LA COMMISSION EUROPEENNE VEUT NOUS FAIRE MANGER DES INSECTES , la malbouffe s’adapte…après les végans, les insectivores, idiots utiles de l’industrie agro alimentaire

Au cours de son histoire l’humanité a mangé des insectes pour survivre, cette pratique se retrouve dans le monde subtropical où se concentrent en abondance les espèces dites comestibles. Des études scientifiques parlent de la consommation de 250 espèces d’insectes en Afrique, 549 au Mexique, 180 en Chine, et 160 dans la région du Mékong.

Chaque civilisation possède ses particularitéés culinaires; escargots, grenouilles…

Mais pour la première fois l’industrialisation et la généralisation de la culture de certains insectes sont présentées comme un moyen de sauver l’humanité. Après le Macdo et le coca,la fausse viande des végans… les insectes …Le vieux con que je suis a beaucoup de nostalgie de la civilisation paysanne disparue :

https://www.bod.fr/librairie/yvonne-gibertie-la-cuisine-des-femmes-en-perigord-patrice-gibertie-9791095867166

Que faut il en penser? Et s’il ne s’agissait que d’une nouvelle adaptation de l’agro business et de la malbouffe ?

Après les injections expérimentales , la nourriture de tous les dangers…Les perspectives financieres sont fabuleuses , qu’importe la santé? Ni pire ni meilleure que les formes actuelles de la malbouffe , une adaptation à la grande peur du réchauffement climatique…

Aujourd’hui, la plupart des aliments sur notre table sont transformés, c’est-à-dire qu’ils sont passés par un processus industriel, tandis que notre consommation de produits frais, elle, baisse. Avec à la clé des maladies comme l’obésité, le diabète, les cancers l’hypertension, etc.

Le soja entierement transgénique et la surrabondance de produits laitiers sont faussement présentés comme une alternative, et maintenant les insectes…

Nous refusons de cultiver et de consommer des OGM mais une grande partie de nos aliments d’origine animale (viandelaitoeufspoissons…) sont produits à partir de soja génétiquement modifié. 95% du soja brésilien est génétiquement modifié, estime Greenpeace.On estime que la dépendance en protéines de l’élevage européen est d’environ 60 à 70%, celui de la France d’à peu près 40%.

Sur l’ensemble des importations européennes, les trois quarts sont destinés aux élevages industriels de poulets de chair et poules pondeuses (50%), et de porcs (24%). Les vaches laitières consomment 16% du soja importé et les vaches allaitantes (races à viande) 7%.

Encore fut il ajouter que ce soja est produit avec une utilisation massive de pesticides interdits en Europe

Paul Ariès : «Le véganisme est le cheval de Troie des biotechnologies alimentaires»

 Les végans sont les idiots utiles des fausses viandes, des faux fromages, des faux laits qui vont bientôt envahir nos étals, avec, par exemple, de la fausse viande réalisée à partir de cellules-souches. Un consortium fort de 2,2 billions de dollars entend imposer avec Jérémy Coller ces «fausses viandes». Tout est prêt: les brevets, les capitaux, l’acceptabilité, on calcule déjà le retour sur investissement! Si l’idéologie végane n’existait pas, le secteur de l’industrie agro-alimentaire devrait l’inventer.

Une société a toujours besoin de grandes utopies: celles du XXe siècle se sont conclues en tragédies. La nature ayant horreur du vide, le véganisme prend la suite d’autres idéologies mortifères comme le stalinisme qui promettait aussi des lendemains qui chantent et prétendait aussi apporter l’égalité. Le véganisme est le cache-sexe du courant dit de la libération animale ou de l’égalité animale. Ces fantasmes végans sont d’autant plus en phase avec notre modernité que nous avons largement perdu tout contact avec la nature, c’est pourquoi la pensée végane est d’abord une pensée urbaine, et qu’ils coïncident aussi avec les stratégies alimentaires des grands groupes économiques.

Le premier gros mensonge des végans est de vouloir faire croire que l’élevage serait la cause de la famine, comme si la responsabilité était celle d’un régime alimentaire et non d’un système. Les animaux ne sont pas nécessairement des concurrents aux besoins alimentaires humains. Une vache est un miracle de la nature, qui mange de l’herbe et la transforme, pour nous, en protéines.

Le vrai scandale est que l’industrialisation pousse à nourrir des animaux avec des céréales, que l’agriculture industrielle consomme, aujourd’hui, plus de calories qu’elle n’en apporte. Les végans accusent aussi les omnivores d’être responsables de la crise de l’eau potable menaçant l’humanité. Vous connaissez les chiffres: il faudrait 1 000 litres d’eau pour un kg de blé et 15 000 pour un kg de bœuf, mais ces chiffres confondent l’eau réellement consommée par les vaches, 3 % du total, l’eau nécessaire à l’assainissement, encore 3 %, et les 94 % que représentent l’eau de pluie qui fait pousser les végétaux .

L’agriculture est la principale cause de gaspillage de l’eau avec des taux de perte de 40 à 60 %. La firme McDonalds ponctionne autant d’eau pour l’ensemble de son processus industriel que le quart de l’humanité…

 Les «lundis sans viande» ne sont ainsi pas nécessairement plus écologiques, car tout dépend de quelle viande vous parlez, issue de l’élevage industriel ou de l’élevage fermier, et de quelles céréales. Une prairie avec ses vaches ne constitue pas, par exemple, une source mais un puits de carbone. Une prairie de moyenne montagne absorbe environ une tonne de CO2 par hectare et par an. Le problème des végans, c’est d’avoir l’imaginaire claquemuré par le système industriel actuel, ils n’arrivent même pas à imaginer que puissent exister d’autres élevages que l’élevage hors-sol. J’ajouterai que si nous devons relocaliser notre alimentation, et il faut le faire, il est beaucoup plus facile de relocaliser l’élevage que l’agriculture, notamment céréalière, en raison du climat. L’agriculture végane, comme le système actuel, serait incapable de nourrir huit milliards d’humains. La seule solution pour compenser la perte du fumier serait d’avoir toujours plus d’engrais industriels!

La véritable écologie est du côté des fermes polyvalentes qui produisent, à la fois, des légumes et des fruits, de la bonne viande, mais aussi, grâce au fumier et au lisier, de la bonne terre, de l’humus.

https://www.lefigaro.fr/vox/societe/2019/01/18/31003-20190118ARTFIG00249-paul-aries-le-veganisme-est-le-cheval-de-troie-des-biotechnologies-alimentaires.php

Demain nous mangerons des insectes ou mieux des insectes nourris de déjections humaines, En rire ou en pleurer? On les mange déja, c’est tendance , les études scientiques , tout le monde s’en fout..

La malbouffe insectivore de demain sera plus allergène et cancérigène , plus riche encore en sel, en arômes artificiels (il suffit de voir les premiers produits à base d’insectes mis sur le marché), plus pauvre en fruits et légumes…

Préparez à minima la ventoline pour déguster les insectes « sans danger » que vient d’autoriser Van DER la Hyene

Bill Gates après avoir investi dans les vaccins se tourne vers l’alimentaire et les « nourritures nouvelles »

LE BUSINESS EST LANCE? ALORS MODE POUR BOBO OPPORTUNITE OU POISON ?

Sur ce marché, le Français Ÿnsect, spécialisé dans la production d’insectes à des fins nutritionnelles, est présent en Europe et en Asie. La startup financée par Astanor Ventures, Upfront Ventures ou encore FootPrint Coalition, le fonds de l’acteur Robert Downey Jr., ambitionne de finaliser la construction de sa ferme d’insectes à Amiens dans le nord de la France, qui devrait être la plus grande du monde en son genre. De son côté, InnovaFeed a levé 140 millions d’euros auprès de Temasek, fonds souverain singapourien, et Creadev, fonds d’investissement de la famille Mulliez, qui vont notamment permettre la construction d’une usine aux États-Unis.

https://www.francetvinfo.fr/economie/emploi/metiers/agriculture/des-metiers-pour-demain-eleveurs-d-insectes_2640342.html

LA SCIENCE CONTRE LES INSECTES

Marcel Dicke de l’université de Wageningen au Pays-Bas estime entre 500 g et un kilogramme notre consommation involontaire annuelle de fragments d’insectes, notamment dans les produits fabriqués à base de farine (pain, pâtes, biscuits, etc.), chocolat, fruits et jus de fruits et légumes.

Les dangers sanitaires associés aux insectes ou produits d’insectes peuvent être de deux grands
types :

  • spécifiques à l’espèce : présence de dangers microbiens ou d’origine microbienne, de
    corps étrangers, de substances toxiques (intrinsèques ou bioaccumulés), de substances
    anti-nutritionnelles ou d’allergènes ;
  • liés aux pratiques d’élevage (alimentation, médicaments vétérinaires), de transformation ou
    encore aux conditions de conservation et de transport.
    Les dangers présentés ici peuvent concerner à la fois l’alimentation humaine et animale, et
    décrivent surtout le manque de connaissance permettant une analyse des dangers exhaustive.

La consommation humaine d’insectes (aussi appelée entomophagie) est une pratique traditionnelle dans certaines régions d’Asie, Afrique ou Amérique latine. Plus de mille espèces d’insectes sont consommées à travers le monde. La FAO (l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture) a initié en 2008 des travaux pour promouvoir la consommation d’insectes comme source de protéines, matières grasses et micronutriments. Ils sont consommés sous forme d’œuf, de larve, de chrysalide ou au stade adulte, suivant les insectes concernés [1]. Selon l’agence onusienne, les insectes font partie des repas traditionnels d’au moins deux milliards de personnes et les insectes les plus consommés sont les scarabées (coléoptères, 31 %), les chenilles (lépidoptères, 18 %), les abeilles, guêpes et fourmis (hyménoptères, 14 %). Ensuite, ce sont les sauterelles, criquets et grillons (orthoptères, 13 %), les cigales, cicadelles, cochenilles et punaises (hémiptères, 10 %), les termites (isoptères, 3 %), les libellules (odonates, 3 %), les mouches (diptères, 2 %) et des insectes appartenant à d’autres ordres (6 %).

La consommation d’insectes ou de protéines d’insectes peut présenter des dangers potentiels microbiologiques (dus à la présence de microorganismes pathogènes), toxicologiques (induits par la présence de molécules toxiques sur ou dans les insectes), nutritionnels (induits par la présence de substances anti-nutritionnelles – qui interfèrent avec l’absorption des nutriments).

Les dangers de cette consommation viennent de la présence de toxines produites par les insectes eux-mêmes, des métaux lourds, des résidus de pesticides et des mycotoxines qu’ils peuvent contenir et, bien entendu, des risques allergiques. Ces dangers varient avec le type d’insecte et son origine (cueillette sauvage ou élevage).

MALADIES A PRIONS

Les dangers liés aux agents transmissibles non conventionnels (ATNC) sont aussi à
prendre en compte. La possibilité que des ectoparasites puissent servir de réservoir ou
de vecteur aux prions a été suggérée dans plusieurs publications (Lupi 2006;
Wisniewski, Sigurdarson et al. 1996). La transmission horizontale de la tremblante des
petits ruminants au sein de troupeaux infectés est reconnue et les insectes pourraient
jouer un rôle actif dans la contamination. Des bio-essais ont été réalisés en laboratoire à
partir de pupes d’insectes (Sarcophaga carnaria), ayant ingéré des éléments de système
nerveux central infectieux.

Des hamsters nourris expérimentalement avec ces insectes ont par la suite développé la
tremblante. Des mouches adultes auraient aussi la capacité d’exprimer des protéines
prions (Lupi 2003; Post, Riesner et al. 1999). Le risque lié aux ATNC ne peut donc être
exclu (13).

L’avis de l’Anses

Des risques sanitaires possibles

Comme tous les aliments, les insectes peuvent véhiculer certains dangers qui doivent être maîtrisés par la fixation de normes spécifiques afin de réduire les risques potentiels liés à la consommation de ces produits.

Ces dangers sont principalement liés :

  • à des substances chimiques (venins, facteurs antinutritionnels, médicaments vétérinaires utilisés dans les élevages d’insectes, pesticides ou polluants organiques présents dans l’environnement ou l’alimentation des insectes, etc.) ;
  • à des agents physiques (parties dures de l’insecte comme le dard, le rostre, etc.) ;
  • à des allergènes communs à l’ensemble des arthropodes (acariens, crustacés, mollusques, etc.) ;
  • à des parasites, des virus, des bactéries et leurs toxines ou encore des champignons ;
  • aux conditions d’élevage et de production, pour lesquelles il conviendrait de définir un encadrement spécifique permettant de garantir la maîtrise des risques sanitaires.

Les toxines naturelles produites par les insectes

On distingue deux catégories d’insectes quant à leur capacité de synthétiser des toxines [3] : les insectes phanérotoxiques et les insectes cryptotoxiques.

Les insectes phanérotoxiques possèdent un organe dédié à la synthèse de substances toxiques (abeilles, guêpes et fourmis). L’intoxication se produit par contact (par exemple avec les soies urticantes de la chenille processionnaire du pin) ou inoculation à l’aide d’un dard. Il existe peu de cas d’intoxication induits par la consommation d’insectes phanérotoxiques, les substances toxiques semblant inactivées dans le tube digestif. Des piqûres dans la bouche et l’œsophage constituent les dangers potentiels de ces insectes, mais hors d’un contexte alimentaire.

Les insectes cryptotoxiques synthétisent des substances toxiques qui s’accumulent dans des organes spécifiques ou diffusent dans tout le corps. Ces toxines rendent les insectes cryptotoxiques potentiellement dangereux lors de la consommation humaine. Les toxines produites par les insectes sont des éléments de leur mécanisme de défense, des substances chimiques répulsives ou toxiques [4]. Elles présentent une grande diversité sur le plan chimique. Ainsi, par exemple, certains scarabées contiennent des métabolites des stéroïdes (hormones sexuelles). Dans le cas de consommation fréquente, on observe des retards de croissance, des hypofertilités, des masculinisations mais également des œdèmes, des hépatites et des cancers du foie [3]. Zygaena est un papillon vivement coloré consommé par les enfants dans une région du nord-est de l’Italie (Carnia). Ces papillons présentent un jabot au goût sucré très apprécié des enfants. Ce goût sucré est dû à la présence de composés de sucres et de cyanure (glucosides cyanogéniques) qui libèrent du cyanure d’hydrogène lors de leur dégradation [5]. Heureusement, on ne retrouve que de très petites quantités de substances toxiques et de grandes quantités de divers sucres. Lytta vescicatoria, la cantharide officinale, est un insecte qui synthétise de la cantharidine stockée au niveau des ovaires et des œufs. La cantharidine provoque des irritations de la vessie et de l’urètre, mais elle est létale si elle passe dans la circulation sanguine. La cantharidine est également connue pour ses propriétés aphrodisiaques qui valurent au marquis de Sade d’être embastillé pour empoisonnement après avoir offert des bonbons à la cantharide à quatre femmes lors d’une soirée. Elle pourrait également être à l’origine de la mort du président Félix Faure, décédé à l’Élysée en « charmante compagnie » et qui en aurait été consommateur.

Les mycotoxines

Les mycotoxines sont des métabolites secondaires produites en conditions de stress par certaines espèces de champignons tels que ceux des genres Aspergillus, Fusarium et Penicillum. Étant thermostables, ces mycotoxines ne sont pas éliminées lors de la cuisson des aliments contaminés. Des larves d’Imbrasia belina récoltées sur douze lieux différents, puis vendues sur les marchés de Gaborone (capitale du Botswana) pour être consommées en tant que snack ou condiment, ont été étudiées [6]. Une mycotoxine (l’aflatoxine) a été retrouvée dans certains échantillons, et pour plusieurs d’entre eux, avec une teneur pouvant atteindre 50 μg/kg d’insecte. Cette mycotoxine est à la fois génotoxique et cancérogène. Par ailleurs, comme pour toutes les mycotoxines, sa présence est difficile à éviter. En conséquence, leur niveau doit être maintenu au plus bas possible. Même constatation, côté EFSA.

Les métaux lourds

Les métaux lourds, tels que le plomb et le cadmium, sont naturellement présents dans l’environnement. La population humaine peut notamment y être exposée par le biais d’ingestion d’aliments. Du fait de leur accumulation dans l’organisme humain au fil du temps, ils peuvent provoquer des effets indésirables. Leur assimilation par les insectes s’est révélée dépendre à la fois du métal, du sol, de l’espèce et du sexe [7,8]. Leur concentration au sein des aliments dépend également de la méthode de préparation, comme le séchage ou la dilution.

Deux espèces comestibles de coléoptères récoltées sur un marché dans le sud-ouest du Nigeria, le Rhynchophocus phoenicis et l’Anapleptes trifaciata, présentaient respectivement 0,03 mg de plomb par kg d’insectes et 0,06 mg de plomb par kg d’insectes [9]. L’analyse de larves de Rhynchophorus phoenis crues, récoltées au Nigeria et consommées dans plusieurs pays africains, dont le Cameroun, l’Angola et le Nigeria, a révélé la présence de 2,1 mg de plomb par kg [10] d’insectes. En parallèle, des vers à soie au stade de pupe (Antheraea perni) récoltés en Chine contenaient 1,13 mg de plomb par kg d’insectes [11]. Or le plomb peut provoquer chez l’adulte des effets toxiques graves. L’EFSA (l’Agence européenne de sécurité alimentaire) a fixé des doses limites concernant la néphrotoxicité (0,63 μg/kg de poids corporel/j) et la cardiotoxicité (1,5 μg/kg de poids corporel/j) [12].

Plusieurs études ont également analysé la teneur en cadmium d’espèces d’insectes. Des vers à soie préparés et vendus en Thaïlande contenaient 0,199 mg de cadmium par litre de larves et 0,261 mg de cadmium par litre de pupes d’insectes [13]. Des larves de Rhynchophorus phoenicis crues contenaient 0,39 mg de cadmium par kg [10]. Or, le cadmium a une demi-vie de 30 ans chez l’être humain et s’accumule donc au sein de l’organisme, causant principalement des dommages aux glomérules rénaux. Il est également associé à une augmentation du risque de cancer.

Outre le plomb et le cadmium qui sont les plus majoritairement cités dans les publications, une étude a également quantifié la présence d’arsenic dans des vers à soie au stade de pupe (Antheraea perni) à des concentrations importantes de 1,30 mg/kg [11]. Or, l’arsenic est cancérogène et peut à long terme exercer une neurotoxicité.

Le risque allergique

Le problème des allergies alimentaires potentiellement induites par la consommation de protéines d’insectes ou insectes comestibles est largement traité dans le rapport publié par l’Anses en 2015 (l’Agence « recommande la prudence aux consommateurs présentant des prédispositions aux allergies » en attendant un encadrement régimentaire adapté). Des cas de chocs anaphylactiques ont été décrits après l’ingestion de chenilles mopane, dont l’un chez un adolescent, confirmé par des tests rétrospectifs [14,15]. Des cas de réactions croisées chez des patients allergiques à des crustacés ont été identifiés en testant le sérum de ces patients en présence d’extraits de Mecopoda elongata (criquet consommé en Thaïlande et Malaisie), de Periplaneta american (cafard en Chine et au Japon), de Drosophila melanogaster (mouche des fruits au Mexique) ou de Tenebrio molitor (vers de farine) [16,17,18].

Elle repose sur des pan-allergènes, la tropomyosine mais aussi sur d’autres allergènes comme l’arginine kinase, la triose-phosphate
isomérase et les tubulines. Les deux premières ont été identifiées comme les principales protéines
responsables de la réaction croisée

Les patients allergiques aux acariens (Derp 10) et aux crustacés peuvent être à risque lorsqu’ils consomment des aliments contenant des protéines de vers de farine

https://www.researchgate.net/publication/324933955_Insect_food_allergy_and_allergens

: les insectes provoquent les mêmes allergies que les crustacés, mollusques, araignées, acariens… du fait qu’ils contiennent de la chitine. 

La chitine n’est pas une protéine, mais un polysaccharide ressemblant à la cellulose, différent de celle-ci par des groupements azotés.
La chitine elle-même est très résistante aux acides. Industriellement, les cuticules sont traitées avec de l’acide pour dissoudre le carbonate de calcium, puis avec du KOH pour éliminer les protéines. Cette étape va aussi produire une désacétylation de la chitine qui va donner du chitosane.

Le chitosan est un complément alimentaire. C’est un dérivé de la chitine, une substance que l’on trouve principalement au sein des carapaces de crustacés.
Le chitosan est réputé pour sa contribution présumée à la perte de poids. D’autres bienfaits lui sont attribués, notamment la régulation de la pression artérielle et du taux de cholestérol LDL.

La richesse en chitine des insectes comestibles peut toutefois poser un problème de
digestibilité car les chitinases identifiées dans les sécrétions gastriques ne paraissent
pas suffisamment actives pour hydrolyser ce polymère.

la dangerosite des insectes autorisés

Les auteurs rapportent deux cas d’allergie respiratoire au criquet migrateur (Locusta migratoria) survenue chez deux chercheuses travaillant dans un laboratoire où sont élevés environ 15 000 criquets. Après une période d’exposition de 6 mois chez l’une et de 3 ans chez l’autre, sont apparus une rhinite et un asthme, se reproduisant après chaque contact avec les criquets. Les intradermo-réactions effectuées avec un extrait de corps entier et un extrait de déjections de criquet sont positives aux concentrations du 1/100 000 et au 1/1 000 000. La sensibilité cellulaire, étudié par l’histamino-libération in vitro, est de 10−7 g/ml dans un des cas et de 2,5 × 10−8 g/ml dans l’autre. Après un bref rappel de la systématique, de la morphologie et de l’écologie des criquets, les différentes hypothèses concernant les fractions allergéniques actives responsables de l’allergie respiratoire aux criquets sont envisagées. Ces fractions semblent contenues dans la cuticule et dans les excreta qui, en se desséchant, forment un mélange très pulvérulent. La cuticule contient trois fractions principales : l’arthropodine, la sclérotine et la chitine ; seule la première, de nature protéique, serait allergisante. L’existence de réactions d’identité partielle avec d’autres arthropodes, ainsi qu’avec la poussière de maison, est discutée. Lorsque l’éviction n’est pas possible, le traitement de l’allergie respiratoire aux criquets repose sur des mesures préventives tel que le port de combinaisons hermétiques. Le cromoglycate disodique ainsi que la désensibilisation méritent d’être tentés.

Manger le ver de farine jaune est dangereux pour ceux qui souffrent d’allergies aux crevettes ou aux acariens ;réaction à la protéine, qu’elle soit sous forme de poudre, comme un composant d’un produit cuit au four, ou entière et consommée comme un apéritif.

BILL GATES, PREMIER EXPLOITANT AGRICOLE MONDIAL

Dans une interview accordée à la revue MIT Technology Review, Bill Gates rappelle que des alternatives à la viande existent, et défend l’idée que les pays les plus développés devraient laisser tomber la viande pour des équivalents de synthèse. «Je ne pense pas que les 80 pays les plus pauvres mangeront de la viande synthétique à l’avenir. Je pense par contre que tous les pays riches devraient passer à une viande de bœuf 100% synthétique. On s’habitue à la différence de goût, qui va s’améliorer avec le temps», assure-t-il.

La fondation Bill & Melinda Gates est une fondation américaine philanthropique créée en janvier 2000, à l’initiative de Bill Gates, entrepreneur milliardaire, fondateur et principal actionnaire de Microsoft depuis 1975. Pionnier dans le secteur informatique, il s’intéresse désormais aux enjeux environnementaux et aux menaces qui pèsent sur les populations. Dans le cadre de ses ambitions vertes, il a acquis des terres arables aux États-Unis pour y mener des expérimentations sur l’agriculture durable et les cultures climato-résistantes. Au total, il détient presque 100.000 hectares dans 18 États 

Ces investissements sont présentés comme des leviers de promotion des valeurs défendues par la fondation : un futur viable pour l’environnement et les populations. En 2018, il avait déjà investi 30 millions de dollars dans des recherches sur l’élevage pour créer une vache laitière capable d’un rendement européen sous un climat africain. Il a aussi misé sur le développement de la « viande » végétale en devenant actionnaire de Beyond Meat et Impossible Food.  Son pari est conforté par une étude AT Kearney portant sur la consommation de viande d’ici 2040. A cette date, 60% des viandes consommées seront végétales ou des viandes souches élevées en laboratoire, sans oublier les insectes.

A propos pgibertie

Agrégé d'histoire, Professeur de Chaire Supérieure en économie et en géopolitique, intervenant àBordeaux III et comme formateur à l'agrégation d'économie à Rennes Aujourd'hui retraité
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32 commentaires pour LA COMMISSION EUROPEENNE VEUT NOUS FAIRE MANGER DES INSECTES , la malbouffe s’adapte…après les végans, les insectivores, idiots utiles de l’industrie agro alimentaire

  1. Monsieur, Je suis végétarienne depuis toujours, et je l’ étais à une époque, ou l’ être était quasiment considéré comme une tare. Depuis bientôt 30 ans, je suis devenue vegan, donc si j’ai bien compris je suis l’idiote utile ? Vous ne pouvez donc pas imaginer que l’on puisse refuser de manger des animaux, uniquement parce que nous voyons en lui l’ autre et non pas de la viande ? Savez vous qu’il y a plus de 4000 élevages intensifs en France, que 3 millions d’ animaux sont tués chaque jour pour nourrir ceux qui ne manquent de rien ? C’ est la première fois que je suis déçue par un texte de vous, mais je le suis. Bien cordialement.

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    • Corinne dit :

      Merci madame, moi aussi vegan( hou ! Une deuxième idiote!!), je pense que pas 1% des français consomme de la viande non industrielle, …le problème pour la majeure partie des vegans , que ne semble pas connaître monsieur Gibertie, c’est de tuer et manger des êtres qui ne veulent pas mourrir et qui ont vécu les pires atrocités avant leur mort (salvatrice), pour remplir nos assiettes de goinfres gavés. Viande industrielle ou « paysanne  » c’est la même souffrance pour l’animal…
      Sachez que la préoccupation pour la cause animale remonte à l’antiquité…ex: Porphyre de Tyr: »en tuant des animaux, on introduit plus de violence et d’injustice dans ce monde »(3eme siècle av jc)… Vous êtes effectivement décevant d’ignorance sur le véganisme monsieur Gibertie …

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      • Lepiaf18 dit :

        C’est amusant cette dérive des dits « végans » contre nous, pauvres omnivores, non pas de « culture bobo, mais par hérédité. On est doté de canines, caractéristique des « carnivores », même si au fil du temps notre alimentation a évolué.
        Je passe sur les carences et les nocivités éventuels d’un régime soit purement végétal soit purement animal; pas assez de place ici.
        Et c’est vous qui faites des amalgames. Vous n’êtes absolument pas visés (les végans de conviction) par cet article, même si effectivement vous êtes par définition peut-être à ranger parmi les idiots utiles.
        Le tableau décrit ressemble fort à un retour puissant en arrière au temps où on avait un potager, où on allait chercher le lait directement au pis de la vache, qui elle mangeait exclusivement de l’herbe du pré, etc, etc… Bref avant l’expansion de l’agriculture intensive et cette foutue mondialisation.
        donc en résumé, vous vous plantez juste de raisonnement. mangez ce que vous voulez, mais ne demandez pas aux autres de faire comme vous.
        Entre tomates de hollande qui n’ont vu ni la terre, ni le soleil et sont issues de graines OGM et celles de mon jardin issues de semences anciennes sans pesticides ni engrais chimiques, il n’y a pas photo, non? Avec un cuisse de poulet jaune ou noir du cru ça va bien, je vous l’assure ! Bon c’est vrai, je ne lui ai pas demandé au poulet quand je l’ai saigné !
        Mais dans ce domaine que pensez-vous de la lionne qui se « fait » une antilope au petit déjeuner pour nourrir sa troupe?.
        L’être humain est en haut de la chaîne alimentaire des mammifères (et sans doute du reste des êtres vivants, mais ça c’est moins sûr, je n’approfondis donc pas !). Dans le temps on appelait ça des « chasseurs-cueilleurs ». Pas de gaspillage, protection de la ressource (fallait ensuite se déplacer quand y’avait plus !). Alors STOP. Il n’y a pas lieux d’opposer les choix d’alimentation, le problème n’est pas là. Le problème c’est qu’en général vous ne voyez pas que votre pratique est hyper médiatisée (pour pouvoir exister commercialement, peut-être, ça me rappelle l’hystérie à propos du bio) et récupérer par des gens qui y ont juste un intérêt financier.
        mangez donc des tartines de soja OGM et laissez nous manger nos poulets ou nos cochons « naturellement » engraissés !

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      • Michel C dit :

        Lepiaf18, si vous mangez une cuisse de poulet jaune ou noir du cru, elles vont croire que vous les mangez cru…Pour mager du piaf, elles vont penser que vous êtes un rapace…

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    • herve_02 dit :

      Madame,

      je comprends votre vision de l’animal comme un autre que l’on doit respecter et ne pas manger. Je ne la partage pas, mais je peux le comprendre.

      Ce que j’ai du mal à comprendre, c’est que la place que vous accordez à l’animal, vous ne l’accordez pas à l’humain. Par exemple si manger un oeuf c’est « avorter »peut être un poussin (encore faut-il un coq) que pensez vous alors des IVG qui sont un « avortement » d’un enfant. (le foetus n’est pas moins un être en devenir qu’un jaune d’oeuf).

      Par exemple, je peux comprendre que la maltraitance animale dans les fermes industrielles vous choque. Mais que pensez vous de la maltraitance des enfants dans les fermes à apprentissages que l’on appelle école. Pendant ces 2 dernières années l’institution à massacré des enfants dans des conditions pires que dans les élevages animaux. Dans certains endroits les toilettes étaient fermés toute la journée. Des petits étaient laissés dans des culottes mouillées jusqu’au soir. Mais ce n’est pas important n’est-ce pas ? autant bouffer du tofu plutôt que du fromage, ça c’est important. Je passe sous silence le caractère perturbateur endocrinien du soja, même non transgénique.

      Par exemple des enfants de familles précaires dorment dans la rue ou ne mangent pas tous les jours. Mais c’est plus important que le veau ne naisse pas pour qu’il ne soit pas mangé.

      je comprends intellectuellement votre combat, d’autant plus que nous avons des poules, qui sont probablement mieux traités que vos enfants ou petits enfants dans les écoles, mais je trouve qu’il y a des combats bien plus importants à régler AVANT.

      Ainsi, je suis désolé d’avoir à vous le dire, mais le bien être d’un veau passera APRÈS le bien être des enfants humains dans mes combats. donc maintenant que vous avez réglé de votre coté le problème animal, réglerez vous celui des enfants humains ? allez vous sortir vos enfants ou petits enfants des écoles ? militez pour que vos voisins fassent de même ?

      J’oubliais.. puisque le veau doit téter le lait de sa mère est-ce que vous militez pour l’allaitement maternel ? plutôt que de donner du lait de vache aux enfants ou le pire de tout des laits végétaux ?

      je ne sais pas ce qui se passe dans cette société ou le bien être des animaux semblent plus important que le bien être des humains (je ne concidère pas que le droit de manger des animaux fait parti de ce bien être) que le chien ou le chat est plus important que le bébé 3 rues plus loin. Quelles pertes de repères tout bêtement humains est arrivé pour en arriver là.

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      • Corinne dit :

        Monsieur,
        Vous faites des amalgames par ignorance et/ou par bêtise…il est évident que si les vegans sont sensibles à la souffrance ils le sont à la souffrance humaine…Gandhi ne disait il pas qu’on reconnait le degré de civilisation d’un peuple à la manière dont il traite ses animaux????… Nous sommes bien bas si j’en juge par vos écrits.
        Et vous, que faites vous pour améliorer le sort des enfants ?

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      • Mr,
        Vous avez la mauvaise manie, comme bien souvent les carnivores, de tout mélanger..
        On peut être Végans, végétarien ou végétalien c’est à dire honnir cette sombre industrie de la viande (pour tout ce qu’elle représente de terrible) et avoir conscience de tout ce que vous avez décrit concernant les enfants et ce que les adultes leurs ont fait subir, surtout depuis 2 ans, autrement dit, on peut aimer les animaux et certainement pas dans l’assiette et aimer / défendre les enfants, les faibles, les fragiles, les anciens…
        Il faut arrêter de comparer animaux et humains, une bonne fois pour toutes, ils sont totalement différents, et si beaucoup font, comme moi, de l’anthropomorphisme «conscient et accepté» nous n’en sommes pas moins conscients de leurs différences..
        Domi, Association de PA

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      • Monsieur, Comment pouvez dire que la place que j’ accorde à l’ animal je ne l’ accorde pas aux humains ?Relisez vous! Vous ne me connaissez pas, et me faites un procès d’intention? Qu’ ai-je écrit qui puisse vous permettre une telle interprétation ?En quoi ne pas vouloir faire souffrir les animaux, se battre contre l’ expérimentation enlève quoique ce soit aux humains et surtout empêche d’ aider ses semblables ? En tous les cas, en ce qui me concerne ça n’ a jamais été le cas. Etre vegan, ce n’ est pas ne pas aimer les humains, c’ est au contraire respecter son prochain, le considérer. Notre destin est intimement lié à celui des animaux, et ne pas le comprendre c’ est oublier que nous aussi sommes des animaux; humains bien entendu, mais animaux. Faire passer les humains avant les animaux est ridicule.Si vous attendez que l’humanité soit juste, ne tue plus son semblables, ne le torture pas, avant de vous occuper de ceux qui ne peuvent s’opposer, c’ est dire de façon détournée que vous n’ en avez rien à faire que 3 millions d’ animaux soient égorgés chaque jour pour nourrir ceux qui ne manquent de rien. Que peut vous chaut que des milliers d’ animaux soient torturer dans les labos. Qu’ils soient torturés dans des spectacles qui déshonorent notre espèce, sans parler bien entendu de la chasse. Cette cause est la dernière des priorités pour la majorité que vous illustrez très bien. Je ne vous raconterai pas ma vie, mais je viens d’une famille dont certains ont été expérimentés, pour partir ensuite en fumée, et c’ est la raison pour laquelle j’ ai choisi en particulier de me battre contre l’ expérimentation, car comme le dit Yourcenar, si nous n’ avions pas accepté le pire du pire pour les animaux, les hommes n’ auraient jamais commis ce qu’ils ont commis. Je n’ai jamais cessé de dénoncer les expériences faites sur des enfants défavorisés,( en Afrique) et les aider selon mes possibilités. Au contraire de vous, jamais quelqu’un qui se bat sur le terrain pour aider des humains, ne dénigrera ceux qui se battent pour les animaux. Pour terminer, voici un texte qui a été pour moi révélateur. Bonne route. « La vraie bonté de l’homme ne peut se manifester en toute pureté et en toute liberté qu’à l’égard de ceux qui ne représentent aucune force. Le véritable test moral de l’humanité (le p lus radical, qui se situe à un niveau si profond qu’il échappe à notre regard), ce sont ses relations avec ceux qui sont à sa merci : les animaux. Et c’est ici que s’est produite la faillite fondamentale de l’homme, si fondamentale que toutes les autres en découlent. »
        (Milan Kundera – L’insoutenable légèreté de l’être) Gallimard Page 365

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      • herve_02 dit :

        ah, le fameux-fumeux pas d’amalgames.

        Vous prenez le problème à l’envers « on » (l’indutrie) traite les animaux comme cela parce que « on » (la population) accepte qu’on traite les humains comme cela et donc comme on laisse des enfants crever de faim, dormir dans la rue, qu’on laisse avorter très très tard (il suffit de dire thérapeutique – aller lire un peu sur le sujet), qu’on massacre les enfants à l’école et plus encore pendant ces 2 dernières années, qu’on enferme les population sur ordres débiles du prince… Vous pensez que les gens vont être sensibilisés à la truie enfermé dans une cage à ne faire que pondre ? un animal ? on a laissé pendant 8 ans un régime massacrer une partie de sa population mais on DOIT faire attention aux petits veaux ? vous le pensez sérieusement ?

        Si vous voulez changer de civilisation, et je serais de votre combat alors, regardez la pyramide de maslow. Vous ne pouvez pas demander à des gens maltraités de regarder au delà de leur maltraitance. si vous voulez que la société s’améliore battez vous pour qu’elle ne soit plus maltraitante avec d’abord les humains et tout le reste suivra.

        « Gandhi ne disait il pas qu’on reconnaît le degré de civilisation d’un peuple à la manière dont il traite ses animaux???? »

        non, mais vous le faites exprès ou quoi ? je dis que l’on maltraite les gens et vous me reparlez d’animaux ?

        Ce que nous faisons pour les enfants ? d’abord nous faisons instruction en famille et comme cela va être interdit en france c(e dont tout le monde se branle à part les concernés, mieux vaux ne pas manger de viande que de faire attentions aux atteintes aux droits constitutionnels) nous déménageons en finlande pour mettre l’enfant à l’école chez eux parce qu’ils ont un autre regard sur les enfants, bien le plus précieux chez eux. Ensuite nous nous sommes battus pour l’instruction en famille, et nous faisons des ateliers parentaux, à perte (les gens que nous voulons toucher sont ceux qui ne sont pas très argentés et dont la souffrance animale à du mal à les sensibiliser, empêtrés qu’ils sont dans leur soucis propres) , pour tentez de promouvoir une éducation « bienveillante », parce que nous pensons que si chaque génération va dans le bon sens et p⁽ogresse, ne serait-ce qu’un peu, au bout d’un moment nous serons dans un monde meilleur.

        Nous faisons également des conférences sur le sujet qui durent 1/2 journées en étant 2 un papa + une maman (et pas parents 1 parents 2) = 2 regards. Nous ne faisons payer que les frais kilométriques + 150 euros – pas de quoi manger bio). Nous faisons du soutien (gratuit) aux parents qui déscolarisent autour de nous.

        Et nous « achetons » des poules de réforme (en général à 16 mois) pour leur donner une « vie » agréable en les laissant mourir de leur belle mort, même lorsqu’elle ne pondent plus, pour éviter qu’elles ne soient tuées, une fois qu’elle ont été essorées – comme on le fait dans les entreprises avec les gens – et tout le monde s’en branle aussi d’ailleurs. Nos poules sont mieux considérées et traitées que les enfants dans les écoles alentours. Elles ont même un coq pour ne pas tomber en dépression 🙂 attention ceci est un troll faiministe 🙂

        Alors c’est sûr que nous mangeons leurs oeufs et de temps en temps de la viande acheté dans le commerce – nous ne mangeons pas nos poules : elles pondent pour nous, en échange nous ne prenons pas de viande. Je pense que nous œuvrons plus pour un monde meilleur qu’en bouffant du tofu fabriqué probablement en Allemagne (de l’est : travailleurs exploités à bas prix avec le logo « deutch qualitat ») avec du soja transgénique américain ou chinois.

        Évitez de regardez le doit lorsqu’on vous montre la lune, cela évitera les « par ignorance ou par bêtise ». Cela ne me pose aucun soucis que vous soyez végans, votre régime alimentaire vous concerne, mais ne le portez pas en étendard de vertu. Il y a bien d’autres soucis à régler dans la société que l’avortement des poussins lorsqu’on mange un oeuf coque

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      • Qui porte quoi en étendard de vertu ? Vous . Vous raisonnez à l’ envers. Pourquoi l’humanité est là où elle est? parce que ce qui la régit depuis toujours c’ est le pouvoir, son désir de pouvoir sur l’ autre. Elle jouit de pouvoir torturer et tuer les animaux, ensuite de maltraiter, voire plus les enfants, lesquels parfois se vengent sur les animaux, ensuite les femmes, les hommes.. Je vous conseille de faire une petite recherche sur les tueurs en sériés..Selon le rapport du FBI, i n’y a pas un seul tueur en série, qui n’a commencé par torturer des animaux, pas un seul. Cela ne signifie pas que tous les bourreaux d’ animaux seront des tueurs mais cela signifie que tous se sont exercés sur des animaux.Point final pour moi sur ce sujet, car vous ne cessez de répondre à côté.

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      • Lepiaf18+ dit :

        Là vous êtes « dur » !
        Mais, cohérent!
        Et la perte de repère, c’est les bobos écolos, contradicteurs de tout, même d’eux-mêmes, il n’y a que des gens comme ça pour avoir oublié même comment et avec quoi se nourrir !
        En plus de n’y connaître rien justement aux équilibres naturels !
        Encore une utilisation abusive d’un mot (écologie) dont beaucoup visiblement ne connaissent pas la signification.
        Au fait, bien d’actu., la foret de Cazaux-La Teste qui a brûlé, pas de bol c’est en grande partie de leur faute !
        Conflit entre les propriétaires privés, qui voulaient pouvoir « entretenir » les parcelles (en d’autres mots, gérer pour rentabilité, mais aussi nettoyer et donc protéger) et les écolos mal politisés qui pensaient « laissons faire la nature », Comme si il s’agissait d’une forêt primaire. pas de bol, c’est au départ une forêt cultivée (pour retenir les sable de la dune), rien à voir avec une forêt primaire; donc erreur de raisonnement !
        Bon maintenant le pb est résolu, y’a plus qu’à replanter !

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  2. Bonjour. Je suis vos posts avec grand plaisir depuis l’année dernière et je vous remercie pour votre travail. J’ai 57 ans, je suis vegan depuis 20 ans et je ne me sent aucune affinité avec « les mangeurs d’insectes » et me considère encore moins comme un idiot utile de l’industrie agro alimentaire. Les régimes vegans sont suffisamment riches et variés pour qu’on ne puisse les amalgamer. J’ai une table d’hôtes végane en Provence, je vous accueillerai avec grand plaisir pour vous partager un bon repas.

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  3. fraternel dit :

    et à quand l’arret des cultures intensives des ogm des pesticides
    à quand la défense d’une agriculture paysanne pronée par la confédération paysanne avec l’aide aux petites structures.
    laissons les insectes à leurs prédateurs naturels l’agro buissness et le greenwashing de l’industrie agroalimentaire ne sont que des leurres pour remplir leeurs caisses à pognon.

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  4. Christophe Nicolas dit :

    Laissons les volailles manger des insectes et contentons nous des omelettes et des volailles rôties… 🙂

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  5. Éléonore dit :

    herve, Bonjour, très beau texte, merci ! Dont je partage l’essence ; vos mots disent l’essentiel. Je crois bien que cette société est décadente puisqu’elle n’accorde pas d’importance au futur de l’Humanité, et qu’elle ne veille pas sur l’Enfance, lui préfèrant le bien-être animal (l’un n’empêche pas l’autre).

    Il suffit de voir les pétitions dédiées à la cause des espèces animales,où des gens réclament des droits pour les bêtes mais ne s’offusquent quand les nôtres sont bafoués….C’est un monde à l’envers, une société bien malade de personnes qui vont jusqu’à comparer l’abandon d’un animal domestique à celui d’un enfant. Comment a-t-on pu en arriver là ? On sait que des lobbyies puissants sont derrière toute la « malbouffe », mais ce qui est certain, c’est que des lobbyies non moins puissants sont à la manœuvre pour donner une tribune à ces assos, à ces ONG,…Pour finalement rejeter l’espèce humaine !

    Bonne journée ! Éléonore

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    • Votre commentaire est étrange car vous dites vous-même « l’un n’empêche pas l’autre ».

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      • Lepiaf18 dit :

        Vous avez sans doute lu trop vite; ou mal compris ! Le « l’un n’empêche pas l’autre » n’avait pas ce sens, enfin je pense !
        « cette société est décadente puisqu’elle n’accorde pas d’importance au futur de l’Humanité, et qu’elle ne veille pas sur l’Enfance, lui préférant le bien-être animal (l’un n’empêche pas l’autre). ».
        Cela signifie que vu de la rédactrice, protéger l’animal elle n’a rien contre, sans doute et bien au contraire, mais il serait temps de revenir aux fondamentaux, protéger d’abord nos progénitures, par exemple.
        Nous sommes des humains; et laisser crever des congénères tout en « sauvant des animaux » est effectivement potentiellement un non sens!
        A quand les animaux qui nous bouffent? Dans quel film, avant la réalité. Il semble bel et bien que certains aient perdu la notion de la relativité de la vie sur Terre. Demandez donc à ceux qui ne mangent pas toujours à leur faim s’ils vont cracher devant un bon vieux bout de barbaque, même un peu faisandé? C’est même sans doute comme ça que l’espèce au fil des siècles s’est construit son immunité aux parasites. Au fait ceux-là vous les classez où (les vers, les mouches, les araignées…), vous en faites quoi? Parce que ce sont également des être vivants !

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    • Il faudrait accorder votre violon! Vous dites que l’un n’ empêche pas l’ autre tout en déplorant que les défenseurs des animaux, en l’occurrence les vegans, se fichent eux des humains!! Quel raccourci ! Madame, sans les animaux, notre espèce ne serait plus sur cette planète..Déjà, 60% de la faune sauvage a disparu à cause de nous, et ce en 40 ans.Donc si vous voulez que l’humanité perdure, veiller AUSSI sur les animaux est une nécessité. En quoi donner des droits aux animaux, cela vous enlèverait les vôtres, et vous empêcheraient d’ en avoir. C’ est comme dire qu’ en donnant des droits aux orphelins cela enlèverai ceux de vos enfants si enfants vous avez. Ou aider les enfants yéménites, serait au détriment de ceux de votre pays.

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      • herve_02 dit :

        Et c’est moi qui ne doit pas faire d’amalgames.

        a) « Madame, sans les animaux, notre espèce ne serait plus sur cette planète. »
        b) « Déjà, 60% de la faune sauvage a disparu à cause de nous, et ce en 40 ans. »

        Vous n’arrivez même pas à voir l’incohérence. L’humain ( et son ascendance) arpente cette terre depuis à la louche 7 millions d’années et les disparitions des animaux datent de 40 ans. C’est impossible que ce soit « à cause de nous », parce que nous somme les même « nous » qu’il y a 10 000 ans (intervalle entre 2 évolutions génétiques). C’est cela que je/nous combattons et c’est cela que je n’aime pas dans votre discours. Vous portez un discours culpabilisante sur l’individu pour ne pas avoir à le faire sur le véritable coupable : le système.

        « Les végans accusent aussi les omnivores d’être responsables de la crise de l’eau potable menaçant l’humanité. Vous connaissez les chiffres: il faudrait 1 000 litres d’eau pour un kg de blé et 15 000 pour un kg de bœuf, mais ces chiffres confondent l’eau réellement consommée par les vaches, 3 % du total, l’eau nécessaire à l’assainissement, encore 3 %, et les 94 % que représentent l’eau de pluie qui fait pousser les végétaux .  »

        « La firme McDonalds ponctionne autant d’eau pour l’ensemble de son processus industriel que le quart de l’humanité… »

        ce n’est pas manger de la viande qui détruit la planète et fait du mal aux animaux (ils doivent mourir, comme nous, un jour) mais le capitalisme. Mais là bizarrement, y’a vachement moins de combattant. Sans le savoir vous serez les idiots utiles dont se servira le système pour réprimer tout le monde « pour sauver la planète » pendant que EUX (pas la peine de faire un dessin) continuerons comme avant.

        Vous pensez que lorsque le « pauvre » mangera de la viande synthétique faite dans des boites de pétri – avec le cancer qui vient avec, ILS ne mangeront pas une bonne entrecôte charolaise . persillée à souhait ? vous pensez que ceux aux commandes mangent du quinoa et du tofu ?

        Essayez de trouver les photos des déjeuners de gérard larcher et gardez le en mémoire lorsqu’ils votera une loi restrictive sous les applaudissements des lobbys tofu-sauterelles.

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      • Lepiaf18 dit :

        Alors là affirmation bien péremptoire !
        Qui vous dis que dans ces conditions (pas d’animaux au menu) on ne se serait pas adapté on bouffant autre chose? Nous serions peut-être effectivement tous végans. Rien d’incompatible.
        Les espèces qui perdurent sont celles qui s’adaptent.
        Dans le sens inverse; essayez de faire bouffer autre chose que de la viande à un pur carnivore (désolé mais l’homme justement n’en est pas un, c’est un omnivore).
        Quant à avoir fait disparaître 60% de la faune sauvage de la faute de l’homme en seulement 40 ans, là, laissez-moi rire vous en avez vu beaucoup manger du tigre ou de l’éléphant ou de la baleine au petit déjeûner ?
        Non bien sûr; le problème est ailleurs. Et ce n’est pas parce que vous ne mangerez par de viandes, d’oiseaux ou de poissons que vous le résoudrez; puisque ça n’a rien à voir avec l’alimentation.
        C’est kif-kif le « fameux réchauffement climatique ». Si tant est qu’il existe, il faudra s’adapter; le combattre et surtout croire qu’on va y réussir est de l’ordre de l’utopie.
        Mauvaise compréhension du sujet et mauvais amalgames.
        Décidément vous êtes bien malléable et perméable aux idées des lobbyistes du secteur, dont écologiste. Pour eux nous ne sommes que des « cochons de payeurs », peu importe les arguments alibis.

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  6. Jean-Louis COUVERT dit :

    Peut-on consommer cette race inutile : les écolobobodingovégans sans s’empoisonner le cerveau ?

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  7. nicolasbonnal dit :

    Simple programme génocidaire imposé depuis l’ONU appliqué express au Sri Lanka. Les gens en boufferont comme du vaccin. Syndrome du petit Poucet : on lâche les gosses ou on les mange. https://nicolasbonnal.wordpress.com/2022/08/15/syndrome-du-petit-poucet-le-desastre-se-rapproche-et-ils-sadapteront-quand-les-vivres-vinrent-a-manquer-au-siecle-de-notre-grand-roi-louis-xiv-des-parents-se-virent-contraints-daba/

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  8. Ping : Bourla-Pfizer positif au Covid (comme Fauci et Lauterbach). Les Allemands pillent leurs forêts pour se chauffer. L’ONU promouvant la famine, pensons au petit Poucet : le désastre se rapproche et le vacciné s’adapte. Quand les vivres vinrent à

  9. Ping : LA COMMISSION EUROPEENNE VEUT NOUS FAIRE MANGER DES INSECTES , la malbouffe s’adapte…après les végans, les insectivores, idiots utiles de l’industrie agro alimentaire – SITE GAULLISTE D INFOS INTERNATIONALES

  10. Ping : Production et surtout consommation d’insectes  pour gosses en bonne voie ; confiscation de l’immobilier en bonne voie ; triomphe du Grand Reset et de Fink (BlackRock) en bonne voie ;  vaccination des femmes enceintes en bonne voie ; guérison de

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  12. FML dit :

    Depuis fin juin , je ne recevais plus le blog de Mr Gibertie, aussi, je pensais qu’il avait cessé depuis les élections. Heureuse de voir qu’il n’en est rien !
    Cordialement
    FML

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