelle EBM est juste la même pratique sur plus de personnes à la fois. Ainsi le _solide_ des contres-informations n’existent pas, il n’y a que des probabilités. Ainsi il n’y a aucun moyen de savoir si une personne a attrapé et/ou est morte d.. covid à 100%. MAIS cela ne mange pas de pain de lui donner un traitement parce que les symptômes font penser à un truc que le traitements en question soigne. peut importe que l’on appelle cela covid, grippe de fauci, chtouille ou nezcoulant.

        C’est cela que vous ne voulez pas comprendre. Votre culture d’un ancien temps pour bloque dès que vous n’avez pas le mot juste. Il n’y a de mots justes qu’en science exacte, et il ne l’est que dans le présent. Ainsi rien n’est exact en médecine, tout est probabiliste (comme en physique quantique). Votre biopsie est cancéreuse à 80% ou à 40% (j’enlève le cas ou il n’y a rien du tout (et la encore pas certain qu’on ne trouve pas un pourcentage). Bien entendu on n’attribue pas un pourcentage mais cette idée de pourcentage fera qu’on vous rendra un résultat positif ou non, car la lecture d’une résultat est à chaque fois une _interprétation_. C’est la même chose avec l’examen pré-natal sanguin contre la trisomie, on vous parle d’une chance sur 250 ou 500 ou 25…

        Si vous avez fait des statistiques à cette époque ou le bac valait vraiment quelques chose, vous pouvez comprendre que même à 1 chance sur 250, vous pouvez « gagner » dès le premier coup.

        Ainsi la question dudela covid est telle que je la posais déjà en avril 2020 (mon billet de blog sur le sujet de cette époque atteste mes dires) : il y a actuellement un « truc » (pas de nom, pas de virus , pas de chose identifiée) qui tue des gens. Les symptômes ressemblent à une infection respiratoire qui attaque les poumons. on SAIT que pendant ce « truc » la saturation d’O2 dans le sang chute sans que la personne ne s’en rende compte et lorsqu’elle s’en rend compte, il est trop tard (la majorité des gens aux urgence pour ce « truc » meurent dans les 3 premiers jours : ils arrivent trop tard). On connaît quelques symptômes qui _semblent_ être un marqueur (ils ne sont pas tous forcément ensembles) : fièvre, maux de tête, toux, perte odorat (et donc du goût), désordres intestinaux, baisse de saturation et avec les symptômes, positivité d’un test en cerise sur le gatô.

        C’est que les médecins ont déterminé (enfin, ceux qui voyait des patients bien entendu, pas ceux qui étaient à la télé et qui avait déterminé avec scientificité le genre du mot covid). Partant de là, des médecins se sont aperçu que _en ce moment_ (et pas il y a 10 ans et pas dans 10 ans) lorsque l’on donnait tel ou tel traitement souvent ou très souvent,selon, les symptômes disparaissait et les gens allaient bien. Vous remarquerez que cela ne veut pas dire covid ou grippe ou chtouille. Juste des symptômes et un traitement, même sans le nom _juste_.

        Ainsi la question que je posais en avril 2020 : est-ce que lorsque l’on commence à avoir CES symptômes, on donne un traitement « aucazou » ‘(tendance raoult) ou on attend que cela s’aggrave (tendance vérantaplan). La question est restée ouverte.

        Et vous qui voulez des contres-information _solide_ voila ma véritable question. qui est LA question de la médecine en général.

        Maintenant il y a une question subsidiaire toute aussi intéressante. Est-ce qu’une personne présentant un test pcr positif (et pas à 80 cycles) doit être traité « ocazou » (les 2 orthographes sont acceptées). Répondre à cette question nécessite un surcroît d’information :

        1. taux de prévalence du « truc » dans la population, spécificité et sensibilité du test : cela permet d’apprécier la probabilité d’un résultat exact. (les tests sont aussi probabilistes car on règle à la conception spécificité et sensibilité) Il y a un excellent article à ce sujet à propos des dépistages du en général ici : http://www.jaddo.fr/2016/06/19/et-mes-fesses-elles-sont-roses-mes-fesses/ il reste alors tout de même la question finale : si malgré tout je suis testé positif (au covid, cancer, chtouille) est-ce que je suis un traitement ou est-ce que je fais comme si ?)

        2. état de santé du patient : on ne réagira pas de la même manière avec un enfant de 16 ans en pleine santé et un petit vieux (du temps ou le bac c’était quelque chose) qui n’a plus la santé d’un sportif olympique.

        Partant de là, la contre-information (mais je perds mon temps) est de bien comprendre la problématique qui n’est pas de savoir si ont dit le ou la covid, si les virus existent, si ce ne serait pas la 5G, s’ils ne voudraient pas nous exterminer. si c’est de l’eugénisme ou un génocide, un truc médical ou politique….

        La question est : est-ce que je donne les molécules ou pas. Répondre à cette question permet de commencer à se poser les bonnes questions. Tout le reste est inutile tant que l’on a pas résolu cette question. Et tout le monde tourne en rond depuis bientôt 3 ans…

        Si on avait décidé, dès avril 2020 de soigner les gens rien ne serait arrivé. Peut importe si les virus existent ou pas, peu importe si les gens sont malade du covid ou d’autre chose, peut importe si c’est à cause de la 5G ou du manque de vitamine D. tout le reste est de la branlette…

        Mais je pense que cela vous passe bien au dessus de la tête

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      • Jean-Marie GLANTZLEN dit :

        Amusons-nous un peu, continuons un peu, quoique les autres fidèles de ce précieux site ….

        J’aimerais visiter votre site. C’est quoi l’adresse ?

        Je privilégie les huiles essentielles, les granules, les TM, les plantes et une vieille habitude du végétarisme. Et vous ?

        J’ai pas tout compris ce que vous avez accumulé ci-dessus, mais Noyeux Joël à vous et aux vôtres.

        PS. On a un point commun : le 7 est mon chiffre préféré pour/avec diverses raisons.

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  2. Françoise Bianchi dit :

    Les plaintes des victimes reussiront-elles à enrayer la machine à supprimer un maximum d’êtres humains ?

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  3. K2r dit :

    Pour une fois je trouve que Nicolas Bonnal n’exagère pas trop. De toutes les façons, quelque soit son genre, COVID est un truc bénin qui se soigne rapidement et très efficacement avec la trithérapie Raoult (notamment). Inversement, sans soins, avec le toxique Dolip…, les affections respiratoires mélangées peuvent tuer les gens fragiles avec l’infection bactérienne qui se développe alors. Statistiquement, ce n’est pas une épidémie. La politique dite de santé (ça fait partie de la novlangue) en revanche vise clairement à réduire les populations inutiles selon Harari. Absence de soins, privation de médicaments, neutralisation des meilleurs soignants, injections toxiques, mensonges et propagande à grande échelle et intensive, ça c’est assez clair. Comme l’espèce est quand même assez résistante, on ajoute le rationnement énergétique et très bientôt alimentaire. À force, il y aura des résultats, même si on évite la guerre mondiale qui tente certains. Mais quand la masse va-t-elle donc se réveiller ? Certains disent que la spike de synthèse embrume les esprits et rend apathique. Si c’est le cas, les chercheurs maudits ont bien travaillé. En tout cas, ce n’est pas une erreur de dirigeants mal informés qui nous amène là.

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  4. Ping : UN ADO VAXINÉ SUR 30 FAIT UNE MYOCARDITE – JEMINFORMETV.COM

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