LES TEMPERATURES OBSERVEES PAR SATELLITE SONT COMPLOTISTES: il n’y a pas d’accelération du « réchauffement climatique » depuis 25 ans , les reconstructions des températures du passé par le Giec sont des créations mathématiques contestées

La science prédictive n’existe pas. Ni en épidémiologie ni dans le climat. C’est une imposture. De la divination travail de documentation et de recherche @NiusMarco son compte twitter est une mine d’informations sourcées

Depuis 10 ans les températures observées moyennes mondiales stagnent , elles baissent même depuis 2016. Elles ont bien augmenté de 0.6 ° depuis 1975 (entre 1975 et 1998). Et avant? Le Giec, faute d’observations travaille sur des reconstructions mathématiques plus que contestées par les historiens et les archéologues

. les données vérifiées de l’histoire et de l’archéologie conduisent à plus de modestie. Le climat n’a jais été stable ou « reglé » et à l’échelle historique nous assistons à un réchauffement comme il y en a eu bien d’autres…

Cet article est une reprise complété de celui publié en septembre. Je remercie MARCO NIUS pour sonprécieux travail de documentation et de recherche @NiusMarco

Dans le dernier rapport du GIEC nous apprenons qu’en 2021 les températures sur terre étaient supérieures à celles de l’Ere préindustrielle (avant 1850) de 1,09 degrès.

Nous aurions bien du mal à limiter la progression à 1,5 degrès… IL NE NOUS RESTERAIT QUE 0,41 DEGRES AVANT LA FIN DU MONDE….

Le seul petit problème c ‘est que personne ne connait les températures moyennes d’avant 1850, il n’y avait personne pour les mesurer et surtout pas de satellites… Les chiffres avancés sont des reconstructions mathématiques à partir d’algorithmes complexes reposant sur les quantités de gaz carboniques émises et que l’on peut effectivement mesurer….

Entre 1850 et les annéees 80, des données brutes existent mais elles ne montrent aucun réchauffement sur le temps long le GIEC les a « refroidies » pour qu’elles puissent correspondre à ses modèles, sinon impossible valider ses thèses.

Il est très difficile de connaitre les températures du passé, des sources existent mais aucune ne peut confirmer que le réchauffement actuel soit anormal , quant aux observations des cinquante dernières années elles butent sur des spécificités locales et la difficulté de calculer une moyenne planétaire .

Les reconstructions reposent sur des modèles dont on peut constater depuis 1990 qu’ils se sont surtout trompés pour la période 1990/2020; LES CAUSES DES VARIATIONS CLIMATIQUES SERAIENT BIEN PLUS COMPLEXES QUE LES EMISSIONS DE CO2

DES INCERTITUDES DES HISTORIENS AUX CERTITUDES DES RECHAUFFISTES

La connaissance des climats anciens a profondément évolué plus que progressé au cours dees trente dernières années .

Historiens, préhistoriens, archéologues , mais également tous ceux qui ont étudié les fossiles et les polléns savent que la terre a connu plusieurs changements majeurs du climat avec des âges glaciaires successifs . Le dernier s’est terminé il y a plus de 12 000 et nous sommes entrés et sommes toujours dans un âge interglaciare, l’Holocène .

Depuis le niveau des mers s’est relevé de 120 m, ainsi que le niveau global des températures. Mais au cours des 12000 ans il existe des cycles climatiques, certains très chaud , d’autres plus froids;

Les scientifiques considèrent que la période l’ Holocene connut une période chaude il y a 8000 ans , c ‘est le moment du SAHARA VERT Elle se termine par un refroisissement et le Sahara devint un désert….

Toutes les régions composant cette zone géographique ont été touchées simultanément et avec la même importance, ce qui a permis une datation précise de la période humide africaine (à 200 ans près). Elle se serait terminée il y a 4.900 ans, en donnant naissance au Sahara tel que nous le connaissons

En effet, de nombreux indicateurs montrent que les températures estivales dans la région s’étendant du Groenland à la mer de Norvège auraient baissé il y a entre 6 000 et 5 000 ans.Par ailleurs, la baisse des températures au sol dans le Sahara bloque aussi la remontée vers le nord de la mousson, conduisant à une baisse des précipitations dans le Sahel. Ainsi, une variation de température aux hautes latitudes de l’hémisphère Nord pourrait avoir déclenché un effet en cascade avec des rétroactions qui ont finalement conduit à la disparition du Sahara vert .

Il se trouvera bien un imbécile pour àmontrer que les activités humaines auraient déjà à l’époque du néolithique pu jouer un rôle déterminant dans la désertification du Sahara. 

https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/climatologie-voila-4900-ans-sahara-abruptement-passe-vert-jaune-45757/

La conception classique de l’évolution du climat au cours des 1000 dernières années veut que le climat se soit déplacé d’une période chaude Médiévale (du XIe au XIVe siècle) à un Petit Âge Glaciaire (1430–1890), suivi dans la seconde moitié du XIXe siècle d’un réchauffement global qui décroit au milieu du 20eme puis qui tend à s’accélérer depuis les dernières décennies du XXe siècle.

VENDANGES/ PAS DE RECHAUFFEMENT

Pour les périodes chaudes on peut citer l’optimum minoen, l’optimum romain et le dernier, l’optimum
médiéval, autour de l’an mil et qui a vu la colonisation de Groenland (étymologiquement « terre verte ») par des Danois qui y ont implanté de nombreuses colonies où on cultivait le blé… la vigne poussait dans le nord de l’Angleterre… notons que durant ces optima les glaciers alpins avaient disparus facilitant le passage des Alpes (certains cols encore aujourd’hui impraticables l’hiver étaient libres toute l’année !).

NE PARLEZ PAS DE L’OPTIMUM MEDIEVAL

Le DOMESDAY BOOK 1068 RECENSE DES VIGNOBLES DANS LE NORD DE L’ANGLETERRE mais on en trouve en Norvège et au nord de la Russie

des oliviers en ANGLETERRE

Cet optimum médiéval a fait place au 14eme à une période de refroidissement dont le point culminant a eu lieu au XVII-XVIIIèm siècle (« petit âge glaciaire » ou Minimum de Maunder). Durant cette période, les hivers ont été particulièrement froids (la Seine, la Tamise étaient gelées en permanence l’hiver), les étés froids et humides aux conséquences catastrophiques (1693 : 1,3 millions de morts en France, 1709 : 600.000 morts de faim…).
On estime à plus de 2 millions le nombre de morts sous le règne de Louis XIV (ne dit-on pas que le vin
gelait dans les verres à Versailles !).
Selon Le Roy Ladurie, ce climat serait la cause des révolutions de 1789, 1830 et 1848

Indéniable réchaufflement ensuite avec un refroidissement dans lees annees 40 à 75

Pour les historiens les bonnes periodes de croissance demographique sont celles de rechauffement, les mauvaises plus froides voient se multiplier famines et epidémies Bonnes périodes Haut Empire Romain , An 1000 jusqu’au 14eme siècle avec le GROENLAND, pays vert des vikings, Renaissance puis 18eme Mauvaises périodes: Haut Moyen Age, 14et 15eme, 17eme sièclesLES ESPOIRS DANS LA SCIENCELorsqu’on analyse une carotte de glace on observe une alternance visuelle entre les couches sombres qui correspondent aux étés et les couches claires qui correspondent aux hivers. Les carottes de glace offrent donc une échelle de datation relativement précise. Mais plus on prélève profondément dans la couche de glace, moins la datation est précise à cause du fort tassement de la glace qui brouille la différenciation saisonnière.
La composition des gaz et les poussières piégés dans ces échantillons de glace et leurs concentrations, nous informent sur les causes de leurs variations dans l’atmosphère. Cela peut-être des isotopes d’oxygène, (ci-dessous sur le thermomètre isotopique), des dioxyde de carbone CO2 et méthane CH4)Le forage de Vostok en Antarctique, débuté en 1998, (à plus de 2600 mètres de profondeur) donne accès à des glaces vieilles de 420 milliers d’années. Les analyses de Vostok ont permis d’établir une corrélation directe entre les concentrations de gaz à effet de serre et la variation des températures à la surface du globe Mais cause ou consequence?????

Regardez bien le document ci dessous il met en évidence le caractère cyclique du climat, aucune anomalie de températures( en rouge), aucune preuve de rechauffement mais une explosion de la quantité de CO2

  • des données isotopiques qui constituent des thermomètres indirects et qui permettent de mesurer la température au moment de la formation de la glace.
  • de l’air emprisonné au moment de la chute de neige et progressivement transformée en glace et qui témoigne de la composition de l’atmosphère au moment de la formation de la glace.


Ξlpis

@Elpis_R

Cette reconstitution montre une baisse de température d’environ 3°C entre 4500 av. J.-C. et le début du petit âge glaciaire en 1750 ap. J.-C. La reconstitution de la T° de la carotte de glace du Groenland de Bo Vinther montre également une baisse de trois degrés :

« Greenland Ice Sheet Project 2 » (ou GISP2), un programme, aujourd’hui terminé, de forage mené alors par des instituts de recherche américains, qui avait permis d’extraire des carottes de glace de la calotte glaciaire du Groenland, dont une carotte de plus de 3.000 mètres de long qui contenait des informations sur le climat du Groenland au cours des 110.000 dernières années.

Les données des carottes de GISP2 ont par la suite servi de base à de nombreuses études, dont certaines ont reconstitué les températures au Groenland au cours des 10.000 dernières années. Richard Alley a co-rédigé l’une des principales études utilisant les données GISP2, publiée en 2004.

Ces données sont analysées par les chercheurs en paléoclimatologie, l’étude du climat des époques passées. Ils utilisent ce qui est appelé des « archives climatiques« , dont font partie les calottes de glaces, mais aussi les anneaux des troncs des arbres, les stalagmites ou encore les sédiments, afin d’obtenir des informations sur les conditions climatiques des temps passés.

Les températures du Groenland (ci-dessous jusqu’en 2015) ont été plus élevées qu’aujourd’hui pendant une grande partie de l’Holocène, plus 4 à 7°C au début de l’Holocène et de plus 5,5 à 8,5°C au cours de l’Eémien. Dans les 2 cas, le CO2 était > 300 ppm

Il n’y avait pas de thermomètre à l’époque, les proxies sont donc les carottes de glace, anneaux d’arbres…

Les enseignements jusqu »en 1885

UNE NOUVELLE ETUDE (10/2022) nous apprend que le Groenland s’est réchauffé de 10 degrès en soixante ans (4 ° de plus qu’actuellement ) il y a plus de 10 000 ans avec deux ou trois fois moins de co2 qu’actuellement

https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0277379122003353

Lorsque les niveaux de CO2 se situaient au milieu des années 200 ppm (il y a 11,7 à 4,5 k ans), l’Arctique et le nord du Groenland étaient de 2 à 4 °C plus chauds qu’aujourd’hui, les marges de glace étaient à 80 km derrière celles d’aujourd’hui, des conditions d’eau libre sans glace prévalaient , et le Groenland s’est réchauffé de 10°C en 60 ans

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Il y a 1000 à 4000 ans, les arbres poussaient 322 km plus au nord qu’aujourd’hui. Les Vikings du Groenland cultivaient l’orge. Le raisin de cuve poussait dans le nord de la Grande-Bretagne.

LES NOUVELLES DONNEES DE L’ARCHEOLOGIE DES GLACIERS EN NORVEGE/

On découvre que les glaciers et les températures n’ont pas encore retrouvés leur niveau des 12eme 13eme siècles ou de l’époque du Christ

Depuis plus de dix ans, nous menons des travaux archéologiques systématiques sur le terrain dans les hautes montagnes du comté d’Oppland, en Norvège. Nous essayons de trouver et de sauver ces objets, alors que la glace continue de fondre. Nous avons maintenant récupéré plus de 2000 artefacts de 51 plaques de glace et glaciers. Certaines des découvertes remontent à 4000 avant JC. Parmi les trouvailles figurent c. 180 flèches, vêtements de l’âge du fer et de l’âge du bronze et restes de skis , de traîneaux et de chevaux de bât .

LES RECENTES DECOUVERTES DES ARCHEOLOGUES AUTRICHIENS

Il y a 6000 à 1200 ans, les bisons se nourrissaient d’arbres et de végétation à feuilles caduques qui poussaient à des altitudes alpines supérieures de ~800 m à celles d’aujourd’hui. l’Autriche devait être 4-7°C + chaude qu’aujourd’hui (il y a ~2000 ans)

QUAND IL FAISAIT BON EN SIBERIE

L’Arctique sibérien possédait également de vastes forêts de bouleaux il y a 14 000 à 12 000 ans. Les bouleaux poussaient encore dans cette région il y a environ 3 700 ans. Aujourd’hui, ces mêmes régions sont trop froides pour que les bouleaux y poussent.

ARCTIQUE ANTARTIQUE

Un Arctique “plus chaud que le climat actuel”. Les arbres, plantes & animaux racontent une histoire bien différente sur le climat des 11 000 dernières années que ceux qui prétendent que les T actuelles de l’Arctique sont exceptionnellement chaudes.

Capture d’écran 2022-11-07 202516

Jusqu’à il y a 1000 à 2000 ans, l’Antarctique était jusqu’à 5°C plus chaud qu’aujourd’hui. Des conditions d’eau libre ont prévalu pendant la majeure partie de l’Holocène (les 11 700 dernières années) dans la zone où se trouve aujourd’hui l’imposante plate-forme glaciaire Larsen.

Le niveau de la mer a augmenté de 250 mm depuis le maximum des glaciers et de la banquise en 1850 ‘fin du petit âge glaciaire mais seulement de 150mm depuis 1800

les donnees des observations sous marines

La température de l’eau à cet endroit reflète principalement la température du Pacifique Nord et tropical, mais elle est influencée par les océans Indien et Austral dans une moindre mesure.

Cette figure montre un enregistrement de température reconstitué à partir de foraminifères benthiques qui vivent à environ 500 mètres sous la surface de l’océan dans le Throughflow indonésien. https://indopacificimages.com/indonesia/indonesian-throughflow/

La reconstitution a été réalisée par Yair Rosenthal et ses collègues et publiée dans la revue Science, ici : (https://science.org/doi/abs/10.1126/science.1240837…)

Il semble donc probable que les T° de l’hémisphère nord pendant l’optimum climatique de l’Holocène (de 9000 à 4200 avant J.-C. environ) étaient supérieures de plus de trois degrés à celles de la période préindustrielle, également connue sous le nom de petit âge glaciaire.

Si nous ajoutons 1,5 degré à la température d’aujourd’hui, nous atteignons 9,2°C, soit à peu près la même température dans le Throughflow indonésien, que celle observée pendant la période chaude romaine, appelée RWP, ou la température à laquelle Platon a vécu et enseigné.Elle est bien plus d’1°C plus froide que pendant l’Optimum climatique de l’Holocène, lorsque la civilisation et l’agriculture humaines ont été inventées.

@Elpis_R

Autre progrès scientifiques ballons sondes et surtout satellites . Regardez bien les temperatures observées et comparez les à celles du Giec

REGARDEZ CE QUE DONNENT LES OBSERVATIONS DES SATELLITES (EN NOIR), le reste est reconstruit et avant les annéees 80 pas de satellites

LES DONNEES POPULARISEES PAR LA PRESSE ET LE GIEC NE SONT PAS OBSERVEES MAIS RECONSTRUITES

MODELE MATHEMATIQUE QUI PRE SUPPOSE QUE LA PRODUCTION DE C02 PAR L ACTIVITE HUMAINE EST LA CAUSE DES VARIATIONS.

METHODE ici

La tentation était forte de reconstruire les températures du passé à partir des observations du présent. Problème , ne prendre en compte que les variables naturelles ne permettait pas de reconstituer un passé validant un très fort réchauffement climatique. On reconstituait tout au plus l’optimum médiéval …

Mais nous savons que d’autres données naturelles n’ont pas été prises en compte….. (article à venir)

Alors ils connaissaient la quantité de co2; ils en ont fait la vaariable déterminante

CRGeo_2004Télécharger

En effet, la combinaison du forçage solaire et volcanique permet de simuler un Petit Âge Glaciaire ainsi qu’une époque médiévale chaude. Par contre, seule l’augmentation des concentrations en gaz à effet de serre et autres aérosols sulfatés, combinée aux changements de la couverture des sols permet de simuler un taux et une amplitude de réchauffement au cours des 50 dernières années en accord avec les observations.

A long terme elles inventent un optimum médiéval pas très chaud: il y avait pourtant de la vigne à Terre Neuve…. TOUTES LES TEMPERATURES D AVANT 1975 SONT REFROIDIES, MINOREES

La plus celèbre reconstruction est ci dessous toute la période en jaune est reconstituée et tout semble dans la réalité indiquer des températures plus élevées qu’aujourd’hui (en bleu)

DE L HISTOIRE FAISONS TABLE RASE

2 MAIS QUE DONNENT LES OBSERVATIONS NON CORRIGEES?

LES SERIES LONGUES DE DONNEES OBSERVEES SONT RARISSIMES , celle ci britannique FAIT APPARAITRE UNE AUGMENTATION DE TEMPERATURE DE 1° SUR 350 ANS mais de seulement 0,6degrè de 1850 à aujourd’hui

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LES OBSERVATIONS BRUTES DES STATIONS METEO DONNENT DES INFORMATIONS SUR UNE CENTAINE D ANNEES souvent bien moins

Ainsi dans ce document de Météo France, les températures relevées à Pau depuis 1870 ne donnent aucun réchauffement, c ‘est même le contraire et pourtant la station s’est déplacée comme beaucoup sur un site ultra bétonné

Malheureusement les données brutes ont été corrigées comme l’explique Météo France, pour correspondre…AUX MODELES MATHEMATIQUES CONSTRUITS PAR LE GIEC à partir des observations réalisées depuis 1980 90 et de la quantité de CO2 connue pour les périodes passées. Moins il y avait de c02 plus on corrige les température anciennes en les REFROIDISSANT

Sur la période récente elle modifient les observations pour les faire coller au présupposé, si les observations ne montrent pas de réchauffement, c ‘est que les observations se trompent

Les températures données pour la période antérieure à 1970 n’ont aucun rapport avec celles observées

Ils arrivent même avec une courbe qui descend franchement à une courbe qui monte en passant en 140 ans d’un champs au bord d’une forêt à un aéroport bétonné.Méteo France donne les températures moyennes corrigées pour PAU en 2021, 13.9° et en 1990 13.9° DONC +0° EN TRENTE ANS

Le site de météofrance donne des indications par stations mais ELLES SONT TOUTES CORRIGEES

https://www.infoclimat.fr/climatologie/globale/pau-uzein/07610.html

pour Paris baisse de 0.3°

https://www.infoclimat.fr/climatologie/globale/paris-montsouris/07156.html

En réalité seules les évolutions des températures moyennes décennales peuvent avoir un sens, la condition de ne pas être corrigées

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https://www.infoclimat.fr/climatologie/globale/moskva-moscou/27612.html

Dans le document ci dessous on constate l’écart monstrueux entre les températures refroidies d’avant 1960 et les données brutes observées

Dans la réalité pas de rechauffement entre 1880 et 2010 mais reel rechauffement entre 1975 et 2010

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Dans les rapports du Giec les températures observées sont rarissimes, il n’est question que de températures corrigées. Dans le document suivant portant sur les Etats Unis, on constate que la température augmenterait de 0,2 degrès en moyenne par décennie entre 1980 et 2010…0,6 donc en trente ans .…Pas vraiment regardez bien la courbe bleue, en 2008 les températures sont au niveau de celles du milieu des années 80..………….

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@NiusMarco

SST = sea surface temperature (température de la surface des mers) pas En rouge après « reconstruction-correction », et hop

BAISSE DES TEMPERATURES EN 1940/45 FORTE HAUSSE DE 75 A 2000 BAISSE DANS LES ANNNES 2000

TOUTES LES DONNEES ISSUES DE L OBSERVATION PROUVENT QUE NOUS ASSISTONS SEULEMENT A LA FIN DU PETIT AGE GLACIAIRE

La Tamise a gelé pour la dernière fois en 1814 et les glaciers des Alpes ont connu une avancée maximale en 1850

L’examen de l’évolution des glaciers
alpins met en évidence une croissance
qui a débuté vers 1300, pour atteindre
des valeurs maxima vers 1370, puis à
nouveau vers 1665 et enfin dans les
années 1850. Depuis lors, on assiste à
un retrait généralisé des glaciers. La
période qui s’étend du XIVe au milieu
du XIXe siècle a été dénommée petit
âge glaciaire (PAG), bien que les positions
maximales occupées par les glaciers
alpins pendant le PAG soient très
loin des positions atteintes pendant le
dernier âge glaciaire. Si les fluctuations
de l’avancée des glaciers correspondent
plus ou moins, avec
quelques années de retard, aux fluctuations
multidécennales des températures
moyennes (Rousseau, 2013), il
est beaucoup plus difficile de caractériser
le PAG du point de vue climatique.
En ef fet, les éléments
climatiques conditionnant l’évolution
des glaciers sont nombreux, parmi lesquels
la température, les précipitations
et l’ensoleillement. Ils interviennent
non seulement par leur valeur, mais
aussi par leur répar tition dans le
temps.
Concernant la relation entre
l’extension des glaciers et la température,
l’examen des moyennes mensuelles
des températures relevées à
Paris depuis 1658 permet une comparaison
entre les températures durant la
période du PAG, que l’on suppose se
terminer en 1856, année qui correspond
à la fin d’une séquence fraîche
(Le Roy Ladurie et al., 2011), et les
périodes suivantes. Les moyennes des
températures mensuelles à Paris ont
ainsi été calculées pour trois
périodes : 1658-1856, période incluse

dans le PAG, 1857-1987, période intermédiaire,
et 1988-2015, période
pendant laquelle les effets du réchauffement
climatique sont clairement
détectables.
La période 1, 1659-1856, comporte
huit f luctuations successives de
séquences d’années plutôt chaudes et
plutôt froides. La période 2, 1857-
1987, comporte trois fluctuations successives.
La période 3, 1988-2015, ne
comporte qu’une séquence chaude.
La figure 3 fournit les différences des
températures moyennes de chaque
mois entre la période 1 (PAG) et la
période 2, ainsi qu’entre la période 3
(réchauf fement climatique) et la
période 2. Entre la période 2 et la
période 1, aucune différence importante
de température n’est constatée
d’avril à septembre, durant la période
végétative conditionnant les récoltes.
Les relevés des dates de vendanges
confirment d’ailleurs les données des
thermomètres. Ainsi, la moyenne des
dates de vendange à Beaune est pratiquement
la même pour la période 1
(25 septembre) et la période 2 (27
septembre). L’expression petit âge glaciaire
est donc assez peu adaptée à la
description d’une grande partie de
l’année. En plein PAG, on a même
connu des étés caniculaires, comme
celui de 1540 qui a pu être comparé à
l’été caniculaire de 2003 (Wetter et
Pfister, 2013).

Histoire-du-Climat-webTélécharger

3LES MODELES SONT FORTEMENT CONTESTES PAR LES SCIENTIFIQUES mais il ne faut pas en parler….

Point de doute les modèles se sont trompés dans la reconstruction des températures d’hier .

Les dernières observations scientifiques démontrent que par le passé nous avons connu des variations plus brutales et très rapide: le Groenland , il y a 10 000 ans s’est rechauffé de 10° en soixante dix ans

Nous savons maintenant que les glaciers sont encore aujourd’hui bien plus étendus qu’au 12eme siecle ou qu’à l’époque du Christ . Il faudrait que les températures progressent de près de 2 ° pour retrouver celles de ces époques

Mais nous pouvons comparer les plus anciennes prévisions du Giec, les fameux modèles aux observations réalisés. Le Giec a t il correctement prévu l’avenir?

Les plus anciennes prévisions ont trente ans et les preuves s’accumulent, elles ont surrestimé le réchauffement de 1995 à 2015 car nous savons maintenant que pendant cette période il n’y a pas eu de hausse significative des températures

LES PREMIERES PREVISIONS SE SONT REVELEES FAUSSES MAIS IL NE FAUT PAS EN PARLER

LE DOCUMENT CI DESSOUS PROUVE QUE LES DIFFERENTS MODELES ONT SU EVALUE DE 0.5 DEGRES L AUGMENTATION DES TEMPERATURES ENTRE 2000 ET 2015

EN 1995 LE GIEC PREDISAIT QUOI? ET IL S ‘ EST PASSE QUOI TRENTE ANS APRES

Les températures allaient s’élever de 2° Bon il faut se contenter de 0,2°

Et pourtant l’émission de gaz carbonique: une cata qu’ils disent et c ‘est vrai mais si le co2 n’avait pas d’impact sur les températures,,,,

Les îles Perte de territoire Egypte -1% Hollande -6% Bangladesh -17.5% Atolls Marshall -80%

Dans le pacifique étude dans Nature :La plupart des atolls ont augmenté en taille . Sans intervention humaine ici. https://nature.com/articles/s41467-018-02954-1

CES ERREURS LE GIEC LES ADMET ET TENTE DE LES EXPLIQUER EN INTRODUISANT D AUTRES VARIABLES COMME EL NINO OU LES VOLCANS

Problèmes insolubles: les volcans dégagent du co2 mais ils seraient facteurs de refroidissement

https://reseauactionclimat.org/rythme-rechauffement-climatique-progresse/

Les modèles sont donc corrigés et c ‘est reparti de plus belle, ce d’autant plus que les températures augmentent réellement en au milieu des annéees 2010

OUI MAIS EN 2021 REFROIDISSEMENT VOIR LE RAPPORT CI DESSOUS Et il faudrait comparer les modèles à la moyenne de 2020 2030

DE 1987 A 2021 EN TRENTE CINQ ANS LES OBSERVATIONS NE PEUVENT FAIRE APPARAITRE DE RECHAUFFEMENT A 0,4 DEGRES CEST DEUX FOIS MOINS QUE PREVU

Attention il s’agit des corrections du giec, d’autres vérifications limitent la progression à 0,2°

LA THESE CLIMATO RECHAUFFISTE

https://www.climate-lab-book.ac.uk/comparing-cmip5-observations/embed/#?secret=rajUCe8jdH#?secret=mzcfz9YG9P

LA THESE CLIMATO REALISTE

State-Climate-2021-fr-V1-avec-compression-1Télécharger

D AUTRES INDICATEURS DES ERREURS DU GIEC

Marco Nius a retrouvé les prévision de 1987

wmo-td_225_enTélécharger

Les scénarios de 1987 , la base de travail des alarmistes. Punaise, des champion, ça rentre même pas dans le Graphe. Qu’ils fassent au moins un retour d’expérience sur leurs erreurs bordel. +1° ou + 2.5 ° entre 1990 et 2020, on est à +0.24° les mecs MARCO NIUS

marco nius BANQUISE ARTIQUE LE GIEC SE PLANTE DE 25%

LE PROPHETE ET SES ARTICLES

https://www.insu.cnrs.fr/fr/cnrsinfo/le-pole-nord-bientot-libre-de-glace-en-ete

https://www.nature.com/articles/s43247-021-00214-7

@NiusMarco LES OBSERVATIONS

Saperlipopette ! GIEC encore raté Surfaces de banquise Arctique 3.8 M km2 annoncé 4.8 observé Nature , article de 2021 (erreur 25% en 1 an

CO2-thegoodnewsLongVersionTélécharger

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Il n’y a pas de tendance significative de la température moyenne mondiale pour les mathématiciens

John ReidLa série chronologique HadCRUT4 de 166 valeurs annuelles de la température moyenne mondiale a été analysée de manière déterministe et stochastique et les résultats comparés. Le modèle déterministe comprenait la somme d’une tendance linéaire et d’une oscillation multi-décennale ajustée par la régression des moindres carrés ordinaires. Le modèle stochastique était un modèle ARMA (1,2) avec un terme de dérive inclus. Le modèle déterministe a montré une tendance linéaire de 0,5 ℃ par siècle tandis que le modèle stochastique n’a montré a ucune dérive significative

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LA REVOLTE DES GEOGRAPHES

la Société de Géographie publie dans sa revue La Géographie un numéro où l’on pose la question Faut-il s’inquiéter pour la Terre ?, et sous la direction de S. Brunel et de J. R. Pitte, un livre Le ciel ne va pas nous tomber sur la tête regroupant le témoignage de quinze géographes. L’ouvrage s’intéresse, à partir du réchauffement climatique, aux questions environnementales. 

Derrière ce titre, se cache le coup de gueule des géographes qui en ont assez du catastrophisme ambiant diffusé par les médias, concernant le devenir de notre planète. Depuis que le développement durable s’est imposé dans la gouvernance internationale, les géographes souffrent face à cette vision pessimiste des choses qui tend à s’institutionnaliser. La géographie est la science des possibilités, celle qui s’intéresse à comment l’homme habite la planète.

Ils veulent croire en l’avenir de l’Homme. Ils mettent en avant l’histoire de l’humanité, qui n’est, finalement, qu’une succession de réponses apportées à des défis. Ils sont bien conscients que la population mondiale est deux fois plus nombreuse qu’il y a 50 ans, que si l’espérance de vie a fortement augmenté, la mortalité infantile reste encore forte (même si elle a considérablement décru). Ils veulent croire qu’en matière de capacité de charge, il n’y a pas de limites : tout dépend de notre mode de développement. Ils ne nient pas l’ampleur des défis à relever mais estiment que les indicateurs qui sont utilisés ne sont pas les bons. Ils veulent croire aussi que la géographie peut intéresser le grand public, qu’elle ne mène pas à l’inquiétude ambiante. Ils prêchent la non détermination de la nature et de la culture. Ils réfutent à ce titre la théorie du choc des civilisations. Ils veulent croire que la technique peut être au service des hommes pour mieux gérer la planète et pas seulement de la guerre. Cet optimisme, que d’aucuns pourraient qualifier de « béat », vise à prouver que tout n’est pas fichu et que les Hommes ont un rôle à jouer. Un rôle à jouer aujourd’hui comme demain car, avant de s’intéresser au sort des générations futures, il faut aussi pouvoir aux besoins des Hommes d’aujourd’hui. Ils refusent une mise sous cloche de la nature qui se ferait aux dépens des Hommes. La géographie est là pour apporter des réponses nuancées aux problèmes présentés à l’emporte-pièce par les médias.

A propos pgibertie

Agrégé d'histoire, Professeur de Chaire Supérieure en économie et en géopolitique, intervenant àBordeaux III et comme formateur à l'agrégation d'économie à Rennes Aujourd'hui retraité
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43 commentaires pour LES TEMPERATURES OBSERVEES PAR SATELLITE SONT COMPLOTISTES: il n’y a pas d’accelération du « réchauffement climatique » depuis 25 ans , les reconstructions des températures du passé par le Giec sont des créations mathématiques contestées

  1. Eric Cayron dit :

    Il est vraiment dommage que vous,tombiez dans ce genre d argumentaires ridicules. cela décrédibilise considérablement vos propos très documentés sur le dossier Covid Restez sur ce dernier ! Merci

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    • pgibertie dit :

      Je vous assure toutes les données sont officielles, je n’invente rien tout est sourcé
      En quoi est ce ridicule?

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    • Jean Sentrais dit :

      @Eric Cayron :
      votre verbe inquisiteur procède de l’artifice premier d’une guerre stérile des croyances.

      Or, nous sommes ici en terre de débat d’arguments soumis à expertise. Il n’est jamais inutile de débattre en connaissance, en science. Non ?

      Ou, seriez-vous un troll vain et provocateur ?

      Enfin, dire « merci » de satisfaire votre exigence est … incongru.

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    • Tabz dit :

      Argumentaires ridicules ? On attend donc vos contre-arguments.

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    • Lepiaf18 dit :

      Des arguments pour démontrer cette allégation, peut-être ?
      P. Gibertie n’est que « rapporteur » il me semble; et en la matière ces informations sont sourcées et connues des scientifiques, les vrais pas les apprentis Greta des lobbies autoproclamés « écologistes ».
      L’étude des carottes glacières (Pôles Nord et Sud) et du Permofrost n’est pas une vue de l’esprit ni le résultat de modèles mathématiques foireux (puisque manquant de données réelles).
      Comment voulez-vous obtenir des résultats conformes à la réalité sur un échantillon de données de seulement 150-170 ans alors que la « vie » sur la planète c’est grosso modo 600 millions d’années.
      Bien malin celui qui peut dire (et démontrer) si l’on est dans une période de réchauffement ou de glaciation, si l’on y rentre ou si l’on en sort et dans quelles proportions. Bien malin également celui qui pourra démontrer que le CO2 est la cause éventuelle majeure d’un éventuel réchauffement dû éventuellement exclusivement « deafautedehomme ».
      Rappelez-vous on nous a fait le coup avec les gaz fluorés et le trou dans la couche d’ozone. Il n’y a jamais eu autant de systèmes de climatisation installés; même si les gaz employés sont un peu moins polluants, leur quantité a augmenté; et pourtant… Depuis, le trou s’est refermé !!
      A moins que vous peut-être…. vous ayez quelques réponses.
      Le Giec est juste le porteur de parole des lobbies du secteur et la technique employée est toujours la même, instiller la peur, encore et toujours…
      Vous devriez le savoir puisque vous avez suivi ici-même la fable pendant l’épisode Covid. Les paroles changent en fonction du sujet, mais la mélodie est la même, … toujours !

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  2. pgibertie dit :

    Pouvez vous me fournir d’autres données observées démontrant le contraire ( ni prévisions ni reconstitutions mais données observées

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  3. Jean Sentrais dit :

    Absolument passionnant !

    Acessoirement, avons-nous des chiffres qui relatent les volumes de dégazement de méthane par décongélation du permafrost en Russie ? Est-il avéré que le méthane exposé à la lumière du soleil se dégrade rapidement par capture d’oxygène en produisant CO2 + H2O ? Serait-ce judicieux d’intégrer ces chiffres dans la hausse du CO2 durant les 150 dernières années ?

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  4. Tuto dit :

    Magnifique exposé! Très instructif et et éclairant !
    De façon évidente, un point de vue naturaliste ira contre vos conclusions…
    Et tout simplement du point de vue de la perte accélérée de la biodiversité !
    C’est là une contradiction fondamentale! Un réchauffement climatique ACCOMPAGNÉ d’une telle dégradation des écosystèmes est monstrueux d’un point de vue naturaliste…!
    Peu importe alors que l’humanité trouve les solutions technologiques à la discordance. L’équilibre est déjà dépassé depuis longtemps et il est logique vu ce point de vue, de devoir recourir à des échappatoires de nature dictatoriale; c’est ce que nous constatons actuellement, et que je déplore intensément.
    Bien respectueusement.

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    • Lepiaf18 dit :

      Surtout lorsque le naturaliste ne regardera pas plus loin que le bout de son nez !
      Certes l’Homme modifie certains équilibres, mais de là à bouleverser ceux nettement plus complexes et à évolution très lente de la Terre dans l’Univers, alors même qu’on en connaît de leurs fonctionnement qu’à peine le b-a-ba, il y a tout un monde. Alors penser (seulement; croire c’est une autre paire de manches !) qu’en quelques décennies on pourrait inverser voire annuler des phénomènes que l’on ne connaît peut-être même pas est d’une naïveté sans égale.

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      • Eric 34 dit :

        Le GIEC ressemble à ces équipes Ferguson, Drosten, Fontanet / Guermonprez, et autres, tous oiseaux de mauvaise augure.
        Ils ont l’art de faire surgir de nouveaux concepts: Le CO2 responsable de tous les maux alors que c’est un composant vital. Son rôle dans l’effet de serre est absolument négligeable comparé aux nuages qui représentent au moins 85% de l’impact. Quant à la bande d’autres rigolos cités, en dehors de l’entremêlement de chiffres selon leurs obsessions, ils ont réussi l’exploit de nous faire croire que tout homme bien portant était un malade qui s’ignorait.
        Cette séquence du réchauffement fait partie d’un élément de peur supplémentaire insidieusement mis en place par les mondialistes depuis des décennies.

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      • herve_02 dit :

        La question qui me taraude : comme le CO2 est l’organisme constitution de le vie sur terre (pas de CO2, pas de photosynthèse, pas de nourriture, pas de vie) quel est le but derrière la baisse drastique d’émission de CO2 ?

        Cela m’interroge au plus haut point.

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      • Didier LAIGLE dit :

        Hervé; mais le … grand remplacement; des organes mécaniques à combustion… entre autres !
        Bon certains ont oublié en passant que la « technologie » allait beaucoup moins vite que leurs cogitations idiotes. Même les Constructeurs Auto se sont faits avoir. Pour le véhicule électrique ils n’étaient pas prêts et certains e le sont toujours pas.
        Sans compter tout le reste, camions, tracteurs, bateaux, avions… et toutes les industries.
        Va aussi falloir chercher comment empêcher les vaches de péter ! Ah mais c’est vrai ils veulent nous faire bouffer des pilules ! Oui mais sans la chimie (à base de pétrole majoritairement) comment y vont faire ces empêcheurs de tourner en rond?
        Ah j’oubliais… A fond le nucléaire… et tant pis si la clique Jadot-Rousseau y perd son latin et en bouffe leurs chapeaux ! Sans oublier la ridicule petite Greta, petite poupée (moche) bien téléguidée !

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      • Michel C dit :

        On ne pourra même plus manger des fayots…

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  6. K2r dit :

    Merci de faire çes salutaires rappels et synthèses. Et ne perdons pas de temps avec les trolls. Tous les gens normalement éduqués d’un certain âge ont déjà entendu tellement de sottises dans un sens ou l’autre sur le climat…

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  7. Christophe Nicolas dit :

    Une mesure est toujours dans le cadre d’une théorie, toujours, donc vous pouvez toujours la biaiser en l’interprétant. L’observation la plus pertinente est l’évolution de la mesure dans les conditions identiques mais c’est biaisé pour le climat car l’homme transforme l’environnement. De plus, la température est une grandeur complexe qui dépend de variables associées comme la pression ou la densité, le potentiel chimique, les transformations de phase, le volume, l’isomérie des molécules, etc.. et qui a plusieurs aspects comme le rayonnement, la convection, la conduction.

    Prenons des exemples pour mieux comprendre :

    – Autrefois, on mesurait la température coté nord du laboratoire ou à l’ombre de la végétation du parc du laboratoire. Depuis 2015, la normalisation utilise des stations autonomes solaires à 1,5 m du sol pour une économie d’installation étant donné que l’arrivée d’un câble coûte un bras donc en plein soleil sur un sol dénué de végétation pour diminuer l’entretien et près des axes de circulation car la sécurité les finance en partie pour son usage donc même si le capteur est à l’ombre dans une boite ventilée, la prise de température est dans une grosse bulle d’air chaud car le soleil chauffe le sol qui chauffe l’atmosphère. Il est clair que le ventilateur ne ventile pas à 30 mètres et si vous en doutez, allez faire un tour sur les voies ferrées en été pour comprendre… Voila comment la température s’envole par bonds normatifs successifs.

    – Autrefois, la surface de la banquise était mesurée au doigt levé car elle fait 25 fois la superficie de la France et que c’est un endroit très inhospitalier. Lorsque les satellites ont commencé à faire des mesures, il a fallu calibrer les instruments pour leur apprendre à distinguer l’eau, la glace, la glace fondue avec de l’eau, la neige, les nuages, etc.. et que croyez vous qu’il arriva ? La banquise perdit de la surface à chaque nouvelle façon de mesurer mais l’évolution dans le temps elle sera une donnée fiable si on garde le même calibrage.

    – Autrefois, on mesurait la température à 6h, à midi, à 18h et à minuit si le thésard était insomniaque et avait la clef du laboratoire. Désormais, c’est un relevé en continu mais lorsqu’on multiplie la mesure dans le temps alors les maxima et les minima s’écartent de la moyenne or c’est la fourchette de la météo donc le sens commun est perturbé.

    – Autrefois, on ne faisait pas de fracturation des roches pour en extraire le gaz de schiste (méthane) à l’état supercritique dans le sous sol or la dépressurisation le fait passer à l’état gazeux ce qui le pousse vers la surface mais savez que l’isomérie des molécules change lorsqu’elles passent dans des fines fissures et que cela dégage possiblement beaucoup de chaleur car c’est ce phénomène que Fleischmann et Pons ont identifié comme de la fusion froide pour la molécule d’hydrogène. Ainsi, il est clair que la température au sol du Texas augmente mais que ce n’est pas El Nino ou La Nina qui en sont responsables.

    – Les températures ne s’additionnent pas comme des carottes, c’est l’énergie qui s’additionne, une grandeur créée dans ce but précis mais on ne mesure pas l’énergie car ce serait bien trop compliqué, on mesure la température que l’on additionne. Franchement, c’est très perturbant de voir les plus hauts dirigeants de la planète nous balancer leurs résultats soit-disant évidents sur une hypothèse burlesque, je dis bien burlesque, car on se prend des 0/20 pour moins que ça en sciences. Cette hypothèse de toute évidence fausse valut la réflexion suivante de Vincent Courtillot « On ne sait même pas si cela à un sens… » étant donné qu’il est beaucoup plus diplomate que moi avec les politiciens car il croit aux vertus de la démocratie alors que moi je dis qu’un démocrate qui ment sciemment et persévère sur ce chemin n’est qu’un chapon ou une poule de luxe qu’il faut plumer, farcir, rôtir et servir aux gens simples qui trouvent leurs idées louches afin de les régaler… 🙂

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    • Didier LAIGLE dit :

      Le j’aime passe pas, va savoir pourquoi ! Alors je le dis ici; j’aime !
      Bravo pour les hypothèses burlesques; car c’est bien le terme adéquat, tout comme l’ont été celles de l’équipe Cauchemez-Fontanet de chez Pasteur taillées pour vendre la soupe à Jupiter 1er lors de son allocution du 12/07/2021.
      Qu’importe si des mathématiciens et statisticiens ont démontré ensuite l’impossibilité de reproduire les calculs, un comble en la matière et pour la science toute entière !
      Présentement discuter d’un éventuel « réchauffement » climatique sur la base de relevés de températures (qui plus est mal calibrés en effet) sur une période de 150 ans par rapport à 600 millions d’années de vie sur la planète n’a effectivement aucun sens. Et il faut être au moins bobo-écolo Parisien pour ne pas s’en rendre compte.

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  9. Jean luc Ravenne dit :

    Et là fonte des glaciers, où qu’ils soient, ça ne vous parle pas ? Quel dommage d’être aussi aveugle…

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    • pgibertie dit :

      Mais lisez donc l’article, les élémentsy sont pour les banquises . Il y a une fonte des glaciers en Europe ( pas aussi importante qu’ au Moyen age .

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      • jean luc ravenne dit :

        vous plaisantez, j’espère. au Moyen âge la mer de glace et le glacier d’Argentières descendaient dans la vallée (relisez, relisez)

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      • pgibertie dit :

        Je ne m’interesse pas aux prévisions mais aux faits objectifs sourcés, ils ne sont pas contestés. Le désacord ne peut porter que sur la validité des modèles de reconstruction et le rôle du co2

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    • pgibertie dit :

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    • pgibertie dit :

      https://www.glaciers-climat.com/clg/petit-age-glaciaire/ Nous avons retrouvé la situation de l’an 1000 ou de 1200

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    • Michel C dit :

      @Ravenne

      Oui, on est d’accord avec les glaciers. Et?
      Et donc cela montre que le climat peut changer rapidement, dans un sens ou l’autre sans que le CO2 en soit la cause.
      Sinon on va tous griller comme une omelette norvégienne… :mrgreen:

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      • jean luc ravenne dit :

        la fonte des glaciers indique une montée progressive de la température. On ne fait pas descendre la mer de glace de 250 m en 40 ans comme ça..et les reproductions des 17 et 18 eme siecles sont sans appel : La glace était dans la vallée..
        Le CO2 n’est peut etre pas le seul responsable mais il a certainement sa part.
        Maintenant si vous avez la preuve qu’il y a eu – et sur une aussi longue période – un rechauffement identique, bravo, faites le savoir..
        Les périodes relatées ont toujours ete de brefs épisodes, de qq mois tout au plus.
        Ici on parle de rechauffement progressif sur plusieurs décénies…

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      • pgibertie dit :

        je vous assure tous les rechauffement précédents ont eu lieu sur queelques decennies , c ‘est vrai pour l’optimummédiéval qui se termine au 14eme siècle mais mêê pour les plus anciens comme ceux de l’holocene Les sources sont celles des historiens et archéologues. J ai mis toutes les sources dans l’article Pour la petite histoire personnellej ‘ai aussi une licence de climato et je suis un elève de Leroy Ladurie

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      • jean luc ravenne dit :

        c’est « amusant » comme vous vous réfugiez (protégez ?) dans votre cursus universitaire…car, vous l’aurez remarqué, nombre de climatologues (qui ont certainement suivi de moins bonnes études que les vôtres) sont en total désaccord avec vous.. Les sources n’engagent hélas que l’interprétation qu’on leur donne, surtout au 14eme siecle, encore embrumé dans l’obscurantisme.
        Vous m’assurez donc.. mais d’autres également m’assurent le contraire..
        Je vous suggère l’écoute d’une excellente chanson de Philippe Val : Les versets érotiques (écrites par rapport à Salman Rushdie).. Tout y est dit..en musique, en humour, et en vérité (puisque chacun la détient)

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      • pgibertie dit :

        Que les choses soient claires, je ne me place pas sur le terrain du Giec . Cette organisation politique a fait un travail considérable sur l’évolution des émissions de CO2. Il considère que la quanité de Co2 détermine l’évolution des températures et à partir de là le Giec à reconstruit le climat du passé et prévu celui de l’avenir .

        Ses modèles prédictifs se sont révélés justes et même optimistes pour l’émission de CO2

        Je ne m’interesse pas aux prévisions mais aux faits objectifs sourcés du passé, ils ne sont pas contestés.

        Je rapporte les observations scientifiques sur l ‘évolution récente des températures, du niveau des mers, des banquises et des glaciers, des observations sous marines , de l’évolution du niveau de la mer .

        Sur tous ces points le GIEC s’est complètement planté!

        Le désaccord ne peut porter que sur le rôle du co2 . Et si ce rôle était secondaire?

        Sans preuves scientifiques , nous sommes dans le domaine de la croyance

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      • pgibertie dit :

        La science prédictive n’existe pas. Ni en épidémiologie ni dans le climat. C’est une imposture. De la divination

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      • Michel C dit :

        Ce monsieur fuit, et n’apporte aucun argument contradictoire.
        Il n’a même pas lu l’article, trop long pour lui.
        Il est dans la doxa religieuse.

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      • Michel C dit :

        Comment explique-t-il par ailleurs que Mann n’ait jamais publié ses donnes brut sur sa crosse de hockey?
        Et qu’il ait été débouté par la justice US quand il a tenté de muselé les critiques en les poursuivant devant la justice ? (harcèlement).
        Plus personne du coup pour répondre… Un courageux de plus…

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      • Michel C dit :

        @Ravenne, 11 novembre 2022 à 14 h 19 min :

        Expliquez moi pourquoi la mer montait de 1 cm par il y a quelques centaines d’années, alors qu’aujourd’hui on est à au pire à 3 mm.
        Ou est l’augmentation du niveau des océans de 3 mm à 2 cm en 40 ans? Je la cherche désespérément …
        Peut-être aurais-je plus de chance de trouver une aiguille dans une botte de foin.
        Pour la mer de glace, cela n’indique rien de particulier, étant local.
        Il y a des conditions cycloniques et anticycloniques qui peuvent être en cause.
        De la pluie en été, des poussières d’incendies, du Sahara, un manque de neige en hiver peuvent aussi en être des causes. Sans compter l’activité solaire. Par exemple, cet été, la planète n’a pas été aussi chaude qu’en 1998, ou en 2016 ou 2020. De très loin, et pourtant on a battu des records de chaleurs en France. Chez nous on a égalé le record de 2008 en octobre, mais pas battu.

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      • Michel C dit :

        Ce n’est pas parce qu’il fait 1 ou 2° degrés de plus que la glace fond d’un seul coup. C’est progressif.
        Et pour les glaciers dans la vallée, je suis comme l’auteur, à le clamer.
        Pour la mer de glace, on a retrouvé des troncs d’arbres dans la moraine ou just au-dessus. Expliquez moi donc comment cela peut pousser par -40°?
        Et ce n’est pas le seul endroit à avoir eu des forêts si haut, à 2500 m. Allez donc à Berne le constater dans les archives universitaires.
        À quelle vitesse pousse un mélèze à 2500 m d’altitude?
        Veuillez avoir l’obligeance de m’éclairer 🙂
        Avez-vous une référence qui montre le contraire, puisque vous arguez contre cet article?
        Avec un DOI cela va de soit.

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      • jean Luc Ravenne dit :

        Pour les arbres dans la moraine, simple : ils sont tombés de la rive gauche. D’ailleurs, je crois que l’on n’en trouve que jusqu’au Montenvers. D’autre part, les -40, même à la mer de glace, franchement je n’y crois pas une seconde.. Je ne suis pas climatologue mais (ex) professionnel de l’alpinisme.. Déjà, -25, -30 ce n’est vraiment pas tous les jours, et pratiquement jamais sur une longue durée (supérieure à 1 mois).. Mais je crois qu’il est inutile de perdre notre temps, vous ne croyez pas ? Bonne soirée

        Jean Luc Ravenne Formateur & consultant SQL Server /  BI MCP SQL Server Modélisation, Administration, Optimisation, Audit, Formation 07 64 43 26 80 https://www.linkedin.com/in/jean-luc-ravenne-a0515819 [https://www.linkedin.com/in/jean-luc-ravenne-a0515819]

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      • Michel C dit :

        « Déjà, -25, -30 ce n’est vraiment pas tous les jours ». Non, ce n’est plus tous les jours, mais c’est ce qui aurait pu se faire en continu pendant 1 mois ou 2 s’il faisait plus froid comme vous le suggérez.

        Mais vous ne nous répondez pas sur la croissance des mélèzes à 2500 m… 😦
        Et ce n’était pas rive gauche, mais droite.
        Or il est bien clair que pour un ancien alpiniste professionnel, vous devriez le savoir, non? Car moi aussi j’ai fait la montagne. Et j’ai vu. Si à 2100 m cela pousse lentement, très lentement, reste chétif, alors à 2500 m…
        Expliquez ces gros troncs…

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  10. pgibertie dit :

    Vous me parlez de la situation du petit age glaciaire; le climat n’ ajamais été STABLE , mais je ne fais pas de prédiction , ce n’est plus de la science c’est de la prophétie

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  11. pgibertie dit :

    la variation climatique actuelle correspond à un réchauffement , il y en a eu d’autres et surtout elle n’est ni plus specta ulaire ni plus rapide que les autres

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  12. pgibertie dit :

    Les glaciers des Alpes ont connu leur maximum en 1850 à la fin du petit age glaciaire commencé 500 ans auparavnt
    j’ ai complété rout l’article pour vous repondre

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  13. Lepiaf18 dit :

    Question, à @Jean Luc Ravenne en particulier:
    Qu’est-ce qu’un climatologue ? Quelles sont ses spécialisations ? Et ne pensez-vous pas qu’un archéologue (associé éventuellement à un physicien-chimiste) ait beaucoup plus de « chances » de déduire des informations du passé (études des carottes glaciaires entre autres) concernant les évolutions de l’atmosphère de notre planète qu’un climatologue, métier créé de toutes pièces. Le climat est une résultante de multiples événements et phénomènes à long et court terme; il est valable pour un lieu et/ou une région donnés compte tenu d’autres paramètres (relief, exposition aux vents, proximité de la mer, etc…); on ne peut donc raisonner de manière générale pour la planète entière.
    Je reprendrai votre exemple de la Mer de Glace; comme d’autre glaciers, elle fond. Par conte dans le même temps la banquise, elle, a augmenté. Regardez bien les graphiques, la forme est modifiée, mais en superficie c’est plus grand ! Ce qui confirmerai les propos de P. Gibertie, moins de montée des eaux depuis quelques temps déjà.
    Enfin, je suppose en voyant votre « profil » que vous n’avez pas connu les frimas d’il y a 50-60 ans. A cette époque les -30 étaient courants dans les Alpes au-dessus de 2500-3000 m. Déjà dans les années 80 on avait couramment -20 à 800-1000 m dans le Puy-de-Dôme (Besse ou La Bourboule) avec 50 cm à 1 m de neige.
    Enfin regardez justement plus particulièrement la période du Moyen-âge (1400-1500) et comparez températures et CO2 et dites moi ce que vous en déduisez.
    PS: Il faudra faire confiance aux archéologues, anthropologues et historiens parce que sauf erreur il n’y a plus de témoins !

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