Le choix perdant -perdant entre Macron et Le Pen :derrière eux , un affairiste belge et un suprémaciste yankee

Le choix perdant perdant entre Macron et Le Pen :derrière eux , un affairiste belge et un suprémaciste yankee

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Les média ont décidé que les Français devaient choisir  entre Macron et Le Pen . Problème le choix qu’ils nous proposent masquent les vrais gagnants :un suprémaciste yankee et un affairiste belge

D’un côté le représentant de l’impérialisme yankee le plus affreux, l’héritier de Bush , même Trump n’a plus voulu de lui : STEVE  « GOEBBELS » BANNON, conseiller  de Marine Le Pen, un fou qui rêve de troisième guerre mondiale

De l’autre  le représentant des lobbys, celui qui sait obtenir pour lui 1,5 millions d’Euros des multinationales, VERHOFSTADT, le futur président de la commission ou du parlement choisi par Macron

Moi je vote Bellamy … C’est plus raisonnable

 

L’EUROPE DE MACRON, C’est ça !!!
Macron dévoile enfin son champion pour l’Europe, C’ est VERHOFSTADT, il ne pouvait choisir pire… Les entreprises lui ont versé 1,5 millions d’Euros  en 5 ans

IL SERA LE PRESIDENT DE LA COMMISSION OU DU PARLEMENT

https://pgibertie.com/2019/05/11/leurope-de-macron-cest-ca-macron-devoile-enfin-son-champion-pour-leurope-c-est-verhofstadt-il-ne-pouvait-choisir-pire-les-entreprises-lui-ont-v/

 

Nul mieux que lui n’incarne  les liens sulfureux entre l’Union européenne et les intérêts des multinationales . Pour  tromper les électeurs Macron avait parlé de Michel Barnier mais ce dernier soutient Bellamy. Tout est clair, l’homme de Macron est bien l’horrible VERHOFSTADT

Nathalie Loiseau était en meeting ce samedi après-midi à Strasbourg. Sur scène également, sont présents les alliés européens d’En Marche, ceux avec qui Emmanuel Macron ambitionne de créer au Parlement un « groupe central progressiste ».

« On veut montrer qu’on n’est pas seuls ! », résume un cadre de la campagne d’En Marche… A deux semaines du scrutin, l’équipe d’Emmanuel Macron aligne son bataillon européen avec en première ligne Guy Verhofstadt. Le Belge préside le groupe libéral, le 4e du Parlement qu’il a accepté de dissoudre pour en créer un nouveau, plus gros, qui intégrera les futurs eurodéputés En Marche.

L’Alliance des Démocrates et Libéraux européens (ADLE) va être dissoute, a annoncé Guy Verhofstadt jeudi soir. Avec les troupes d’Emmanuel Macron, il souhaite créer un nouveau groupe au sein du Parlement européen.

Nathalie Loiseau, tête de la liste Renaissance (LREM-MoDem-Agir), veut faire entrer le plus grand nombre possible de députés de la majorité présidentielle française au Parlement européen le 26 mai. Son objectif : créer un nouveau groupe centriste à Strasbourg, composé d’une centaine de députés progressistes européens, à même de peser au sein de la future assemblée.

En réalité, c’est le groupe centriste et libéral au Parlement européen qui va se transformer, comme l’a expliqué son président Guy Verhofstadt.

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« Nous allons créer un nouveau groupe, un groupe global, un groupe centriste proeuropéen avec Emmanuel Macron »,a déclaré Guy Verhofstadt.

 

On retrouvera donc sur scène à Strasbourg ce samedi les représentants de l’actuel groupe, comme le parti du Premier ministre néerlandais Mark Rutte, ou encore le parti espagnol Ciudadanos, qui devrait passer de deux à neuf eurodéputés.

Mais l’équipe macroniste veut aussi mettre en avant de petits nouveaux : le parti La Voix de République tchèque ou Plus Roumanie, de Dacian Ciolos, que certains surnomment le « Macron roumain ». Les équipes d’En marche ont ainsi approché ces derniers mois plus d’une soixantaine de formations politiques dans une vingtaine de pays.

http://www.rfi.fr/europe/20190511-elections-europeennnes-macron-bataillon-europe

 

La création d’un nouveau groupe au centre du Parlement entre l’Alliance des démocrates et des libéraux pour l’Europe, et les troupes d’Emmanuel Macron, propulse comme prétendant Guy Verhofstadt, le président belge de ce groupe élargi des Libéraux. On murmure aussi la candidature de la très médiatique commissaire à la Concurrence, Margrethe Vestager. Mais le Danemark n’a pas adopté l’euro et ne fait pas partie de l’espace Schengen.

Car nous sommes au cœur d’un intense bargaining général. Tout ceci est un combat complexe à entrées multiples pour se partager les grands postes de l’édifice communautaire. Et le fameux « spitzenkandidat » pourrait se retrouver ailleurs qu’à la Commission, par exemple à la présidence du Parlement.

L’ALDE a reçu ces dernières années des fonds de différentes entreprises. Parmi elles : Monsanto-Bayer, mais aussi Uber, Google Belgique , Deloitte, AmCham ou Syngenta. L’année dernière, par exemple, le montant total s’élevait à 122 000 euros, a calculé le journal français Le Monde. Cet argent provenait de 8 multinationales et lobbies différents. Ils ont tous payé un droit d’entrée de 7 000 à 18 000 pour participer au congrès annuel du parti qui s’est tenu à Madrid.

 

Le Belge Guy Verhofstadt figure dans le top 3 des eurodéputés qui déclarent une activité secondaire, écrit mardi Le Soir sur base d’une étude de Transparency International EU. Il a perçu durant la dernière législature entre 920.000 et 1,42 million d’euros en plus des 13.000 euros bruts par mois qu’il gagne au Parlement européen.

Un tiers (31%) des députés européens déclarent exercer une activité secondaire lucrative. Au sein des eurodéputés belges, ils sont 62% à arrondir leurs fins de mois. Rien n’interdit cette pratique pour autant qu’ils la déclarent, sauf qu’aucune sanction n’est appliquée dans le cas contraire, relève Le Soir.

Selon Transparency International, il y a risque de conflit d’intérêts. Par exemple, quatre élus actuels continuent à percevoir de l’argent de sociétés qui sont inscrites au registre officiel des lobbies de l’Union européenne.

Les numéros un et deux en termes « d’extras » au Parlement européen sont le député italien Ranato Soru, par ailleurs directeur du groupe Tiscali, et le Lituanien Antanas Guoga, dont l’activité complémentaire est joueur de poker.

Guy Verhofstadt est quant à lui administrateur de la Sofina  (Danone)et de Theodorus III, le fonds de l’ULB dédié aux spin-off et start-up. Une partie de ses revenus proviennent également

de ses prises de parole. . Amateur de voitures de course britanniques, Verhofstadtpossède un vignoble toscan,

 

L’Europe de Marine Le Pen , c’est ça ?

Marine Le Pen ne fait plus peur, mais qui pouvait imaginer qu’elle était sous l’influence d’un suprémaciste yankee pour qui la France n’est que de la m…. ? Steeve Bannon…

Cet idéologue a derrière lui plusieurs carrières. Il a été officier dans la Marine, banquier chez Goldman Sachs, homme d’affaires dans les médias et l’audiovisuel avec son entreprise Bannon & Co, qu’il a vendue à la Société Générale en 1998.

https://www.ouest-france.fr/monde/etats-unis/donald-trump/qui-est-steve-bannon-l-ex-conseiller-strategique-devenu-la-bete-noire-de-trump-5482910

Il a produit des films avec des réalisateurs de tous bords (Anthony Hopkins, Sean Penn), puis réalisé des documentaires très controversés aux États-Unis, dont Generation Zero. Il a soigné l’image de Sarah Palin, l’égérie du Tea Party, l’aile droite du parti républicain, puis dénoncé le mouvement de protestation sociale Occupy, né en face de Wall Street en 2011.

Steve Bannon ne rêve que de la troisième guerre mondiale. C’est un adepte de la théorie générationnelle de William Strauss et Neil Howe. Deux universitaires qui ont découpé l’histoire des États-Unis en cycles de 80 à 100 ans (les quatrièmes tournants) expliquant les guerres d’Indépendance, de Sécession, la Seconde Guerre mondiale. Pour Bannon, le pays a entamé un cycle avec la crise bancaire de 2008.« Pour Steve Bannon, nous sommes pris dans une guerre existentielle, déclarait Neil Howe, au Washington Post, en janvier. Et tout participe de ce conflit. Les traités doivent être dénoncés, les ennemis, nommés, la société, transformée. Un conflit mondial, s’il devait survenir, ne ferait que valider cette théorie. En août 2017, lors de son départ de la Maison Blanche, Bannon déclarait qu’il partait « au combat pour Trump et contre ses opposants – au Capitole (le siège du Congrès), dans les médias et dans le monde des affaires ». C’était avant qu’il accuse le fils du Président, son gendre et d’autres proches de « trahison » dans l’affaire de collusion entre l’équipe de Trump et le Kremlin. « Même sans penser que ceci n’était pas assimilable à de la trahison, ni antipatriotique, ni une mauvaise merde (« bad shit »), et je pense que c’était tout cela, il aurait fallu appeler le FBI immédiatement », aurait déclaré Bannon selon Michael Wolff, dans un livre à paraître mardi, intitulé « Fire and Fury : Inside the Trump White House » (Le Feu et la fureur : À l’intérieur de la Maison blanche de Trump).

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“Envoyé spécial” a diffusé, ce jeudi soir sur France 2, une enquête édifiante sur l’intrusion sur la scène européenne de l’ex-conseiller et directeur de campagne de Trump, Steve Bannon. Et enfonce le clou au sujet de ses relations avec le Rassemblement National.

 

« Je vais planter un pieu dans le cœur de l’Europe ». De qui cette sympathique saillie ? Steve Bannon, le gourou du populisme américain, celui qui affirme être « l’homme qui a fait Donald Trump ». Il en a été aussi le rapide conseiller stratégique à la Maison Blanche avant d’être évincé en août 2017. Depuis, « Goebbels », comme l’a surnommé un journaliste de Fox News s’est trouvé une nouvelle mission : faire triompher « le national populisme » en Europe.

 

 

Bannon sait aussi se rendre utile là où ça coince encore un peu. En France par exemple. C’est ce que démontre l’édifiante enquête de Paul Moreira et Edouard Perrin diffusée ce jeudi 9 mai dans Envoyé spécial. Les liens entre Bannon et le Rassemblement National y sont longuement montrés comme lorsqu’il a été l’invité d’honneur du congrès du parti en mars 2018. L’Américain est exhibé comme une caution internationale de premier plan.« Il a une grande expertise et on en profitera autant qu’on peut », explique Marine Le Pen, qui se réjouit de participer à la « Fondation » créée par l’Américain. Elle insiste notamment sur « sa grande connaissance d’Internet ». Connaissance surtout en matière de manipulation d’informations comme l’ont démontré la campagne présidentielle américaine et, avant elle, la campagne en faveur du Brexit. Dans les deux cas, Bannon via des sociétés spécialisées, a tenté d’influencer les élections via des informations parfois biaisées en direction d’électeurs sélectionnés à partir de leurs profils Facebook riches en données personnelles. Des pratiques parfaitement assumées comme le montre un extrait hallucinant du reportage où l’on voit deux leaders nationalistes britanniques détaillant leurs pratiques devant une commission d’enquête.

L’homme n’est pas un ennemi de la finance. Il y a même de nombreux amis toujours prêts à donner un coup de main ou participer financièrement à des campagnes en cas de besoin. C’est d’ailleurs d’argent (deux millions d’euros pour être précis) dont il parle avec Louis Aliot et Jérôme Rivière (le trésorier du RN). Une image et un dialogue captés par la réalisatrice américaine Allison Klayman lors du tournage de son film consacré à Steve Bannon (The Brink, sorti le 29 mars aux États-Unis). Les extraits laissent au moins planer le doute sur une éventuelle aide financière directe ou indirecte au RN, même si ses dirigeants le démentent. Mais là où le doute ne subsiste pas, c’est l’envie des dirigeants du RN d’associer encore plus étroitement Steve Bannon à leur conquête du pouvoir.

 

Dans une scène finale hautement révélatrice, Jérôme Rivière propose ni plus ni moins à Bannon de participer à des réunions secrètes qui se tiennent tous les mardis avec de hauts fonctionnaires français. Devant l’Américain qui s’interroge, le dirigeant du RN précise : « C’est une réunion avec Marine. Ce sont des gens qui veulent rester anonymes, des ambassadeurs, des préfets, des gens vraiment au coeur du gouvernement qui nous soutiennent mais ne veulent pas être reconnus publiquement. » Eloquent…

https://www.telerama.fr/television/envoye-specialdevoile-letendue-des-liens-entre-steve-bannon-et-le-rassemblement-national,n6248223.php

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A propos pgibertie

Agrégé d'histoire, Professeur de Chaire Supérieure en économie et en géopolitique, intervenant àBordeaux III et comme formateur à l'agrégation d'économie à Rennes Aujourd'hui retraité
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