l’EXPANSION ME PERMET DE TENIR DES PROPOS ICONOCLASTES Ecoles de commerce : dans l’obscurité des diplômes, des cursus et des classements

EXPL’Expansion numéro de juin en vente en kiosque , article numérisé réservé aux abonnés

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Le guide critique 2017 des ECOLES DE COMMERCE Tout ce que vous auriez voulu savoir sur les écoles mais que l’on ne vous dira jamais

 

 

… Les classements de business schools sont apparus en 1988 grâce à John Byrne, leur « inventeur » pour Business Week. Il estime aujourd’hui « avoir engendré des monstres »[1]. Et reconnaît que la plupart des classements publiés sont biaisés, voire intellectuellement malhonnêtes.

De mon côté, j’ai étudié pendant deux ans la méthodologie des classements publiés en France. Je suis effrayé par ce que j’ai trouvé. Le principal problème réside dans le décalage entre les informations communiquée par les écoles et ce qui en est  fait dans les classements. Pourquoi ces écarts ? La presse utilise trop de critères, trop complexes pour qui ne maîtrise pas les arcanes du système. Les magazines qui cherchent par tous les moyens à « sortir » des classements gagneraient à simplifier et à faire appel à un comité scientifique…

A propos pgibertie

Agrégé d'histoire, Professeur de Chaire Supérieure en économie et en géopolitique, intervenant àBordeaux III et comme formateur à l'agrégation d'économie à Rennes Aujourd'hui retraité
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2 commentaires pour l’EXPANSION ME PERMET DE TENIR DES PROPOS ICONOCLASTES Ecoles de commerce : dans l’obscurité des diplômes, des cursus et des classements

  1. LFAONTAINE dit :

    Bonjour,
    Soyez iconoclaste encore et encore ! J’ai été ravi de lire votre papier très documenté. Et je le suis d’autant plus que j’ai été le seul directeur de Business Schools à critiquer certains classements en allant même jusqu’à refuser que mon école y apparaisse (celui de l’Etudiant en 2008). Et je retrouve les arguments que vous développez.
    Ceci dit c’est toujours bien pour tout le monde que les Business Schools soient classées sérieusement. Mais en effet non pas en fonction de critères tenant aux process de « fabrication » mais en fonction du « produit fini »…
    Chiche !
    Philippe LAFONTAINE

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